"Les deux femmes de Mademoiselle", de René Maizeroy. Publié par Good Press. Good Press publie un large éventail d'ouvrages, où sont inclus tous les genres littéraires. Les choix éditoriaux des éditions Good Press ne se limitent pas aux grands classiques, à la fiction et à la non-fiction littéraire. Ils englobent également les trésors, oubliés ou à découvrir, de la littérature mondiale. Nous publions les livres qu'il faut avoir lu. Chaque ouvrage publié par Good Press a été édité et mis en forme avec soin, afin d'optimiser le confort de lecture, sur liseuse ou tablette. Notre mission est d'élaborer des e-books faciles à utiliser, accessibles au plus grand nombre, dans un format numérique de qualité supérieure.
Оглавление
René Maizeroy. Les deux femmes de Mademoiselle
Les deux femmes de Mademoiselle
Table des matières
I
II
III
IV
V
VOYAGE DE NOCES
I
II
III
ET TA SŒUR?
I
II
III
IV
V
VI
LE SAINT-JOSEPH SANS NEZ
I
II
III
IV
LE REPOSOIR DE LA GÉNÉRALE
I
II
III
IV
LE FOND DE LA CORBEILLE
I
II
III
IV
V
AVANT LE COMBAT
I
II
III
IV
LA MEILLEURE FOIS
I
II
III
LA FILLE A BARBE
I
II
III
IV
LA REVANCHE DE MISTOULET
I
II
III
IV
V
VI
LA PUNITION DE PAPA
I
II
III
IV
LA VOCATION DE GILBERT
I
II
A VENDRE OU A LOUER
LA FEMME DE LA GARNISON
I
II
III
IV
LE KÉPI DE MONSIEUR LE MAIRE
I
II
III
IV
LES TROUS INDISCRETS
I
II
III
LE MOINS HEUREUX DES TROIS
I
II
MADAME BOUDE
I
II
III
IV
V
EN FIACRE
I
II
L’HÉRITAGE DU COLONEL
I
II
III
IV
V
LES PREMIERS ARRÊTS DE VILLEVERT
I
II
III
V
VIEUX PAPIERS
I
II
LE PETIT COCHON DU DIABLE
I
II
III
IV
V
LE PROCÈS DE LA CATINETTE
I
II
III
IV
LA VRAIE PHILOSOPHIE
I
II
III
IV
CHANGEMENT A VUE
I
II
III
IV
AUX GRANDES MANOEUVRES
I
II
III
UN LOGEMENT S. V. P. !
I
II
III
IV
LES BONNES DE L’AVOUÉ
I
II
LE REVERS DE LA MÉDAILLE
I
II
III
IV
LA GÉANTE
I
II
III
IV
LE RÉVEIL-MATIN
I
II
III
IV
V
LE PANTALON DE FRIDOLIN
I
II
III
IV
V
LES JARDINS DE SÉMIRAMIS
AU JOUR DE L’AN
I
II
Отрывок из книги
René Maizeroy
Roman historique
.....
Elle le suivit dans sa garnison. Puis, prise d’ennui, un beau matin où le sous-lieutenant manœuvrait au polygone, elle emporta ses bijoux et ses «frusques» et prit le train avec un hercule de foire dont elle avait admiré les robustes épaules. L’aventure le guérit du mal d’aimer.
Et, renonçant sagement aux sauteuses de corde, aux maîtresses qui vous lâchent sur la litière, fourbus, éreintés comme des chevaux d’omnibus, il se maria et donna sa démission quatre mois après. Le pauvre diable comptait sur le pot-au-feu familial pour se refaire, pour rénover ses forces disparues. Aussi avait-il choisi, entre toutes les héritières que lui offraient les marieuses du faubourg, une petite femme chétive, presque une petite fille, aux yeux candides, aux formes maigriottes, dont les dix-huit ans sonnaient à peine, et à laquelle on eût donné des deux mains le bon Dieu sans confession…