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La transformation d'une femme

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En ce jour d'été typique du sud de la France, le thermomètre dépasse les 32°. Pas la moindre brise pour venir rafraîchir l'atmosphère. Seul à la maison, je m'apprête à passer une autre journée ennuyeuse devant ma console lorsque la sonnerie de mon portable retentit.


- Allô Matt'? C'est Eveline! Ça ne te dérange pas si je passe te voir?


Eveline et moi sommes voisins, amis et bien plus que cela. Tous les deux, nous sommes enfants uniques, et depuis notre plus tendre enfance nous vivons presque comme frère et soeur.


Contrairement à moi, Eveline est une fille studieuse, réservée. Sa vie ce sont ses études et ses livres, qu'elle dévore. Alors que pour ma part, je passe ma vie à m'amuser: soirée entre potes, console, filles et rugby. D'ailleurs cela se ressent sur ma scolarité puisque je viens tout juste d'avoir la moyenne au bac de français et de décrocher d'un cheveu mon passage en terminale, tandis que Eveline, qui à 3 mois de moins que moi, a obtenu son bac S avec mention. Mais bon cela ne nous empêche pas d'être soudés tous les deux. Tellement soudés que tout le monde nous voit finir ensemble elle et moi.


Je dois reconnaître que cela ne me déplairait pas. Mais Eveline semble totalement hermétique aux garçons. À vrai dire, si nous n'avions pas échangé un baiser lorsque nous avions 12/13 ans (juste une fois, "pour rire"), je ne serai pas loin de me dire qu'aucun garçon ne s'est jamais approché d'elle. Pourtant Eveline a vraiment tout pour plaire: une silhouette agréable, de jolis seins, des fesses musclées et bien formées, des mains et des bras fins. Son visage est charmant avec de grands yeux noirs, un petit nez et des cheveux "chocolat" (je ne comprendrai jamais le nom des couleurs que les filles donnent à leurs cheveux). Parfois, il me faut l'admettre, mon amie s'immisce dans certains de mes rêves érotiques, depuis longtemps déjà. Au début je lui racontais. Mais j'ai eu la sensation un jour que cela la mettait mal à l'aise. Alors j'ai gardé mes rêves pour moi.


Mais limiter la personnalité de Eveline, ma "presque soeur", à son physique serait la rabaisser à n'être qu'un corps. Alors qu'elle est bien plus que ça. Comme je vous l'ai déjà dit, elle est intelligente et réservée. Mais elle est aussi pudique, drôle, ouverte d'esprit et toujours à l'écoute. Et surtout terriblement têtue. Peut-être cela vient-il de ses origines corses!


Cinq minutes après son appel, Eveline sonne à ma porte. Je lui ouvre et la découvre le sourire aux lèvres, les cheveux attachés et vêtue d'une salopette-short et d'un débardeur.


Je l'invite à entrer, puis, tout en parlant de choses et d'autres, nous nous dirigeons vers le salon.


- Tu es certain que je ne te dérange pas? insiste-t-elle.


- Non non, j'avais rien de prévu aujourd'hui. dis-je pour la rassurer.


- En fait, je voulais profiter de votre piscine, m'explique-t-elle. Il fait tellement beau que j'aimerai entretenir mon bronzage et me rafraîchir avec quelques longueurs.


Je lui propose de faire comme chez elle, le temps pour moi d'aller enfiler un maillot et de chercher des draps de bain.


Lorsque je la retrouve, un instant plus tard, à proximité de la piscine, elle est en train d'installer deux transats, simplement couverte d'un magnifique bikini bleu.


- Je vais d'abord me faire bronzer un moment avant de me baigner.


Tout en essayant de rester discret, je jette quelques coups d'oeil sur son anatomie, pour le moins attirante.


Est-ce le fait de ne pas avoir eu de relation sexuelle depuis quelques semaines, toujours est-il que je sens pointer un début d'érection.


Je détourne le regard et tente de penser à autre chose. Mais en vain! Piquer une tête dans la piscine me fera sans doute le plus grand bien et calmera mes ardeurs.


À peine ai-je le temps de me redresser de dessus mon transat que Eveline m'interpelle:


- Tu peux me mettre de la crème solaire sur le dos?


Sa demande me stoppe net. Je me met à éprouver des sentiments coupables. De la gène car mon érection est clairement visible, et de la honte car je me sens coupable de ce désir soudain pour celle que je considère comme ma soeur. Si elle vient à s'en apercevoir, je risque de la vexer et peut-être m'en voudra-t-elle.


Pour le moment, allongée sur le ventre, les yeux fermés, elle ne semble pas être consciente de mon état de grande excitation.


Je saisi le tube de lotion solaire, puis après m'être assis sur ses jambes, je commence à lui en étaler sur les épaules et le dos.


