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Chapitre Cinq

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Gregory

« Pourquoi tu veux aller à cette université ? » demandai-je. Je la regardai prendre une gorgée de son verre et déglutir et je me souvins de la manière dont elle avait avalé tout mon sperme.

Je faisais vraiment tout mon possible pour penser avec mon cerveau et pas uniquement avec ma bite, mais c’était presque impossible. De savoir qu’elle ne portait rien sous sa jupe d’uniforme me donnait la trique. Je joignis mes mains et les posai sur la bosse grandissante.

Je ne voulais pas qu’elle pense que je ne la voulais que pour le sexe. Bien sûr, c’était une part importante de mon désir, mais Jane était tellement plus que ça. Elle était à moi. D’apprendre qu’elle voulait rester dans cette ville pour ses études supérieures ne rendait ça que plus officiel.

Il y avait tellement de choses à apprendre et à savoir sur elle, tellement d’aspects à découvrir et je voulais bien prendre le temps de le faire.

« Comment ça ? répondit-elle en essuyant sa bouche avec une serviette.

- C’est une petite école. Tu es une fille intelligente, Jane, et pas que dans mon cours. » Je marquai une pause. « Si tu le voulais, tu pourrais aller dans les meilleures universités de tout le pays. »

J’observai sa réaction et notai la manière dont ses sourcils s’écartèrent. Elle prit une respiration rapide, la relâcha, et resta silencieuse quelques secondes. Elle avait l’air nerveuse, avec une expression d’inquiétude sur le visage qui faisait se plisser son front. Je n’avais jamais vu cet aspect chez elle – une préoccupation sincère.

C’était la fille qui savait comment se comporter et semblait ne jamais rencontrer de problème dans sa vie. Elle déambulait dans les couloirs de l’école avec ce sourire radieux et ce déhanchement sensuel. De la voir maintenant – sous un autre jour – ne fit qu’attiser ma curiosité.

« Je ne suis pas sûre d’y arriver... »

Je posai une main sur son genou et appuyai légèrement pour l’inciter à continuer. Elle me regarda un instant avant de détourner le regard en penchant la tête.

« Je ne suis jamais partie de chez moi. Je ne sais pas du tout comment vivre toute seule. »

Elle s’arrêta une seconde, hésitante. Sa lèvre inférieure ressortit et elle baissa les yeux. Elle avait l’air d’avoir honte.

Je fronçai instantanément les sourcils. Une Jane honteuse, voilà quelque chose que je ne voulais jamais voir. Ça ne lui allait pas. Elle avait tellement de potentiel pour ce genre de sentiment.

« Je n’ai jamais travaillé de ma vie. Je ne fais même pas ma propre lessive. Je ne sais pas cuisiner. On a toujours tout fait pour moi, que je le veuille ou non. Bien sûr, mes parents payent toujours pour tout, mais ils ne sont jamais là. » Elle leva les mains en l’air avant de les laisser retomber et de continuer.

« Je ne sais pas. Tout simplement, je n’ai pas intérêt à partir d’ici. Je suis contente de rester dans cette ville pour l’université.

- Bien, » dis-je. Elle était à moi et elle n’allait certainement pas aller dans une école à deux fuseaux horaires d’ici. Je ne la retiendrais pas si c’était son rêve, mais ce n’était pas le cas. Ses putains de parents ne lui avaient pas assez donné de confiance en elle pour qu’elle déploie ses ailes. Elle était contente d’aller à l’université, mais ça ne l’excitait pas de voyager trop loin. Pourquoi ça l’intéresserait, puisqu’elle n’avait pas une vie de famille stable et aimante ?

« Bien ? répéta-t-elle en se mordant la lèvre.

- Parce que ta chatte m’appartient, tu te souviens ? »

Elle hocha la tête et baissa les yeux. Le rouge lui allait très bien aux joues.

« C’est toujours ce que tu veux ? Que je m’occupe de toi ? »

Elle releva la tête rapidement. « Oui, monsieur. » Son ton était déterminé.

« C’est bien. »

Je la regardai profiter de ce compliment.

« On dirait que j’ai beaucoup de choses à t’apprendre, pas vrai ? »

Ses joues devinrent plus sombres quand elle comprit que je parlais de baiser. Oui, je lui apprendrai exactement ce que j’aimais et je lui montrerai comment elle l’aimerait, elle aussi.

« Oui, monsieur, » répéta-t-elle.

Je passai une boucle de ses cheveux derrière son oreille et dit, « Ça comprend les punitions, Jane. Est-ce que tu es prête à te faire jeter sur mes genoux et à te faire fesser pour retenir une leçon ? Prête à te faire enfoncer un plug anal pour que tu rappelles qui commande ici ? »

Ses yeux s’écarquillèrent à ces mots. Oui, je mettrais un gros plug dans son cul pour qu’elle se rappelle à qui elle appartenait, si nécessaire. Ou bien, si j’en avais envie. Plus elle comprenait comment les choses allaient être, mieux c’était.

« Vous me punirez si je fais brûler le dîner ? demanda-t-elle, clairement inquiète.

