Читать книгу Comment Réaliser Facilement N'Importe Quel Désir - Берардино Нарделла - Страница 5

Le désir est la moitié de la vie. L'indifférence est la moitié de la mort Kahlil Gibran

Qu'est-ce que signifie désirer?

Dans les vocabulaires italiens, on trouve des définitions comme: désir intense d'avoir ou de faire quelque chose qui donne du plaisir et de la satisfaction, le sentiment d'un manque de ce qui est nécessaire à notre intérêt physique ou spirituelle, sentiment intense qui pousse à la possession,à la réalisation ou la mise en œuvre de ce qui peut satisfaire son propre besoin physique ou spirituel, le sentiment de poursuite passionnée ou l'attente de la possession, la réalisation ou la mise en œuvre de ce qui est entendu adapté à leurs propres besoins ou goûts et exigences.

Donc, désirer est une tension directe à la réalisation de l'objet du désir et si cet élan atteint son but le résultat est un sentiment d'accomplissement et de satisfaction, sinon ils peuvent émerger des sentiments de douleur et de frustration.

Mais d'où vient le désir? Ce cos 'est exactement?

L'étymologie du mot désirer est tout à fait intéressant et, comme il arrive souvent avec ces définitions,il révèle son sens profond.

Le mot désir, du latin, est composé de la particule de- et -sidera substantif; de-peut avoir une valeur soustractive de l'enlèvement, l'absence, tandis que -sidera est le pluriel de Sidus, c’est à dire étoile.

Nous pourrions alors dire que désir signifie «arrêter voir des étoiles» ou «observé l'absence d'étoiles.

Le désir est donc l'absence d'étoiles, l'absence d'une direction qui conduit inexorablement à se sentir perdu, désorienté et peut-être en détresse.

Le désir, par conséquent, a donc en elle-même beaucoup de douleur parce qu'il commence par «absence» et l'épaisseur de ce manque détermine la portée de cette douleur.

De cette façon, le désir prend soin d'un espoir, d'un lecteur vers ce que nous considérons absent et nous nous sentons au lieu de vouloir être là pour nous dans nos vies, alors, non seulement l'absence, mais la présence fait partie du désir .

En fait, la particule de- a une valeur intensive, puis dé-sider, vous pouvez aussi dire 'regarder les étoiles avec soin », avec une intensité, en attendant et en espérant quelque chose.

Depuis longtemps les hommes savent ou croient être sous l'influence d'une puissance transcendante, divine, celle des étoiles, la conviction que, même aujourd'hui, vrai ou non (bien ici, nous ne traiterons pas au-delà de la portée), il y a, il y a ceux qui il croit aux horoscopes et je pense que le caractère et les inclinations d'une personne dépendent des constellations.

Le rapport, comme le sens littéral originel du mot "cesser de contempler les étoiles dans le but de bons voeux" pour Pianigiani "détourner le regard des étoiles par message par défaut", et qui est de bon augure dictionnaire étymologique de la langue italienne (DELI) l'étymologie proposée par Borrelli cardinaux: à partir de "de-sum", sont libres, inutile.

Les «desiderantes» étaient les soldats qui attendaient les camarades qui n'étaient pas revenus au camp après la bataille.

Attendre un partenaire qui ne parviennent pas de moyens d'attente, le désir de le revoir et d'embrasser et lui a également exprimé une certaine inquiétude au sujet du manque.

Donc, on peut considérer que le terme de-siderio signifie, aussi, "de rester sous les étoiles à attendre."

Pas un hasard si en latin la particule "de" a aussi une valeur intensive et non seulement de l'enlèvement comme la préposition et ici on trouve l'origine du classique observer des étoiles , ou la typique étoile filante en espérant quelque chose.

Le verbe désirer a son symétrique en «considérer», qui signifie regarder, regarder attentivement, en tenir compte, réfléchir, prendre en considération.

La dérivation est très similaire, ici sidera est associé à "cum" qui signifie "regarder les étoiles" afin de prendre les auspices avec eux.

Voici ce qui se passe dans l'horoscope, comme par exemple « j'ai la lune en faveur donc je peux ...» ou «Il y a cette constellation dans cette section du ciel donc, ...», tout est con-sider, à l'inverse de-sider va au-delà «Je veux ça ce même si le ciel est pas favorable.»

Il n'y a pas de symétrie, cependant, dans le nom: un désir correspond considération, où le suffixe -ing entend donner le mot un sens moins statique-contemplative et plus active.

Les significations nous venons de mentionner dans le mot désir, montrent que le désir apporte avec lui une absence et une présence; C’est l'absence de quelque chose qui, à la lumière de sa réelle absence est souhaitée, au point de le rendre présent dans l'acte même du désir.

Vouloir est ce qui nous définit essentiellement, ce qui nous guide et nous attire, ce qui nous permet de regarder les étoiles avec soin,de trouver la route, donc savoir ce que nous voulons suivre

Dans le désir, paradoxalement, pourrait devenir hors de propos la réalisation ou non de l'objet du désir, ce qui est important est l'acte même de vouloir, parce que c'est une sorte d'énergie qui est auto-généré et que seule grandit, poussant l'homme vers une direction.