Eveline venant régulièrement se baigner à la maison, j'ai souvent eu l'occasion de lui faire ceci. Mais jamais ces gestes n'avaient eu une telle charge érotique à mes yeux. Le contact de sa peau sous mes doigts, habituellement si anodin, est aujourd'hui quelque chose de très sensuel. Involontairement, mes mains s'attardent sur ses reins, glissent le long de ses côtes, où j'effleure la naissance de ses seins. Mon regard s'accroche à son fessier, maudissant intérieurement le tissus qui m'empêche de voir son joli petit cul.


Avec tout ça, difficile de ne pas être excité!


- Hmm c'est bon pour le dos, me dit-elle, passe sur mes jambes aussi, s'il te plait.


Je change d'emplacement et je me met à genoux à côté d'elle. Je lui recouvre chevilles et mollets de crème et remonte sur ses jambes. D'elle même Eveline écarte les cuisses. En partant de l'arrière de ses genoux et grimpant en direction de son derrière, je sens mon désir palpiter dans tout mon corps. Parvenu juste sous ses fesses, mes doigts s'insinuent vers l'intérieur de ses cuisses.


Tout d'abord je me retiens de frôler son sexe qui n'est à quelques millimètres de ma main. Mais je finis par l'effleurer "malencontreusement" une première fois. Puis une deuxième. Eveline ne proteste pas. Je m'enhardis davantage. Je laisse mes doigts passer contre son intimité, toujours sous le prétexte de lui recouvrir les cuisses de lotion.


Le tissus bleu de son bikini semble devenir plus sombre. Comme s'il devenait... humide. Oh mon Dieu!!! Eveline est en train de mouiller. Elle est excitée par l'action de mes mains! Les idées les plus folles, les envies les plus coquines traversent mon esprit. J'oublie un instant qu'elle est mon amie de toujours, ma "presque soeur". À cet instant, elle est une jeune femme sensuelle et je suis un jeune homme qui la désire.


Mais elle se redresse brusquement.


- Allez! Je vais me baigner! me lance-t-elle, d'une voix mal assurée.


Immédiatement, elle plonge tête la première dans l'eau. Je lui emboite le pas.


Bien que la piscine ne soit pas immense, nous nageons chacun de notre côté. Pour ma part, cela me permet d'atténuer les effets de mon excitation.


Après quelques minutes, c'est Eveline qui se rapproche de moi, et comme bien souvent, elle se met à m'éclabousser. C'est le signal habituel entre nous pour dire qu'elle a envie de chahuter avec moi. Nous nous mettons à nous poursuivre, à nous sauter dessus, à nous faire couler. Mon amie rit aux éclats.


À un moment, elle finit par tenter de me fuir. Je la rattrape et la bloque dans un angle de la piscine. Nos corps se retrouvent l'un contre l'autre. Sa poitrine contre mon torse.


- Alors Mademoiselle?! Je crois que vous ne pouvez plus vous échapper.


- Et qui te dit que j'ai envie de m'échapper?


Mes bras relachent leur emprise. Mes mains descendent presque inconsciemment sur son petit cul galbé. Eveline respire de plus en plus vite. Si elle ne prononce aucun mot, ses yeux parlent pour elle. Et me disent de continuer.


Je glisse ma main dans son bikini pour lui saisir une fesse. Pour toucher sa peau nue à cet endroit interdit. Enfin! En même temps, je la sens me faire la même chose, mettant elle ses deux mains à l'arrière de mon maillot. Elle écarte légèrement les jambes quand je tente d'y faire glisser une des miennes. Le haut de ma jambe se retrouve à faire pression sur son sexe. De sa propre initiative, elle effectue de petits mouvements de bassin pour faire frotter sa vulve sur moi.


Nos regards restent fixés l'un à l'autre. Semblant se défier. Et même lorsque je me décide à poser mon autre main sur un sein, elle ne baisse pas les yeux. Je lui dégage la poitrine. Elle frémit de plaisir quand mes doigts caressent son mamelon. Pour ne pas être en reste, elle passe une main entre nos deux corps et vient saisir mon sexe tendu. Le simple contact de ses doigts sur ma queue dure est presque suffisant pour me faire jouir.


- Eveline...


Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que ses lèvres viennent se poser sur ma bouche. Cette fois, il ne s'agit plus d'un baiser entre ados en quête de découverte, encore moins un baiser entre amis. Non, il y a dans ce baiser un énorme désir physique.


À cet instant une voiture s'arrête non loin de ma maison et la voix de plusieurs de mes camarades du rugby se fait entendre. Dans la précipitation, Eveline et moi nous détachons l'un de l'autre. Et pendant qu'elle se sèche et se rhabille, je vais ouvrir à mes amis.


- Je dois rentrer... me dit elle en m'entraînant à part.


Je la raccompagne jusqu'à la porte, tentant de la convaincre de rester.


- Non, il est préférable que je m'en aille.


- Reste, s'il te plait...


- Mathieu, je...


