Читать книгу Le tour de la France par deux enfants - G. Krioussis Bruno - Страница 2
Table des matières
ОглавлениеTOUR DE LA FRANCE
I.—Le départ d'André et de Julien.
II.—Le souper chez Étienne le sabotier. L'hospitalité.
III.—La dernière parole de Michel Volden.—L'amour fraternel et l'amour de la patrie.
IV.—Les soins de la mère Étienne.—Les papiers d'André.—Un don fait en secret.—La charité du pauvre.
V.—Les préparatifs d'Étienne le sabotier.—Les adieux.—Les enfants d'une même patrie.
VI.—Une déception.—La persévérance.
VII.—La carte tracée par André.—Comment il tire parti de ce qu'il a appris a l'école.
IX.—Le nuage sur la montagne.—Inquiétude des deux enfants.
X.—La halte sous le sapin.—La prière avant le sommeil.—André reprend courage.
XI.—Le brouillard se dissipe.—Arrivée d'André et de Julien sur la terre française.
XII.—L'ordre dans les vêtements et la propreté.—L'hospitalité de la fermière lorraine.
XIII.—L'empressement à rendre service pour service.—La pêche.
XIV.—La vache.—Le lait.—La poignée de sel.—Nécessité d'une bonne nourriture pour les animaux.
XV.—Une visite à la laiterie.—La crème.—Le beurre.—Ce qu'une vache fournit de beurre par jour.
XVII.—Arrivée d'André et de Julien à Épinal.—Le moyen de gagner la confiance.
XVIII.—La cruche de la mère Gertrude.—L'obligeance.
XIX.—Les deux pièces de cinq francs.—Un bienfait délicat.
XX.—La reconnaissance.—La lettre d'André et de Julien à la mère Étienne.
XXII.—Le récit d'André.—Les chiffons changés en papier.—Les papeteries des Vosges.
XXIII.—Les moyens que l'homme emploie pour mettre en mouvement ses machines.—Un ouvrier inventeur.
XXV.—Le travail des femmes lorraines.—Les broderies.—Les fleurs artificielles de Nancy.
XXVI.—La modestie.—Histoire du peintre Claude le Lorrain.
XXVII.—Les grands hommes de guerre de la Lorraine.—Histoire de Jeanne Darc [i] .
XXVIII.—Les bons certificats d'André.—La mairie.—L'honnêteté et l'économie.
XXIX.—La Haute-Saône et Vesoul.—Le voiturier jovial.—La confiance imprudente.
XXX.—Le cabaret.—L'ivrognerie.
XXXI.—L'ivrogne endormi.—Une louable action des deux enfants.—La fraternité humaine.
XXXII.—Une rencontre sur la route.—Les gendarmes.—Loi Grammont, protectrice des animaux.
XXXIII.—Une proposition de travail faite à André.—Le parapluie de Julien.
XXXIV.—Le cheval.—Qualités d'un bon cheval.—Soins à donner aux chevaux.
XLI.—Arrivée en Bourgogne.—L'Ain.—Les volailles de Bresse.—André et Julien devenus marchands.
XLII.—Une ferme bien tenue.—Hygiène de l'habitation.—Les fermes-écoles.
XLIII.—Une ferme bien tenue (suite) .—La porcherie et le poulailler.
XLV.—André et Julien sur le marché de Mâcon.—Les profits de la vente. L'honnêteté dans le commerce.
XLVI.—Les vignes de la Bourgogne.—La fabrication du vin.—La richesse de la France en vignobles.
XLVIII.—La plus grande usine de l'Europe: le Creuzot.—Les hauts-fourneaux pour fondre le fer.
XLIX.—La fonderie, la fonte et les objets en fonte.
LII.—La probité.—André et le jeune commis.
LIII.—Les monts d'Auvergne.—Le puy de Dôme.—Aurillac.—Un orage au sommet du Cantal.
