CIII. QUELLE ÉTAIT LA GRACE QU'AVAIT A DEMANDER LE PILOTE
CIV. LA ROYAUTÉ A PALERME
CV. LES NOUVELLES
CVI. COMMENT LE PRINCE HÉRÉDITAIRE POUVAIT ÊTRE, A LA FOIS, EN SICILE ET EN CALABRE
CVII. DIPLOME DU CARDINAL RUFFO
CVIII. LE PREMIER PAS VERS NAPLES
CIX. ELEONORA FONSECA PIMENTEL
CX. ANDRÉ BACKER
CXI. LE SECRET DE LUISA
CXII. MICHELE LE SAGE
CXIII. LES SCRUPULES DE MICHELE
CXIV. L'ARRESTATION
CXV. L'APOTHÉOSE
CXVI. LES SANFÉDISTES
CXVII. OU LE FAUX DUC DE CALABRE. FAIT CE QU'AURAIT DU FAIRE LE VRAI DUC
CXVIII. NICCOLA ADDONE
CXIX. LE VAUTOUR ET LE CHACAL
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En voyant la facilité de la Minerve et comment, pareille à un bon cheval, elle semblait obéir à son commandant, Ferdinand, commençait à regretter de ne s'être point embarqué avec son vieil ami Caracciolo, comme il lui avait promis de le faire, au lieu de s'embarquer sur le Van-Guard.
Il descendit dans la grande chambre et trouva la reine et les jeunes princesses assez calmes. Depuis le jour venu, elles avaient pris quelque repos. Le jeune prince Albert seul, délicat de santé, avait été atteint de vomissements et était couché sur la poitrine d'Emma Lyonna, qui, admirable dans son dévouement, n'avait pas pris un instant de repos et ne s'était occupée que de la reine et de ses enfants.
.....
–Combien de brasses? demanda Nelson.
L'amiral fronça le sourcil: une brasse de moins, le Van-Guard touchait.