Ses mots s'éteignent. Eveline s'approche une dernière fois pour m'offrir un nouveau baiser tendre. Puis elle part, me lançant:


- Ne t'inquiète pas! Je reviendrai...


Je la regarde rentrer chez elle, incrédule devant ce qui vient de nous arriver. Et pressé de la revoir.


Deux jours se sont écoulés depuis que Eveline est venue à la maison. Et depuis, plus de nouvelle. Plusieurs fois je me suis demandé si c'était à moi de l'appeler ou bien si je devais attendre qu'elle fasse le premier pas. Cette situation étant nouvelle pour nous deux, je perd tous mes repères avec elle. Et ma plus grande angoisse est de perdre ce lien qui nous unit depuis l'enfance. Mais tout ce que nous avons fait, était-ce un coup de chaleur? Une "aventure" sans conséquence? Ou bien était-ce quelque chose de bien plus sérieux?


Et puis finalement, au matin du 3ème jour, alors que je suis encore en train de trainer dans mon lit, Eveline me téléphone.


- Salut Matt, t'es chez toi?


- Oui, je viens de me réveiller.


- Je peux passer te voir?


- Bien sur, tu es toujours la bienvenue...


- Ok! Dans une demie heure, ça te va?


- Pas de problème, je t'attend.


- Bisous, à tout à l'heure.


En raccrochant, je sens mon coeur battre la chamade, heureux de la perspective de la revoir enfin. Sans attendre, je saute de mon lit et range ma chambre vite fait avant de prendre une douche.


Tout juste le temps de finir que Eveline est déjà là.


En ouvrant la porte, j'ai le souffle coupé: mon amie, jeune vierge innocente, s'est métamorphosée en une jeune femme hyper sexy. Les cheveux tirés en arrière, attachés en queue de cheval, le visage délicatement maquillé, habillée d'un bustier blanc qui met son bronzage et sa poitrine en valeur et portant une jolie petite jupe qui lui arrive à mi-cuisse.


Rien de tel pour me mettre les sens en éveil et le sang en ébullition. Le désir que j'ai éprouvé 3 jours plus tôt sur le bord de la piscine refait instantanément surface.


- Tu ne me fais pas entrer? me demande-t-elle en souriant.


- Oh si si... Excuse moi! Après toi.


Eveline prend la direction du salon. Je la suis, sans parvenir à détacher mon regard de son joli postérieur qui se balance de droite à gauche avec une grâce et une élégance que je n'ai jamais constaté auparavant.


Mais qu'ai je fait durant des années pour ne pas voir tout le charme qui se dégage de ma "presque soeur"? Pendant des lustres, j'ai cherché la fille parfaite, alors qu'elle se trouve sous mes yeux depuis toujours.


- Tu veux boire quelque chose? Mes parents on fait le plein du réfrigérateur hier. Il y a surement tout ce que tu veux.


- Un jus d'orange alors, me répond-elle en prenant place sur le canapé d'angle.


Je lui amène sa boisson puis m'installe sur le canapé à mon tour, sur la partie opposée. Pendant que nous buvons, aucun de nous deux n'adresse le moindre mot. En ce qui me concerne, je suis bien trop occupé à promener mon regard sur ses jambes et à remonter aussi haut que possible sous sa jupe. Lorsque Eveline décroise les jambes, je me retrouve avec une vue directe sur sa petite culotte blanche, toute simple. Dieu sait que dans ma jeune vie de "coureur de jupon" j'en ai vu des culottes, des strings, des shortys, des boxers et autres dessous. Mais jamais cela ne m'a mis dans un tel état d'excitation.


Lorsque je relève les yeux pour regarder ma meilleure amie dans les yeux, celle ci affiche un délicieux sourire. Nul doute à avoir: elle sait que je scrute son intimité. Elle sait qu'elle m'excite. Elle sait à présent que je la regarde comme une jeune femme désirable. Et cela ne semble la déranger en aucune façon. D'ailleurs ne serait-elle pas en train d'observer également mon entre-jambe? Mon érection est-elle si visible?


- Tu n'as plus de t-shirt dans tes affaires? me questionne Eveline, d'un ton moqueur.


Je baisse les yeux et constate que, dans ma précipitation, je n'ai pas fini de m'habiller comme il faut.


- Oh... Excuse moi. Je vais en mettre un.


Je me lève. Mais avant d'avoir pu faire plus de deux pas, Eveline me saisit le bras et me fait assoir à côté d'elle.


- Ne t'inquiète pas. Ça ne me dérange pas du tout. Bien au contraire même. Tu ne te demandes pas pourquoi je suis venue te voir?


- Pour parler de l'autre jour?


- Oui, entre autres. J'espérai qu'on pourrait avoir une petite conversation.


Une conversation? Ok! Mais que dois je lui dire? Qu'après trois jours j'ai toujours autant envie d'elle? Que je ne la vois plus en amie mais davantage en petite amie potentielle? Que de la voir se mordiller la lèvre inférieure me fait littéralement craquer?


