Le grand Meaulnes
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Alain-Fournier. Le grand Meaulnes
Alain-Fournier. Le grand meaulnes
PREMIÈRE PARTIE
CHAPITRE PREMIER. LE PENSIONNAIRE
CHAPITRE II. APRÈS QUATRE HEURES
CHAPITRE III. « JE FRÉQUENTAIS LA BOUTIQUE D’UN VANNIER »
CHAPITRE IV. L’ÉVASION
CHAPITRE V. LA VOITURE QUI REVIENT
CHAPITRE VI. ON FRAPPE AU CARREAU
CHAPITRE VII. LE GILET DE SOIE
CHAPITRE VIII. L’AVENTURE
CHAPITRE IX. UNE HALTE
CHAPITRE X. LA BERGERIE
CHAPITRE XI. LE DOMAINE MYSTÉRIEUX
CHAPITRE XII. LA CHAMBRE DE WELLINGTON
CHAPITRE XIII. LA FÊTE ÉTRANGE
CHAPITRE XIV. LA FÊTE ÉTRANGE (suite)
CHAPITRE XV. LA RENCONTRE
CHAPITRE XVI. FRANTZ DE GALAIS
CHAPITRE XVII. LA FÊTE ÉTRANGE (fin)
DEUXIÈME PARTIE
CHAPITRE PREMIER. LE GRAND JEU
CHAPITRE II. NOUS TOMBONS DANS UNE EMBUSCADE
CHAPITRE III. LE BOHÉMIEN À L’ÉCOLE
CHAPITRE IV. OÙ IL EST QUESTION DU DOMAINE MYSTÉRIEUX
CHAPITRE V. L’HOMME AUX ESPADRILLES
CHAPITRE VI. UNE DISPUTE DANS LA COULISSE
CHAPITRE VII. LE BOHEMIEN ENLÈVE SON BANDEAU
CHAPITRE VIII. LES GENDARMES !
CHAPITRE IX. À LA RECHERCHE DU SENTIER PERDU
CHAPITRE X. LA LESSIVE
CHAPITRE XI. JE TRAHIS
CHAPITRE XII. LES TROIS LETTRES DE MEAULNES
TROISIÈME PARTIE
CHAPITRE PREMIER. LA BAIGNADE
CHAPITRE II. CHEZ FLORENTIN
CHAPITRE III. UNE APPARITION
CHAPITRE IV. LA GRANDE NOUVELLE
CHAPITRE V. LA PARTIE DE PLAISIR
CHAPITRE VI. LA PARTIE DE PLAISIR (fin)
CHAPITRE VII. LE JOUR DES NOCES
CHAPITRE VIII. L’APPEL DE FRANTZ
CHAPITRE IX. LES GENS HEUREUX
CHAPITRE X. LA « MAISON DE FRANTZ »
CHAPITRE XI. CONVERSATION SOUS LA PLUIE
CHAPITRE XII. LE FARDEAU
CHAPITRE XIII. LE CAHIER DE DEVOIRS MENSUELS
CHAPITRE XIV. LE SECRET
CHAPITRE XV. LE SECRET (suite)
CHAPITRE XVI. LE SECRET (fin)
ÉPILOGUE
Отрывок из книги
Il arriva chez nous un dimanche de novembre 189…
Je continue à dire « chez nous », bien que la maison ne nous appartienne plus. Nous avons quitté le pays depuis bientôt quinze ans et nous n’y reviendrons certainement jamais.
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Puis, haussant les épaules, la tête dans les mains, il se mit à apprendre ses leçons.
Notre chambre était, comme je l’ai dit, une grande mansarde. À moitié mansarde, à moitié chambre. Il y avait des fenêtres aux autres logis d’adjoints ; on ne sait pas pourquoi celui-ci était éclairé par une lucarne. Il était impossible de fermer complètement la porte, qui frottait sur le plancher. Lorsque nous y montions, le soir, abritant de la main notre bougie que menaçaient tous les courants d’air de la grande demeure, chaque fois nous essayions de fermer cette porte, chaque fois nous étions obligés d’y renoncer. Et, toute la nuit, nous sentions autour de nous, pénétrant jusque dans notre chambre, le silence des trois greniers.
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