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2. Obero, l’acte d’oppression 28.07.2007
ОглавлениеDes coups pour nous rendre inconscient du jour qui s'apprête à arriver, en plein jour ou le soir pour comprendre aussi comment frapper les autres ou, pour se personnifier, pour nous enlever notre identité... je me suis rendu compte en même temps que si Moi ou quelqu'un d'autre présente ou agit pour de bon, je ne peux pas rester dans une position immobile. En attendant, je trouve la journée déroutante, sans objectifs, puisqu'elles ont été annulées depuis le début de la journée, je pense que cela a été fait à tous ceux que je connais, impliqués dans le fait de devoir faire les choses qui devaient être faites. Des événements qui se transmettent en attendant la fin des temps, aussi parce que comme je le sais déjà, un bien a des prérogatives, nous devrons aussi faire ce qui nous a enlevé le dérangeait et devait être fait, comme l'environnement du village aussi un citoyen maigre, annulé dans les forces de l'hôte de ceux qui ne savent que pour déplacer un être humain d'avant en arrière. Avec une difficulté aussi évidente, nous sortirons certainement de cette situation ou de ces ennuis, nous ne pouvons tout simplement pas continuer indéfiniment, nous ne sommes pas un infini corporel, mais le fait que quand tout se brise, nous le reconstruisons, pour fonctionner à nouveau comme si de rien n'était, j'espère toujours dans votre clémence et dans votre bienveillance, les derniers mots de ceux qui se réjouissent parfois de cette réalité, comme une bouteille sera déjà terminée. Le temps le fait grandir… oui bien sûr, chaque acte n'est pas faux car il fait partie d'une vie, mais il y a des actes manifestement mauvais dans son cours, certainement mais pas, en buvant de l'eau de Javel. Bien sûr, ils veulent nous tuer, même pour dire ou faire, les personnes présentes ne peuvent pas voir les objets en mouvement, surtout la tête, ne veulent pas me blesser mais, je la porte toujours avec moi parce que je vis dans la journée, aujourd'hui le moderne.
Ces problèmes sont personnels, pas malades, alors ce sera un droit à la vie privée ou un vol, il n'y a pas besoin d'un moment à l'autre d'aller voir si un mal est toujours une mauvaise chose, c'est bien aussi un bien, cependant, à cinq minutes du matin vous comprenez déjà que ce n'était pas vraiment pour faire ce qu'il fallait aujourd'hui, comment ils le disent, ce qu'ils nous ont promis ou, ils vont nous faire faire. Cela vous tuera, soyez sûr mais seulement si vous resterez toujours immobile, pas plus, bref, en réalité, le temps lui-même enlève ces choses qui ne peuvent pas être faites, comme si quelqu'un vous rappelait toujours un jour que vous mourrez, alors que vous le ferez rester toujours belle et vivante. Vous êtes sûr d'être en vie… c'est un fait très important dans le grand nombre de personnes présentes, comment n'aimez-vous pas sortir et trouver les prochains qui parlent? Vous savez que le temps lave tout. Un asocial après cinq ans change de personnalité, devient très social, amical, c'est ce que fait la société moderne. Ceux qui réalisent ces «preuves du bien» ont une renommée existentielle en tant que meurtre, comme ce n'est pas très clair pour certaines causes on meurt et personne ne l'admet, on pourrait être l'hypothèse du mal.
Alors vous étudiez votre bombe à retardement pour ne pas vous retrouver dans cet endroit quand elle explose, puis vous inventez un bar où vous pouvez être indifférent ou, faites quelque chose que vous aimez, puis continuez vers votre ville pour aller déjeuner, dîner, puis bleu, il faut bouger même si on retombe en soi, forcément parce qu'on ne peut pas toujours recommencer. Il valait mieux mourir, disaient-ils en Italie, puis finalement la mort était au bout de deux heures, ce n'était pas du tout un bonheur mais de ce que c'est personnellement... de n'avoir rien fait et de faire semblant de ne pas mourir.
Continuez à vivre, ne faites rien, vous mourrez simplement, alors ne croyez pas en cet environnement pas très coloré, un mal ici sera de l'argent, vous ne pouvez croire qu'en notre oui, en écrivant: nous ne sommes pas très intéressés par le mal, et le important qu'on ne nous ait pas donné, ils ne peuvent pas nous dire dans dix ans que nous sommes des pigeons ou des petits, si nous étudions autre chose. Le poids corporel n'est pas seulement de l'eau, vous verrez que vous ne descendez plus sur terre, puisque moi non plus je ne descends jamais, car je ne serai jamais tombé dans le mal, alors calmez votre âme en parlant de mensonges apaisants. Ce front n'est qu'un outil commercial, plus tard il s'ouvre dans le fantasme, sinon il n'y a pas de contraire à un seul ou une raison qui fend la vie, la vie ne continue-t-elle pas ce soir? Aucun effet de levier, aucune prise, aucun mal, pensez à l'avenir de ma part. Un garçon vit, mange la fête... il n'a rien à voir avec ça, plus que toute autre chose tu n'as jamais appelé aucun des humains qui ne sont qu'une idée, il rit sans être un imbécile, ce n'est pas quelqu'un qui devient fou avec le mal ou, qui n'a jamais eu d'avenir. Quelqu'un viendra vous arrêter, un voisin ou deux, ils vous diront d'arrêter de faire ce que vous faites... si vous ne comprenez pas le présent, pensez que c'est l'avenir.