Devant mon silence, Eveline prend les devants.


- Ne t'en fais pas...


Puis après avoir posé son verre, elle saisit mes deux mains entre les siennes. Elle tremble un peu.


- Tu sais je ne regrette absolument rien de ce qui s'est passé. Que ce soit notre baiser ou... le reste. J'en avais tellement envie.


- Cela fait longtemps? Je veux dire depuis quand as tu envie de ça, de moi?


- Depuis trop longtemps pour que je m'en souvienne. Depuis toujours peut-être. Je crois que... je... t'aime.


- Redis le moi!


- Je t'aime Mathieu.


- Je crois que moi aussi. J'aime la manière dont tes yeux me fixent en ce moment. J'aime tes cheveux quand ils sont attachés comme maintenant. J'aime ton sourire. J'aime te voir rougir comme tu le fais là. J'aime ton décolleté aussi...


Eveline explose de rire.


- Rooh mais t'es nul!


- J'aime ton rire. J'aime le goût de tes lèvres.


Sans plus attendre je pose ma bouche sur la sienne, et une main sur la chair nue de sa jambe. Notre baiser est tendre et voluptueux. Nos langues se cherchent, se trouvent puis se mélangent. Un baiser d'une exquise longueur.


Je me hasarde à remonter mes doigts sous l'ourlet de sa jupe.


- J'aime aussi tes baisers. J'ai envie de t'embrasser encore et encore.


Nos lèvres se frôlent, s'éloignent puis se trouvent à nouveau. Ce petit jeu allume un gigantesque brasier en moi, dont le foyer principal réside dans mon coeur. Je me consume de désir et d'amour. Eveline me serre entre ses bras et cesse toute retenue. Dix fois, cent fois, mille fois nos langues s'entremêlent.


Mon amie me reprend une main et la guide vers son sein, que je presse avec convoitise. Elle laisse échapper un gémissement de plaisir. Je fais glisser son bustier pour libérer sa poitrine. Je délaisse alors sa bouche pour venir lui embrasser ses ravissants objets de désir. Je lui mordille le téton droit, je le suce et l'embrasse à n'en plus pouvoir.


Eveline passe ses doigts dans mes cheveux, me plaque la tête contre ses seins.


- Oh Mathieu! J'ai envie de toi. Tellement envie.


Ses paroles et sa voix sont le plus efficace des aphrodisiaques. Je reprend mon exploration sous sa jupe. Mais à présent il ne s'agit plus gestes timides et lents. Fini de lui effleurer la cuisse. Mes doigts vont chercher l'emplacement de sa fente. Sa culotte blanche est totalement imprégnée de cyprine. À travers le tissus humide, je la caresse, sans stopper mes jeux de bouches avec ses tétons dressés.


Ses gémissements sont de plus en plus forts.


- S'il te plait arrête de m'exciter! Je veux tes doigts en moi!


Je ne vais tout de même pas lui refuser ça?! Sa culotte blanche se retrouve immédiatement sur le sol. Sans plus attendre, je glisse deux doigts dans sa chatte vierge, jusqu'à ce que je rentre en contact avec son hymen. Je pourrai m'introduire plus profondément, mais je réserve la fin de son pucelage pour mon sexe.


Quelques vas et viens suffisent pour qu'elle m'agrippe entre ses bras. J'ai couché avec suffisamment de filles pour savoir qu'elle est sur le point d'atteindre le 7ème ciel.


Soudain, les muscles de son vagin se crispent sur mes doigts. Eveline jouis avec force.


- Oh mon Dieu!!! Continue c est trop bon!


Je peux sentir son fluide couler sur mes doigts. Rarement j'ai vu une fille mouiller aussi abondamment.


Son moment de total jouissance achevé, Eveline s'effondre sur le canapé, mes doigts toujours dans son vagin. Son regard est comme dans le vague. Mon amante semble ne plus savoir où elle se trouve.


- Merci... c'était trop... trop bon!


- Mais qui te dis que j'ai fini?


Je me met à genoux, ma tête à la hauteur du pubis de Eveline. Je peux sentir le parfum envoutant de son intimité. Je lui écarte plus largement les jambes et j'approche ma bouche. Depuis que j'ai une vie sexuelle active, j'ai toujours adoré passer ma langue sur le sexe de mes partenaires. Pour moi, le cunni est un indispensable moment de partage. Et à cet instant, je meurs d'envie de connaître le goût de ma Eveline.


- Ooh Mathieu, non! Je dois reprendre des forces, ça m'a épuisé.