- Je te punirai si tu l’as laissé brûler parce que tu étais en train de jouer sur ton portable. »

Elle acquiesça.

« Je te punirai si j’apprends que tu envoies des messages en conduisant. Ou si tu n’as pas ton portable quand tu sors. Ou si tu flirtes avec des gamins de l’université. »

Elle eut un sourire.

« Des gamins de l’université ? Je ne veux pas d’un gamin. Je vous veux… vous.

- Tu veux un homme qui sait ce qu’il fait, pas vrai ? »

Elle opina de la tête et me regarda avec ses grands yeux innocents. « J’aime bien quand vous prenez les choses en main, » admit-elle, avant de baisser les yeux sur ma bite.

Elle était toujours timide quant à sa sexualité, mais elle parvenait mieux à la cerner maintenant. Elle commençait à me regarder plus souvent dans les yeux et elle était toujours une élève très attentive et à l’écoute, en s’assurant qu’elle entendait et faisait tout ce que je lui disais.

« Vraiment ? » Elle me répondit avec un hochement de tête, mais c’était plus qu’assez pour moi.

« Tu aimes quand je te dis quoi faire ? Quand je te dis comment sucer ma bite ?

- Oui, » murmura-t-elle, et je la regardai fermer ses yeux l’espace d’une seconde.

« Quand je te punis parce que tu as été une vilaine fille ?

- Oui.

- Quand je te récompense pour avoir été une gentille fille ? » Je déposai ma main sur sa cuisse nue et la fit glisser sous la bordure de sa jupe.

« Hum... » Je la vis prendre une grande inspiration avant de reprendre.

« Oui, j’adore ça.

- Est-ce que tu t’es touchée hier soir quand tu étais seule dans ton lit ? Tu as écarté tes cuisses, tu as mis tes doigts dans ton petit trou vierge ? Tu t’es fait jouir ? »

Elle secoua la tête avec conviction.

« Alors, tu as vraiment été une bonne fille, à suivre tout ce que j’ai dit. » Je passai un doigt sous son menton et lui relevai la tête jusqu’à ce que nos regards se croisent. « Est-ce que tu sais ce que les bonnes filles méritent ? »

Ses joues tournèrent rapidement au rouge.

« J’espère… j’espère que je pourrais jouir.

- Tu verras bien, » dis-je avec un sourire malicieux et je la repoussai contre le canapé de sorte que son dos soit bien placé contre le coussin.

Quand j’en aurais fini avec elle, elle ne serait plus qu’un désastre mouillé dans ma main… ou ma bouche. J’avais hâte d’y être – pouvoir voir son air euphorique quand elle découvrirait ce que ça faisait de se faire lécher.

Je me mis à genoux sur le tapis devant elle. Je n’hésitai pas à tirer son cul plus proche du bord du canapé avant d’ouvrir ses genoux. Je retins mon souffle lorsque je vis les lèvres de sa chatte rutilantes me provoquer. Je pris une inspiration pour sentir sa douce odeur.

« Tu es absolument trempée, » grognai-je. Sa crème couvrait même ses cuisses.

Elle gémit et souleva ses hanches lorsque je passais mes doigts à travers son désir. Je voulais la prendre doucement, presque trop lentement. Je voulais qu’elle me supplie désespérément. Pour ce que j’allais lui donner. Personne d’autre ne lui ferait jamais ressentir ça.

Je voulais qu’elle gémisse et qu’elle crie aussi fort qu’elle le voulait. Je me foutais totalement que ça réveille mes voisins. Elle avait dix-huit ans. Tout ce qu’on faisait était légal mais, dans ce cas, légal ne voulait pas dire ennuyeux. Je manquai de rire bruyamment à cette pensée. J’avais beaucoup de choses en tête, mais aucune n’était ennuyeuse. Je gardais beaucoup de surprises pour elle.

J’amenai son excitation à ma bouche et elle me regarda tandis que je nettoyais mes doigts avec ma langue. Elle avait un goût doux et acidulé et l’eau me monta à la bouche. J’en voulais plus.

Je regardai son trou vierge avec ces lèvres écartées et je voulus arracher mon pantalon pour me plonger en elle. Ce n’était pas encore le moment. Même si j’aurais pu la prendre maintenant, je ne l’aurais pas fait. Il y avait tellement de premières fois dont je devais profiter avec elle avant de prendre sa virginité.

« Tu aimes ça, » demandai-je avec un sourire en faisant des cercles avec mon pouce sur son clitoris. Je sentis une vague de confiance m’envahir, chaque mouvement que je faisais sur elle lui faisant bouger ses hanches. J’avais hâte d’arriver au final et ma bite me disait d’accélérer et d’en finir.

Jane écarta encore plus ses jambes. Sa chatte n’était couronnée que d’une fine bande de poils blonds. Elle l’épilait et l’entretenait et je ne pus m’empêcher de songer que chaque seconde passée avec elle m’amenait davantage de surprises.

