LXV. CE QU'ALLAIT FAIRE LE BECCAÏO. VIA DEI SOSPIRI-DELL'ABISSO
LXVI. LA NUIT DU 13 AU 14 JUIN
LXVII. LA JOURNÉE DU 14 JUIN
LXVIII. LA NUIT DU 14 AU 15 JUIN
LXIX. CHUTE DE SAINT JANVIER-TRIOMPHE DE SAINT ANTOINE
LXX. LE MESSAGER
LXXI. LE DERNIER COMBAT
LXXII. LE REPAS LIBRE
LXXIII. LA CAPITULATION
LXXIV. LES ÉLUS DE LA VENGEANCE
LXXV. LA FLOTTE ANGLAISE
LXXVI. LA NÉMÉSIS LESBIENNE
LXXVII. OU LE CARDINAL FAIT CE QU'IL PEUT POUR SAUVER. LES PATRIOTES, ET OU LES PATRIOTES FONT CE. QU'ILS PEUVENT POUR SE PERDRE
LXXVIII. OU RUFFO FAIT SON DEVOIR D'HONNÊTE HOMME. ET SIR WILLIAM HAMILTON SON MÉTIER DE. DIPLOMATE
LXXIX. LA FOI PUNIQUE
LXXX. DEUX HONNÊTES COMPAGNONS
LXXXI. DE PAR HORACE NELSON
LXXXII. L'EXÉCUTION
Отрывок из книги
La via dei Sospiri-dell'Abisso, c'est-à-dire la rue des Soupirs-de-l'Abîme, donnait d'un côté sur le quai della strada Nuova, de l'autre sur le Vieux-Marché, où se faisaient d'habitude les exécutions.
On l'appelait ainsi, parce qu'en entrant dans cette rue, les condamnés, pour la première fois, apercevaient l'échafaud et qu'il était bien rare que cette vue ne leur tirât point un amer soupir du fond des entrailles.
.....
–Tenez, dit-il, voici votre homme.
Maître Donato jeta les yeux autour de lui pour chercher un endroit convenable où établir un gibet provisoire; mais le beccaïo lui montra l'anneau et la corde.