Mais je ne tiens pas compte de ce qu'elle dit. Non pas parce que je me moque de sa demande, mais parce que, visiblement, ma "presque soeur" a besoin de découvrir l'étendu de ses capacités au plaisir. Dans un premier temps, je passe ma langue sur ses lèvres intimes pour me délecter de son fluide du désir. Puis avec deux doigts, je m'offre un accès vers son clitoris. Au contact de la pointe de ma langue sur son bouton proéminent, Eveline laisse échapper un "haaan" dés plus sonores. Au fur et à mesure des différentes caresses, des mordillements et des sucions sur son clito, elle se tord de plaisir sur le canapé. Elle plaque sa chatte contre ma bouche. Plus question pour elle de reprendre des forces.


Eveline est elle très sensible au plaisir, ou bien est ce l'accumulation d'années d'attente? En tout cas elle jouit une seconde fois lorsque j'accélère le rythme de ma langue et la pression de ma bouche.


- Je... vais... encore... halète-t-elle, en soulevant son bassin.


Son corps se raidit et frémit lorsqu'un orgasme ravageur la traverse.


Quand la tension se relâche, je viens déposer ma bouche, maculée de mouille, sur la sienne. Nous partageons un long baiser parfumé à la cyprine. À la fin de ce bisou, Eveline me confie qu'elle n'avait jamais imaginé que cela puisse être aussi intense.


- Et c'est pas fini! lui dis-je en souriant.


Je me relève et me débarrasse de mon pantalon et de mon boxer. Mon sexe est fièrement tendu, prêt à passer enfin à l'action. Mon amie de toujours regarde intensément mon engin. Et après un instant de réflexion, elle se lève et vient trouver refuge entre mes bras, un peu nerveuse.


- Je... ne suis pas certaine... d'être prête à aller jusque là.


- Ah... Écoute, ce n'est pas grave mon coeur. J'attendrai. On a tout notre temps.


Eveline retrouve le sourire.


- Tu es sur?


- Bah oui! Je ne vais pas te forcer à faire ça si tu me dis que tu n'es pas prête. Un mec doit respecter sa petite amie. Surtout pour ce genre de chose.


Ma petite amie? Ai-je vraiment dit ça? Cela m'est venu tellement facilement. Sans y réfléchir. À en juger par l'air surpris de Eveline, elle ne s'attendait vraisemblablement pas à ce genre de déclaration. Mais, reprenant de l'assurance, elle m'adresse un beau sourire tout en clignant de l'oeil.


- Toutefois, je ne vais quand même pas te laisser dans cet état...


Joignant le geste à la parole, ses doigts se posent sur mon sexe dressé et l'entourent avec douceur. Lentement, elle embrasse mon cou, mon torse et mon ventre. À genoux devant moi, Eveline porte sans attendre mon gland à sa bouche. Un peu hésitante, elle entreprend de me pomper. Ce qu'elle ne possède pas en savoir faire et en expérience, elle le compense par son enthousiasme. Sa langue, ses lèvres et ses mains me procurent un plaisir d'une grande sensualité.


Si on m'avait dit, il y a encore quelques jours, que ma Eveline, à moitié nue, pratiquerait sur moi la plus délicieuse fellation qui soit, jamais je ne l'aurais cru. Et pourtant, à cet instant même, mon sexe entre et sort de la bouche de mon amie la plus proche.


Lorsque par instant Eveline fait sortir ma queue de cet antre chaud et humide, elle ne peut s'empêcher de sourire. Non seulement elle me fait du bien, mais en plus elle s'éclate! Que demander de plus?


Quand je sens mon plaisir s'intensifier et mon orgasme proche, je me retire de sa bouche. Avec énergie, je me masturbe devant ma "presque soeur". Un premier jet de sperme jaillit et termine sa course sur ses seins. Le plaisir est grand, et se propage dans tout mon corps. Quel pied! Quel bonheur!


Eveline prend elle même l'initiative de replacer mon sexe dans sa bouche afin d'y recueillir les dernières gouttes de ma semence.


Le corps repu, le coeur léger et l'âme joyeuse, nous cessons là nos tendres ébats. Eveline me demande la permission de prendre une douche.


À son retour, elle revient directement entre mes bras.


- Que nous arrive-t-il Matt?


- Ce que tout le monde avait vu avant nous et nous prédisait: nous allons finir ensemble...


- Quelle jolie fin alors...


Nous ne pouvons nous retenir de rire. Comme deux gamins qui viennent de réussir un mauvais coup sans se faire prendre. Collés l'un à l'autre durant de longues minutes, nous nous embrassons sans jamais nous en lasser.


Pourtant ma chérie finit par stopper ce doux moment.


- Il faut que je parte. Je dois aller en ville cet après midi - m'explique-t-elle.


- Tu reviens ce soir?


- J'aimerai vraiment, mais je fais du babysitting ce soir.


- Alors demain soir? Mes parents partent trois jours à Paris pour un congrès.


- Si tu veux. Passe me prendre à la maison demain soir, car c'est un peu compliqué avec ma mère en ce moment. Mais si c'est toi qui vient me chercher, elle ne s'y opposera pas.