Pour une vierge, elle semblait très bien savoir quoi faire ou comment réagir. Mon esprit se rappela instantanément du jour précédent. Elle n’avait jamais vu de bite de sa vie, mais elle avait très bien su commencer sucer la mienne. Mais son air timoré et sa voix douce et à peine audible le montrait – c’était bien une vierge.

« M. Parker... gémit-elle, les yeux fermés.

- C’est ça, tu m’appelleras M. Parker quand tu porteras ton uniforme, quand tu seras mon élève, lui dis-je. Je veux te l’entendre dire quand tu me supplieras de faire les choses plus vilaines et plus sales qui nous attendent. »

Un gémissement puis deux franchirent ses lèvres et sa tête retomba contre le coussin lorsqu’elle arqua son dos.

« Défais ta chemise et montre-moi tes seins. »

Sa main vint trouver les petits boutons et les défirent, écartant les pans de la chemise pour montrer ses bouts pointus exposés.

J’eus un claquement de langue désapprobateur.

« Sans soutien-gorge, Jane. Est-ce que quelqu’un d’autre a vu tes tétons durs sous ta chemise ? Est-ce que quelqu’un d’autre a vu tes petits seins rebondir quand tu marchais ?

- Non monsieur, » dit-elle. Je pris un de ses seins et passai mon pouce sur son petit bout. Il remplissait parfaitement la main, sans être trop gros, peut-être un bonnet B… si elle avait porté un soutien-gorge. Ils étaient hauts et pointaient, comme doivent l’être ceux d’une jeune fille.

Elle hoqueta quand je la pinçai délicatement.

Parfait. On dirait que ma petite étudiante appréciait un peu de douleur avec son plaisir.

Je continuai à jouer avec ses seins et baissai ma tête pour poser ma bouche sur elle. Enfin.

Elle était glissante et douce et je sus que je pourrais manger sa chatte pendant des heures.

Mais je l’avais laissée trop excitée depuis le jour précédent. Elle avait été fessée, et j’avais joué avec son clitoris avant qu’elle ne suce ma bite. Puis, je l’avais laissée dans cet état. Maintenant, elle était tellement apprêtée qu’un coup de ma langue sur son clitoris la fit partir. Elle se tordit et hurla tandis que ses fluides imprégnait mes lèvres.

Le son de son orgasme manqua de me faire jouir. Ses cuisses s’étaient appuyées de part et d’autre de ma tête et elles tremblèrent dans son extase. Sa respiration était haletante et je sus que quand elle se touchait, ça n’avait jamais été comme ça.

Non, elle venait de jouir sur tout mon visage.

« S’il vous plaît, supplia-t-elle.

- Qu’y a-t-il, jeune fille ? »

Elle était étalée sans aucune pudeur sur mon canapé, sa jupe d’uniforme retournée sur sa taille, ses jambes écartées et sa chatte exposée, toute rose et gonflée. Elle gouttait sur le coussin en cuir. Ses seins pointus étaient visibles puisque sa chemise était ouverte et sa peau pâle rutilait de sueur. C’était tout le fantasme de jeune lycéenne que j’avais jamais pu imaginer.

« Plus, souffla-t-elle.

- Plus de quoi ? demandai-je. Utilise tes mots et dis tout à ton professeur.

- Votre bite. S’il vous plaît. Je me sens… je me sens vide. »

J’avais ardemment désiré entendre ces mots sur ces lèvres. Du bout du doigt, je taquinai son entrée. « Ta chatte est hors limite. Pas de bite dans ce trou. »

Elle geignit de déception.

« Je sais que c’est dur, mais c’est un ordre du docteur. J’ai déjà conquis ta bouche. » Je descendis mon doigt et fis un cercle autour du bouton de rose plissé de son cul.

« Si tu veux ma bite, je prendrai ce trou en suivant. Est-ce qu’un garçon t’a déjà touchée ici ? »

Elle se raidit, mais sa tête alla d’un côté à l’autre tandis que je faisais des cercles et que j’appuyais contre son trou resserré.

« - Non.

- Alors, ça sera la leçon de ce soir. Prendre ma bite dans ton cul.

- M-mais…

- Tu portes ton uniforme, jeune fille. Tu vas être une bonne élève Jane, pas vrai ? »

Elle ouvrit ses yeux et je vis qu’ils étaient flous de passion, mais aussi empreints d’une inquiétude qui ne venait qu’avec l’innocence. Son regard se posa sur son corps, et elle tira sur les pans de sa chemise pour la refermer, bien que ça ne la rende en rien moins érotique.

Mis à part le fait que de la voir et de la souiller dans son uniforme d’écolière m’excitait au plus haut point, c’était aussi un symbole de son rôle. Mon élève. La mienne.

« - Oui, monsieur.

- C’est bien. » J’utilisai ses fluides pour passer le bout de mon doigt à son entrée arrière plus facilement. Elle gémit devant cette petite invasion avant que je ne reparte, que je me lève et que je la soulève dans mes bras.

« C’est bien. Ce trou vierge est à moi aussi, et je vais le prendre tout de suite. »

Le pacte des vierges

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