Ok ne faisons plus rien, détendons-nous dans notre soirée ou, la soirée n'est plus à nous mais à ceux qui ne savent pas, ça vous semblera étrange peut-être que vous le savez déjà, ils sont heureux de mourir, nous ne le savons pas, nous le faisons ne fait aucune différence. Ok alors ça ne marche pas, ça est déjà passé ou ça va arriver ok, alors ce n'est pas là, pourtant ça vient cependant, mais encore une chose, vive le communisme s'il y a encore des communistes, vivre avec sera séparé de le fascisme dans la vie, un parasite penché à droite est ce qui parvient à vous empêcher de parler si la solution est des êtres, pense que les autres seront aussi des êtres, mangent bien mais en bonne santé. Entrez dans votre bien-être ne pensez pas à supprimer des maisons, quand le passé est un passé, le présent sent toujours bon.
Ce n'est pas le cas, donc personne ne le sait, donc qui veut... après les intérêts ne seront pas les leurs mais les nôtres. On se repose sans participants, sans amours comme les mûres, visons le centre, ils veulent nous voir dans un bar en train de prendre un café ou à la maison, puis sortons comme Mathusalem quand elle sort de la baignoire, ça va. Peut-être que ce n'est pas là, peut-être que cela ne respire pas la tromperie d'un monde incapable de réaliser les deux pieds et l'intérêt entre nous. Je suis blanc, jaune, la couleur de l'eau pour un mal qui a été surmonté, tandis que je suis vert parce que je t'aime toujours. Un mal n'est pas un ami mais une forme terne qui rassure les gens, pour que rien ne se soit passé, mais plus tard peut-être il nous attaquera, car l'avenir est accompli. Il n'y a pas de contrôle, le passé est une fenêtre sur l'avenir, le monde ne le voit pas, sa présence n'est jamais dite, car elle est fausse... c'est un cauchemar.
Alors aujourd'hui tout n'est pas bon, tout n'est pas entré... ne dis pas que je te l'ai dit, le poison sera comme ça, la vie n'est pas éternelle, comment vas-tu rentrer chez toi sans ange, sans manger et sans dormir, sans même comprendre pourquoi vous avez été en vie. Ici nous n'avons pas été tous ensemble mais, un par un, ne cachez pas le bon M. Personne, vivre et laisser vivre... combien de manières y a-t-il de mourir dans ces idées mal créées, une seule à vivre, ils ne nous l'ont jamais dit, ces grands patrons modernes, donc ça continue encore aujourd'hui, même si cela semble un diminutif ou une augmentation et donc nous vivons seuls, ou plutôt nous continuons dans l'impossibilité de chercher une équation décente ou, un produit cartésien qui nous produit, au lieu d'une émotion autre que l'amour ou, alors, complice du mal. Il sera tard donc il ne faut pas se plaindre, c'est déjà trop ce qu'on a, trop vraiment, une exagération... on voit que ce produit à manger dans la cuisine dit quelque chose, puis les habituelles montent et descendent les escaliers, eh bien, essayer de ne pas rencontrer quelqu'un, c'est impossible, peut-être que nous aurions la mauvaise année, vous savez qu'ils font ça à tout le monde.
Quiconque a commis une erreur la laissera mauvaise, que pensez-vous de la création d'un panier, d'un trou. Ici, il n'y a vraiment que de beaux produits emballés, à utiliser seulement pendant longtemps, pour ainsi dire nouveau, et puis il ne peut pas être augmenté alors que ce qui faisait le mal n'était pas un panier mais, seulement toutes les maladies réunies dans le vide ou, ce qui vous fait perdre le bien de ce que je comprends, ils ressemblent à un être adulte qui grandit et ne comprend pas sinon parfois, si alors ils vous trouvent que vous comprenez, ils vous attaquent comme ça, jusqu'à ce que les pizzas et les gâteaux soient fini... s'ils ne sont pas déserts, ce sont des bagatelles comme toutes les maladies, bon appétit.
“Pour sortir d’un piège…” Salut, G.