Le lendemain, à l'heure convenue, je me présente chez les parents de Eveline.


- Ah Mathieu! Entre donc.


L'accueil du père de ma petite amie est dès plus chaleureux. Il faut dire qu'il a toujours rêvé d'avoir un fils. Mais puisque "Mère-Nature" lui a refusé ce cadeau, il compense un peu ce manque avec moi. C'est de lui d'ailleurs que me vient mon amour du rugby.


Je salue également Anne, la mère de Eveline. Et aussi mon amie, qui joue l'étonnement de me voir avec talent. Pour le moment nous nous sommes mis d'accord pour garder notre idylle secrète.


Deux ou trois phrases pour parler du beau temps, puis je demande enfin aux parents de ma chérie si celle ci peut venir dormir à la maison. Sans surprise, ils acceptent. Eveline part donc préparer ses affaires pour la nuit.


Anne en profite pour m'interroger.


- Tu connais Eveline depuis toujours, tu es son meilleur ami. Ne trouves tu pas que notre fille a changé ces derniers jours?


- Non, pas particulièrement.


- Ah... Mais pourtant... Je lui trouve un air bizarre. Elle est toujours dans la lune, perdue dans ses pensées. Je l'ai même surprise plusieurs fois en train de sourire toute seule dans son coin. Elle ne lit quasiment plus...


- Ne t'inquiète donc pas ma chérie, lui rétorque son mari. Elle est simplement heureuse d'avoir eu son bac. Laisse la donc décompresser.


- Non non non! Je connais ma fille. Je parierai qu'il y a un garçon là dessous. Heureusement je lui ai fait prendre la pilule.


Mais déjà Eveline réapparaît. Nous saluons ses parents et nous regagnons mon domicile. Durant les quelques encablures qui séparent nos deux maisons, je l'informe des doutes de sa mère.


- Si nous ne rendons pas notre relation officielle rapidement, elle va surement m'emmener voir un prêtre pour me faire exorciser.


Le début de la soirée se déroule de la façon la plus romantique qui soit: longue séance de bisous allongés sur le canapé, diner en tête à tête sur la terrasse (préparé par mes soins). Tout le temps les yeux de Eveline ne cessent de briller. Je la connais suffisamment pour savoir qu'elle est heureuse. Tout comme je le suis.


- J'ai l'impression de rêver... me confie-t-elle en venant se blottir entre mes bras.


Puis rapprochant sa bouche de mon oreille, elle me murmure:


- Je veux que tu fasses de moi une femme, ce soir!


- Mais... mais hier tu m'as dit que tu n'étais pas encore prête.


- J'avais peur. Je te connais depuis si longtemps. Tu as couché avec tellement de filles dont tu n'étais pas amoureux. Je voulais être sûre que je ne serai pas une parmi les autres.


- Tu n'as jamais été "parmi les autres". Tu as toujours été au dessus. À des années lumières au dessus. J'ai été tellement aveugle depuis toujours. J'ai l'impression de n'ouvrir les yeux que maintenant! Quel temps perdu...


- Non Mathieu! Nous avons avancé à notre rythme, et nous avons enfin trouvé la bonne route pour nous deux.


Je me sens ému comme jamais. Nous cessons de parler pour nous embrasser. Je suis heureux. Vraiment heureux.


Prenant ma petite amie par la main, je la conduis dans ma chambre. L'espace d'un instant, je retrouve la fille timide que j'ai toujours connu. Mais je comprend les raisons de son manque d'assurance. C'est donc à moi de la rassurer par ma douceur.


Laissant mes yeux se perdre dans les siens, je passe un bras autour de sa taille.


- Je pourrai me perdre dans ton regard! lui dis-je.


- J'aimerai plutôt que tu restes avec moi au lieu de te perdre.


Je m'assied sur le lit, et installe Eveline sur mes genoux. Nos langues se rejoignent immédiatement pour danser l'une contre l'autre. Tendres moments magiques d'un amour naissant.


Je sens les mains de ma chérie se balader sur mon dos et venir chercher un passage pour s'insinuer sous ma chemise. Je l'étreins davantage contre moi. Je perçois la chaleur incandescente de son corps. Petit à petit, il me semble que sa réserve s'estompe. Elle ose même déboutonner ma chemise. J'en profite pour faire glisser les bretelles de sa robe d'été.


D'une main, je lui écarte les cheveux, qu'elle porte détachés, pour l'embrasser dans le cou, tandis que l'autre main fait glisser la fermeture éclair de sa robe. La gravité aidant, celle ci tombe d'elle même jusqu'à la taille.


Eveline ne porte pas de soutien-gorge ce soir. Ses seins voluptueux sont donc directement accessibles. Tout en lui mordillant et lui baisant la base du cou, je presse délicatement un sein de la paume de ma main.