LVI.—Une ferme dans les montagnes d'Auvergne.—Julien et le jeune vannier Jean-Joseph.—La veillée.
LVII.—Les grands hommes de l'Auvergne.—Vercingétorix et l'ancienne Gaule.
LVIII.—Michel de l'Hôpital.—Desaix.—Le courage civil et le courage militaire.
LIX.—Le réveil imprévu.—La présence d'esprit et l'initiative en face du danger.
LX.—L'incendie.—Jean-Joseph dans sa mansarde.—Une belle action.
LXI.—Les chèvres du mont d'Or.—Ce que peut rapporter une chèvre bien soignée.
LXII.—Lyon vu le soir.—Le Rhône, son cours et sa source.
LXVIII.—Les mûriers et les magnaneries du Dauphiné.
LXXI.—La visite du médecin.—Les soins d'André.
LXXII.—La guérison de Julien.—Le chemin de fer.—Grenoble et les Alpes du Dauphiné.
LXXIII.—Une des gloires de la chevalerie française. Bayard.
LXXXI.—Un grand ingénieur du Languedoc, Riquet.—Un grand navigateur, la Pérouse.
LXXXII.—Brusquerie et douceur.—Le patron du bateau «le Perpignan» et Julien.
LXXXIII.—André et Julien aperçoivent les Pyrénées.—Le cirque de Gavarnie et le Gave de Pau.
LXXXIV.—Toulouse.—Un grand jurisconsulte, Cujas.
LXXXV.—André et Julien retrouvent à Bordeaux leur oncle Frantz.
LXXXVI.—Les sages paroles de l'oncle Frantz: le respect dû à la loi.—Un nouveau voyage.
LXXXVII.—Grands hommes de la Gascogne: Montesquieu, Fénelon, Daumesnil et saint Vincent de Paul.
LXXXVIII.—Lettre de Jean-Joseph. Réponse de Julien.—L'Océan, les vagues, les marées, les tempêtes.
LXXXIX.—Suite de la lettre de Julien.
XCI.—Les lumières de la mer.—La mer phosphorescente, les aurores boréales, les phares.
XCII.—Il faut tenir sa parole.—La promesse du père Guillaume.—Dignité et respect de soi.
XCV.—Le pays du pilote Guillaume.—La Normandie, ses ports, son commerce.—Rouen et ses cotonnades.
XCVI.—La Normandie (suite) ; ses champs et ses bestiaux.
XCVIII.—Le naufrage.—Égoïsme et dévouement.
C.—La dernière rafale de la tempête.—La barque désemparée.
CI.—Le noyé et les secours donnés par Guillaume.
CII.—L'attente d'un navire et les signaux de détresse.
CIII.—Inquiétude et projets pour l'avenir.
CIV.—Une surprise après l'arrivée à Dunkerque.—Les quatre caisses.—Utilité des assurances.
CV.—Le Nord et la Flandre.—Ses canaux, son agriculture et ses industries.—Lille.
CVII.—L'Artois et la Picardie.—Le siège de Calais.
CVIII.—La couverture de laine pour la mère Étienne.—Reims et les lainages.
CXI.—Une lettre à l'oncle Frantz.—Un homme d'honneur.—La dette du père acquittée par le fils.
CXII.—Paris.—La longueur de ses rues.—L'éclairage du soir.—Les omnibus.
CXIII.—Les Halles et l'approvisionnement de Paris.—Le travail de Paris.
CXIV.—Paris autrefois et aujourd'hui.—Notre-Dame de Paris.
CXV.—L'Hôtel-Dieu.—Les grandes écoles et les bibliothèques de Paris.
CXVI.—Une visite au Jardin des Plantes.—Les grands carnassiers.—Les singes.
CXVII.—(Suite.) La fosse aux ours. L'éléphant.
CXX.—La ferme du père Guillaume dans l'Orléanais.—Les ruines de la guerre.