Germinal

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Emile Zola. Germinal

Émile Zola. GERMINAL

PREMIÈRE PARTIE

I. Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles…

II. Au milieu des champs de blé et de betteraves…

III. Étienne, descendu enfin du terrier venait d’entrer au Voreux…

IV. Les quatre haveurs venaient de s’allonger les uns au-dessus des autres…

V. Maheu, sans regarder à sa montre laissée dans sa veste, s’arrêta et dit…

VI. Dans la cage qui le remontait, tassé avec quatre autres…

DEUXIÈME PARTIE

I. La propriété des Grégoire, la Piolaine…

II. Dans la chambre, restée close, les persiennes avaient laissé glisser peu à peu des barres grises de jour…

III. Onze heures sonnaient à la petite église du coron des Deux-Cent-Quarante, une chapelle de briques…

IV. Lorsque Maheu rentra, après avoir laissé Étienne chez Rasseneur…

V. Chez Rasseneur, après avoir mangé une soupe…

TROISIÈME PARTIE

I. Le lendemain, les jours suivants, Étienne reprit son travail à la fosse…

II. C’était le dernier dimanche de juillet, le jour de la ducasse de Montsou…

III. Vers le milieu d’août, Étienne s’installa chez les Maheu…

IV. – Écoute, dit la Maheude à son homme…

V. Une semaine se passa, le travail continuait…

QUATRIÈME PARTIE

I. Ce lundi-là, les Hennebeau avaient à déjeuner les Grégoire et leur fille Cécile…

II. Dès la veille, dans une réunion tenue chez Rasseneur…

III. Quinze jours s’étaient écoulés; et, le lundi de la troisième semaine…

IV. Ce fut au Bon-Joyeux, chez la veuve Désir, qu’on organisa la réunion privée…

V. Une autre quinzaine s’écoula…

VI. Jeanlin, guéri, marchait à présent; mais ses jambes étaient si mal recollées…

VII. C’était au Plan-des-Dames, dans cette vaste clairière qu’une coupe de bois venait d’ouvrir…

CINQUIÈME PARTIE

I. À quatre heures, la lune s’était couchée…

II. À Jean-Bart, Catherine roulait depuis une heure déjà…

III. Dès le matin, avant le jour, un frémissement avait agité les corons…

IV. Et la bande, par la plaine rase, toute blanche de gelée…

V. M. Hennebeau s’était mis devant la fenêtre de son cabinet…

VI. Étienne, dégrisé par les gifles de Catherine…

SIXIÈME PARTIE

I. La première quinzaine de février s’écoula encore…

II. Depuis deux jours, la neige tombait; elle avait cessé le matin…

III. Ce dimanche-là, dès huit heures, Souvarine resta seul dans la salle de L’Avantage…

IV. Quand ils furent sortis de chez Rasseneur, Étienne et Catherine marchèrent en silence…

V. On venait de fermer toutes les ouvertures du Voreux…

SEPTIÈME PARTIE

I. Les coups de feu de Montsou avaient retenti jusqu’à Paris…

II. Le dimanche, Étienne s’échappa du coron, dès la nuit tombée…

III. À quatre heures, la descente commença…

IV. Dans la nuit même qui avait suivi l’écroulement du Voreux…

V. En bas du puits, les misérables abandonnés hurlaient de terreur…

VI. Il était quatre heures du matin

Отрывок из книги

Dans la plaine rase, sous la nuit sans étoiles, d’une obscurité et d’une épaisseur d’encre, un homme suivait seul la grande route de Marchiennes à Montsou dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n’avait la sensation de l’immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d’avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre d’arbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude d’une jetée, au milieu de l’embrun aveuglant des ténèbres.

L’homme était parti de Marchiennes vers deux heures. Il marchait d’un pas allongé, grelottant sous le coton aminci de sa veste et de son pantalon de velours. Un petit paquet, noué dans un mouchoir à carreaux, le gênait beaucoup; et il le serrait contre ses flancs, tantôt d’un coude, tantôt de l’autre, pour glisser au fond de ses poches les deux mains à la fois, des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient saigner. Une seule idée occupait sa tête vide d’ouvrier sans travail et sans gîte, l’espoir que le froid serait moins vif après le lever du jour. Depuis une heure, il avançait ainsi, lorsque sur la gauche, à deux kilomètres de Montsou, il aperçut des feux rouges, trois brasiers brûlant au plein air, et comme suspendus. D’abord, il hésita, pris de crainte; puis, il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains.

.....

Les quatre haveurs venaient de s’allonger les uns au-dessus des autres, sur toute la montée du front de taille. Séparés par les planches à crochets qui retenaient le charbon abattu, ils occupaient chacun quatre mètres environ de la veine; et cette veine était si mince, épaisse à peine en cet endroit de cinquante centimètres, qu’ils se trouvaient là comme aplatis entre le toit et le mur, se traînant des genoux et des coudes, ne pouvant se retourner sans se meurtrir les épaules. Ils devaient, pour attaquer la houille, rester couchés sur le flanc, le cou tordu, les bras levés et brandissant de biais la rivelaine, le pic à manche court.

En bas, il y avait d’abord Zacharie; Levaque et Chaval s’étageaient au-dessus; et, tout en haut enfin, était Maheu. Chacun havait le lit de schiste, qu’il creusait à coups de rivelaine; puis, il pratiquait deux entailles verticales dans la couche, et il détachait le bloc, en enfonçant un coin de fer, à la partie supérieure. La houille était grasse, le bloc se brisait, roulait en morceaux le long du ventre et des cuisses. Quand ces morceaux, retenus par la planche, s’étaient amassés sous eux, les haveurs disparaissaient, murés dans l’étroite fente.

.....

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