À son tour, elle continue de me dévêtir. Ma chemise est ôtée et bientôt ma ceinture est débouclée. Ma petite amie se lève un instant. Sa robe, cette fois, tombe à ses pieds. La voilà uniquement vêtue d'une ravissante culotte en soie et dentelle blanche. Eveline m'invite à me lever également. Mon pantalon suit le même chemin que sa robe. Sans attendre, celle que je considérais comme ma soeur il y a peu, s'agenouille devant moi et fait descendre également mon boxer.


Je la regarde avec une fascination silencieuse. Sa bouche s'étire pour former un sourire gourmand. Sans chercher à attendre plus longtemps, elle enveloppe mon sexe de ses lèvres douces. Puis elle ferme les yeux tout en faisant glisser lentement ses lippes, couleur cerise, sur toute la longueur. Massant mon engin avec sa langue. Venant presser légèrement mes testicules de ses doigts fins. La voir me sucer ainsi ne fait qu'accroître mon plaisir.


Elle me garde quelques minutes dans sa bouche, puis se redresse pour m'embrasser. J'en profite pour placer une main entre ses jambes.


- Haaan... geint-elle, quand, d'un doigt, j'effleure son clitoris par dessus sa petite culotte déjà trempée.


Je la bascule délicatement sur le lit. Nos embrassades ne cessent guère. Mutuellement, nous parcourons nos corps. Enlacés si intiment, je sens ses mamelons durs appuyer contre mon torse.


Comme quelques jours auparavant dans la piscine, je viens faire une légère pression contre son sexe avec le haut de ma cuisse. D'elle même, Eveline se dandine pour faire frotter sa vulve. Même nos baisers ne parviennent plus à étouffer ses premiers râles de plaisir. Elle décide de m'associer encore plus à son plaisir en emprisonnant mon sexe dressé dans sa main. Le contact de sa douce main sur ma queue accroît mon envie d'elle.


Il est temps pour moi de prendre le contrôle des événements. Mes lèvres délaissent ses baisers enivrants pour tracer leur chemin sur ce corps tant désiré, pour s'attarder sur ses tétons durcis. Je les pince délicatement entre mes dents. Je le suce avec envie. Connaissant à présent sa grande sensibilité sur cette partie de son anatomie, je m'y attarde bien volontiers, pendant quelques instants. Résistant même aux pressions qu'exercent ses mains sur mes épaules pour que je descende plus bas.


Bien évidemment je sais ce qu'elle désire. Mais je veux prendre mon temps. Et quand je décide de me rapprocher de sa vulve, je le fais de ma propre initiative. Elle écarte plus largement les jambes quand, après lui avoir retiré sa culotte, ma bouche se pose sur son pubis. Toutefois je veux faire accroître son désir sans en venir directement au vif du sujet. Ainsi, après son pubis, se sont ses cuisses qui sont l'objet de mes baisers. Tout en prenant soin de ne pas entrer en contact avec son sexe.


- S'il te plait! Je n'en peux plus... j'ai besoin de sentir ta langue! me supplie-t-elle.


Elle gémit lorsque ma bouche s'approche de sa chatte. Je souffle doucement sur ses petites lèvres. Son clitoris, parfaitement visible, est tout brillant d'humidité. C'est lui qui reçoit mon premier baiser.


- Hmm... gémit-elle en soulevant son bas-ventre.


Mais je persiste à ne lui adresser que de légers bisous à divers endroits de son sexe. Comme s'il ne s'agissait que de caresses aussi délicates qu'un battement d'aile de papillon. Je sais que ma Eveline endure une douce torture mais je veux la conduire au maximum de l'envie. Je m'aventure jusqu'à son anneau rose, dissimulé entre ses fesses, avant de regagner son sexe.


Tout le corps de mon amoureuse semble ultrasensible. Je crois que je l'ai faite patienter assez longtemps. Elle est en droit de recevoir ce qu'elle attend.


Je lui léche alors la fente de bas en haut, collectant sa mouille délicieusement parfumée et plaquant ma langue aussi profondément que possible. Presque aussitôt, elle appuie son Mont-de-Vénus contre ma bouche. Sa respiration est saccadée. Je sais que l'orgasme est tout proche. Je concentre mon jeu de langue sur son clitoris hyper-réceptif. Une poignée de secondes suffisent avant qu'elle jouisse bruyamment.


Je ne cesse de la lécher. Avec avidité et gourmandise, je me régale de cette cyprine qui ne semble pas vouloir arrêter de ruisseler.


Dès que je sens que les effets de son premier orgasme se sont estompés, je reprend son clitoris entre mes lèvres. Eveline est surprise par la montée d'une nouvelle vague de plaisir intense.


- Oh non!!!! Laisse moi me reposer une minute, mon coeur... m'implore-t-elle, tout en essayant de reprendre son souffle.


