Отрывок из книги
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PREMIÈRE PARTIE
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Marie translata son intérêt vers le coït humain. Le sexe sentait-il aussi mauvais chez les hommes ? Un jour, Marie aperçut Marie Madeleine Klein prendre à part Dolce, du clan Gabbana et l’amena jusqu’à une barque de fortune, calée entre deux rochers, dans un petit ruisseau. Elle les suivit. Marie Madeleine quitta le cache-sexe que son frère confectionna pour Dolce Gabbana au moyen d’une toison blanche. Cette fois-ci, sans aucune envie de la part de Calvin d’enfreindre le deuxième commandement, quoi que… Tel un étalon italien muni de ses cheveux bouclés et d’yeux verts, Dolce se lança sur Marie Madeleine et se jeta littéralement sur “la chaste”. “Marie Madeleine Casta ! Tu parles !”
Marie eut la sensation d’assister à la représentation de la perfection. Ils savaient ce qu’ils faisaient. La position des corps était mesurée au millimètre près, les mouvements des corps étaient chronométrés à la seconde près. Un millimètre trop loin ou une seconde de plus dans l’exécution des mouvements, aurait fait tout mettre à plat. Dolce était bon et surtout, il sentait très bon. Le mélange sexuel de Marie Madeleine et Dolce créait un parfum irrésistible aux notes épicées, fortes, appelant néanmoins à un constant renouvellement du plaisir sexuel. Marie vit alors comment elle se faisait pipi dessus, du moins c’était ce qu’elle croyait. Son clitoris venait de squirter si abondamment qu’il fit ressortir la trace marron de la tunique servant à traire les vaches. Elle savait désormais que Marie Madeleine était sûrement la plus cochonne ou la plus vache de toutes, d’ailleurs une rumeur courait qu’elle s’était faite culbuter par son propre frère… Cela devait être véridique, puisqu’à partir du coït avec Dolce Gabbana, elle puait le foutre à dix kilomètres à la ronde. Son odeur abjecte appelait les mâles de façon inconsciente à ce qu’ils la dominent et la mettent en cloque, en dotant les spermatozoïdes d’un énorme jet de chaux proportionnel à l’excitation et faisant alors la course avec la semence dernièrement injectée par l’ultime concurrent. Marie la vit à plusieurs reprises. Elle conclut que cela ne surpassait en aucun cas la performance de Dolce. Marie Madeleine sans Dolce, puait l’enfer. Marie Madeleine avec Dolce, sentait le paradis. En conséquence, la conclusion évidente était que le parfum de Dolce Gabbana constituait l’essence la plus délicieuse sur Terre.
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