Le désir, en effet, pousse vers un but, pousse à marcher et à dessiner son propre chemin, le chemin que chacun de nous doit prendre pour se rendre à l'objet désiré, mais à la fin il n'a pas d'importance pour arriver au sommet de la montagne, ce qui importe est d'être sur le chemin,un grimpeur va essayer un immense plaisir à arrivant, mais ce plaisir sera proportionnelle à l’ escalade qu’il devra entreprendre, à l'effort qu’il aura fait aux problèmes qui sera en mesure de surmonter, à son être capable d'aller au-delà de ce qu'il croyait qu'il pouvait faire .

Ce qui importe est souhaiter, parce que l'objet désiré est déjà dans l’acte même du désir du sujet désirant et il est seulement grâce à ce désir qui a existé et existe le chemin, et il est dans ce sens que le désir nous pousse à passer de état actuel au celle désirée en devenant notre force motrice.

Ce chemin que le désir nous pousse à faire, parce qu’il est supérieure aux craintes et aux peurs, passe par la compréhension des raisons pour lesquelles nous voulons des choses, en fait, de savoir la raison de ce désir et nous amène à connaître cette partie de nous qui a donné vie à ce désir.

« Si tu sais pourquoi tu le veux, tu trouveras aussi comment tu peux »

Le désir est étroitement liée à l'action à faire pour le voir réalisé, il est impensable qu'il y ait une action lorsqu'il n'y a un but, et il est également

et il est impensable qu'il est possible pariment s'il n'y a pas de désir.

Désirer indique donc que nous attendons quelque chose que nous voulons arriver et nous manque et que nous nous mettons dans une attitude d'attente qui ouvre des espaces infinis.

Avec le désir que nous abrégeons la distance entre nous et l'événement, même si énorme, donc nous avons métaphoriquement une route, un chemin, mais nous les adultes avons réduit ce chemin, avec l'espace et le temps, ce qui rend les désir comme des besoins ponctuelles,concréts, immédiats à satisfaire rapidement,nous avons transformé ce sentier d'espoir, plein d'enthousiasme en attendant l'indéfinissable dans une autoroute facile de marcher où nous avons les sorties déjà programmées.

Le désir est «être», alors que le besoin est «avoir».

Le désir doit être également projecté, pensée, réduit dans le temps pour trouver des solutions, des tentatives et si vous n'éduquez votre esprit à l'attente, vous serez asservis par l'argent, le succès, le pouvoir, la gloire, les plaisirs.

De cette façon, nous ne réservons pas au désirs du temps et de l’éspace,

pour sentir et imaginer un avenir de plus en plus affascinante, nous ne voyons pas les opportunités que la vie nous offre, nous sommes coincés et nous croyons courir vite, d'avoir tout immédiatement, et nous nous retrouvons avec pratiquement rien.

Pour avancer dans la vie, il est utile de prendre un peu de recul, c’est à dire , prendre une grande respiration pour l’élan, en permettant à l'esprit de se reposer un moment pour se donner le temps de récupérer.

Donc, que ce que nous décidons, nous donnons l'espace à notre imagination et revenons à voler sur ses ailes comme nous l'avons fait dans notre enfance, quand le monde semblait tout à notre portée, quand tout était faisable et chaque rôle et chaque objet nous surprenait, il savait comment nous surprendre?

Dans les moments où nous pouvons être seuls avec nous-mêmes et nous nous imaginons différents, dans différentes situations et contextes, nous avons alors le courage de croire que nous pouvons réaliser ces rêves?

Donc, en fin de compte désirer est vivre, il est utile et sert beaucoup pour notre équilibre physique, mental et spirituel.

Nous sommes arrivés au point que beaucoup de gens considèrent le désirer (et ici j'ai utilisé tout les deux verbes « sidera ») comme quelque chose à ne pas faire, à avoir honte, dont il ne vaut pas le temps de se donner, ou même quelque chose dont on n’est pas digne, c'est parce que depuis notre enfance, nous avons appris, à travers ce qui en général, nous pouvons appeler nos traumatismes, d'arrêter de désirer, de considérer l'ensemble comme une l'activité stupide et dangereux.

Nous nous imaginons, mais nous créons l'amertume de l'impossibilité de la réalisation et de fait nous sapons le désir et ceci rend notre vie mauvaise, il crée nos difficultés et nos maladies, détruit notre créativité.

Nous devenons aveugles bien voyant et sourds bien entendant, dans ce monde qui, si l’on observe bien, est grand, riche de possibilités, plein de joie et de bonheur, sauf si c’est ça que vous pouvez distinguer.

Permettez-moi donc de vous présenter ce livre et cette technique avec de la joie, avec l'espoir, et pourquoi pas, la certitude que cela servira à vivre la vie dans le plus beau et le meilleur moyen possible.