Je lui adresse un sourire mi-charmeur mi-diabolique. Je sais que son petit bouton est au comble de sa sensibilité. Chaque effleurement de ma langue la fait encore réagir. Je profite de la situation pour faire pénétrer deux doigts dans son vagin serré et vierge. Je les fais coulisser tout en m'accordant avec les caresses de ma langue. Eveline est de nouveau aux portes de la jouissance.


Je me redresse et avance mon bassin entre ses jambes.


- Tu es prête?


Elle hoche de la tête pour me comprendre que oui. Son visage est rouge. Une fine pellicule de sueur recouvre son front. Son regard magnifique, lui, me touche droit au coeur car, à cet instant, ce n'est pas de la convoitise ou du désir que je vois. Non! C'est de l'amour. L'Amour le plus pur et le plus sincère.


- Je t'aime!


Je ne peux me retenir de lui dire... Puis sans rien dire de plus, et sans quitter ses yeux du regard, je saisis mon sexe d'une main et lui caresse la fente avec mon gland. Eveline se mord la lèvre et se cambre. Il est évident qu'elle n'en peut plus d'attendre.


Je pousse alors l'extrémité de mon engin dans son vagin. Ma chérie halète et son corps se raidit. Avec un de mes pouces, je titille son clitoris afin d'accompagner l'entrée de ma queue. Celle-ci s'insinue entre les parois chaudes et moites. La respiration de Eveline est lourde, ses yeux se sont fermés, comme pour se concentrer sur ses sensations. Je devine son hymen au bout de mon sexe. Je penche mon visage pour m'approcher du sien et lui demande, dans un murmure, de me regarder.


Quand ses yeux s'ouvrent et que son regard plein d'amour croise le mien, je pousse mon sexe en avant pour rompre le voile de sa virginité.


Elle me regarde la bouche grande ouverte. Je m'attend à l'entendre pousser un petit cri de douleur quand son hymen cède. Mais elle garde pour elle cette souffrance passagère.


Mon sexe la pénètre entièrement. J'attend un instant pour que la douleur s'estompe.


- Tu vas bien mon amour?


Une larme coule sur sa joue. Je l'essuie de mes lèvres en l'embrassant.


- Oui, je vais bien, me dit elle. Maintenant fais moi l'amour comme j'ai toujours rêvé que tu me le fasses.


Le défi est de taille, mais je me sens à la hauteur pour le relever. Je pistonne lentement son vagin incroyablement serré. Faisant entrer et sortir mon sexe. Je dois faire preuve d'une grande volonté pour ne pas me laisser aller et jouir en elle rapidement.


Tout en la pénétrant, je continue de lui caresser le clito. La douleur paraît avoir totalement quitter son corps, laissant place à de nouvelles sensations pour elle. Avec des mouvements de hanches, Eveline accompagne même mes coups de reins. J'accélère le rythme. Mon amour gémit de nouveau. De plus en plus fort. Je sais, je sens qu'elle va bientôt être prise d'un nouvel orgasme. Je peux donc me donner entièrement pour jouir avec elle.


Dans les bras l'un de l'autre, nous lachons prise. Nos corps s'unissent dans un torrent de sensations fortes et tendres à la fois.


Les muscles du vagin de Eveline finissent par se contracter. À chacun de mes coups de reins, je cherche à la pénétrer bien plus profondément encore, espérant lui procurer un maximum de plaisir.


Quand elle jouit, mon sexe se retrouve pris comme dans étau, en plus tendre. Son intimité semblant refuser de me libérer. Cela abat mes dernières forces pour me retenir et je répand mon sperme en elle. Un plaisir violent et amoureusement dévastateur.


Combien de fois ma petite amie a joui ce soir? 3 fois? 4? Je ne sais plus. Mais son visage porte les signes d'une grande fatigue. Je me couche à côté d'elle et la prend dans mes bras. Elle se blottit une dernière fois, et m'offre un ultime baiser avant de s'endormir.


Ma nuit est courte. Je la passe à regarder celle que j'aime.


Au matin, nous faisons encore l'amour. Eveline semble ne jamais s'en lasser. Pour mon plus grand bonheur.


Puis vient le moment pour elle de rentrer. Je décide de la raccompagner. Nous trouvons ses parents devant leur maison. Son père passant la tondeuse, sa mère entretenant ses fleurs. Tous deux nous saluent de la main.


Sans en avoir parlé avec ma petite amie auparavant, je lui prend la main et l'attire contre moi pour lui déposer le plus tendre des baisers sur les lèvres. Du coin de l'oeil, je regarde ses parents échanger un regard incrédule.


- Mais... tente de dire ma chérie


Mais de nouveau je l'embrasse, unissant ma langue à la sienne.


- N'oublie pas ce que tu m'as dit hier au sujet de ta mère et de l'exorcisme... Autant t'éviter cette corvée. Les choses sont claires pour tout le monde maintenant.


Eveline éclate de rire. Un rire charmeur. Le rire de ma "presque femme".


Histoires de sexe sales et débridées

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