"La Mort de la Terre, roman, suivi de contes", de J.-H. aîné Rosny. Publié par Good Press. Good Press publie un large éventail d'ouvrages, où sont inclus tous les genres littéraires. Les choix éditoriaux des éditions Good Press ne se limitent pas aux grands classiques, à la fiction et à la non-fiction littéraire. Ils englobent également les trésors, oubliés ou à découvrir, de la littérature mondiale. Nous publions les livres qu'il faut avoir lu. Chaque ouvrage publié par Good Press a été édité et mis en forme avec soin, afin d'optimiser le confort de lecture, sur liseuse ou tablette. Notre mission est d'élaborer des e-books faciles à utiliser, accessibles au plus grand nombre, dans un format numérique de qualité supérieure.
Оглавление
J.-H. aîné Rosny. La Mort de la Terre, roman, suivi de contes
La Mort de la Terre, roman, suivi de contes
Table des matières
AVERTISSEMENT
LA. MORT DE LA TERRE
I. PAROLES A TRAVERS L’ÉTENDUE
II. VERS LES TERRES-ROUGES
III. LA PLANÈTE HOMICIDE
IV. DANS LA TERRE PROFONDE
V. AU FOND DES ABIMES
VI. LES FERROMAGNÉTAUX
VII. L’EAU, MÈRE DE LA VIE
VIII. ET SEULES SURVIVENT LES TERRES-ROUGES
IX. L’EAU FUGITIVE
X. LA SECOUSSE
XI. LES FUGITIFS
XII. VERS LES OASIS ÉQUATORIALES
XIII. LA HALTE
XIV. L’EUTHANASIE
XV. L’ENCLAVE A DISPARU
XVI. DANS LA NUIT ÉTERNELLE
CONTES. PREMIÈRE SÉRIE
LE HANNETON
LA MÈRE
LA PETITE AVENTURE
MON ENNEMI
EN ANGLETERRE
LE DORMEUR
DANS LE NÉANT
LA BATAILLE
II
III
IV
V
LE CONDAMNÉ A MORT
HISTOIRES DE BÊTES
UN SOIR
L’ALLIGATOR
L’ONCLE ANTOINE
AU FOND DES BOIS
LE SAUVETEUR
LE CLOU
LA PLUS BELLE MORT
LE MAGE RUSTIQUE
CONTES. DEUXIÈME SÉRIE
LE VIEUX BIFFIN
LA BOUCHERIE DES LIONS
LES POMMES DE TERRE. SOUS LA CENDRE
LE DORMEUR
LE QUINQUET
LA BONNE BLAGUE
LA JEUNE SALTIMBANQUE
L’AVARE
LA FILLE DU MENUISIER
LA MARCHANDE DE FLEURS
APRÈS LE NAUFRAGE
LE. SAUVETAGE DE NÉPOMUCÈNE
LE LION ET LE TAUREAU
DES AILES!
Отрывок из книги
J.-H. aîné Rosny
Publié par Good Press, 2022
.....
Table des matières
Les neuf planeurs volaient vers les Terres-Rouges. Ils ne s’écartaient guère des deux routes que, depuis cent siècles, suivaient les motrices. Les ancêtres avaient construit de grands refuges en fer vierge, avec résonnateur planétaire, et de nombreux relais, moins importants. Les deux routes étaient bien entretenues. Comme les motrices y passaient rarement et que leurs roues étaient munies de fibres minérales, très élastiques; comme, par ailleurs, les hommes des deux oasis savaient encore se servir partiellement des énergies énormes qu’avaient captées leurs ascendants, l’entretien exigeait plus de surveillance que de travail. Les ferromagnétaux ne s’y montraient guère et n’y faisaient que des dégâts insignifiants; un piéton aurait pu y marcher une journée entière sans presque ressentir d’influence nocive; mais il n’aurait pas été prudent de faire des haltes trop longues ni surtout de s’y endormir: bien des malades y avaient perdu comme Elma tous leurs globules rouges et y étaient morts d’anémie.