La corde au cou
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Emile Gaboriau. La corde au cou
Émile Gaboriau. LA CORDE AU COU
PREMIÈRE PARTIE Le feu du Valpinson
1. Dans la nuit du 22 au 23 juin 1871, vers une heure, le faubourg de Paris
2. De Sauveterre au Valpinson, par la traverse, on ne compte qu'une lieue…
3. Par cette seule phrase, M. Galpin-Daveline s'emparait despotiquement de la situation et reléguait au second plan le docteur Seignebos…
4. Mettant leur amour-propre à lutter de flegme et d'impassibilité
5. Il n'était personne dans le pays qui ne sût de quel mal affreuxétait atteint le pauvre Cocoleu…
6. Rien, désormais, ne retenait plus le juge d'instruction, le procureur de la République ni M. Séneschal…
7. Il était sept heures quand la voiture «qui portait la justice»entra dans la cour de Boiscoran…
8. Avec ses apparences de demeure féodale…
9. Tel qu'un homme pris de vertige, pâle comme si tout le sang de ses veines eût afflué à son cœur…
DEUXIÈME PARTIE L'affaire de Boiscoran
1. L'hôtel de Boiscoran, rue de l'Université, 216, est d'apparence modeste…
2. Le chemin de fer qui relie Sauveterre à la ligne d'Orléans doit une légitime célébrité…
3. Ce n'est jamais impunément qu'on violente ses sentiments les plus chers…
4. Le cheval de M. Séneschalétait peut-être un des meilleurs de l'arrondissement…
5. Oui, la démarche des demoiselles de Lavarandeétait insensée…
6. «L'hôpital de Sauveterre, dit le Guide Joanne, est, malgré ses proportions restreintes…
7. Si à genoux que fût M. de Chandoré devant les volontés de sa petite-fille…
8. – Que peut-ilêtre arrivé à Denise, qu'elle ne revient pas!
9. Depuis vingt-quatre heures, Méchinetétait si changé que ses sœurs ne le reconnaissaient plus…
10. La prison, à Sauveterre, c'est le château situé tout en haut de la vieille ville…
11. Le baron de Chandoré avait eu, en sa vie, une nuit terrible…
12. Depuis la nuit fameuse de l'incendie du Valpinson, Sauveterre ne s'ennuyait plus…
13. Moins affreusement troublé, Jacques de Boiscoran eût reconnu combien sagement il avaitété inspiré en choisissant, pour se confier à lui…
14. Jacques de Boiscoran, c'était manifeste, avait hâte d'en finir…
15. Pendant ce temps, rue de la Rampe, l'anxiété était affreuse…
16. C'est au palais de justice, qu'au sortir du salon de M. de Chandoré…
17. Le geôlier de Sauveterre, la veille au soir, en soupant, avait dit à sa femme…
18. Tous à Sauveterre, M. de Chandoré aussi bien que Jacques lui-même, calomniaient le marquis de Boiscoran…
19. Déjà maître Folgatétait à l'œuvre…
20. Lorsque la marquise de Boiscoran, le jour de son départ de Sauveterre…
21. – Vous savez la nouvelle?
22. Onze heures venaient de sonner, quand le geôlier Blangin entra tout effaré dans la cellule de Jacques de Boiscoran…
23. Le marquis de Boiscoran avait dit vrai…
24. Bien autrement encore que maître Folgat
25. C'est rue Mautrec qu'après l'incendie du Valpinsonétaient venus s'établir provisoirement le comte et la comtesse de Claudieuse…
26. Comme presque tous les gens très fins…
27. À l'heure même où le juge d'instruction sortait de l'hôpital…
28. C'est rue Mautrec que se rendait Jacques de Boiscoran…
29. Maître Folgat venait de se lever…
30. – Quelle scène? Quel témoin?…
31. Enfin, du fond de sa prison, Jacques de Boiscoran vit se lever le jour qui allait décider de sa destinée… Il allaitêtre jugé!
TROISIÈME PARTIE Cocoleu
1. Ainsi M. Galpin-Daveline l'emportait, et M. Du Lopt de la Gransière avait lieu d'être fier de sonéloquence…
2. C'est par son substitut que le lendemain matin…
3. Lorsqu'en quittant la comtesse de Claudieuse…
Отрывок из книги
Dans la nuit du 22 au 23 juin 1871, vers une heure, le faubourg de Paris, qui est le principal et le plus populeux faubourg de la jolie ville de Sauveterre, fut mis enémoi par le galop frénétique d'un cheval sonnant sur les pavés pointus.
Quantité de bourgeois se précipitèrent à leurs fenêtres. Ils ne virent dans la nuit sombre qu'un paysan en bras de chemise et la tête nue, talonnant et bâtonnant furieusement une grosse jument blanche qu'il montait à cru.
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– Avait-il un fusil?
– Oui, mon bon monsieur, puisque même c'est à cause de ce fusil qu'il m'avait fait peur, je l'avais pris pour un garde…
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