Читать книгу Histoires GAY - Des faits réels. - Thomas Mercier - Страница 5

Qui a dit que la gym

Оглавление

Il y a quelques semaines je me suis fait virer de ma salle de sport pour m'être fait sodomiser en public par un beau black… Je me suis donc inscrit dans une autre salle. Au départ je m'ennuyais les coachs étaient pour la plupart des femmes pas à mon gouts. Et puis un jour, j'ai vu un beau gosse blond entrée dans la salle et dire : "Je suis le nouveau prof de gym/fitness, ceux qui se sont inscrit le cours commence dans 10 minutes, soyez échauffés !" Je peux vous dire que j'étais chaud bouillant. J'ai fait donc les démarches pour m'inscrire à son cours le plus vite possible… Il fallait attendre une semaine !

La semaine passée, je n'avais plus que ça en tête. Je suis allé à la salle, je me suis échauffer puis j'ai rejoins le cours. Tout à commencer normalement, le prof portait une espèce de collant très moulant qui me mettait l'eau à la bouche. Son petit cul bien ferme était serré dedans, je ne pouvais pas le quitter des yeux. J'ai essayé de suivre le cours comme les autres, mais j'étais particulièrement nul et très peu souple. A la fin du cours, le prof invite les nouveaux, moi et deux autres gars, à discuter un instant. Il avait remarqué mon manque de souplesse et me conseillait de remplacer mon short par un collant comme lui. Alors que nous discutions, une de ses collègues rentre et lui demande s'il peut venir… notre conversation s'arrêtera donc là.

La semaine suivante, soit mercredi dernier, je retourne à la gym avec un collant comme il me l'avait conseillé. Je me sens à l'étroit dans celui-ci, mais étonnement très à l'aise, et sans vouloir me vanter cela me mettait plutôt en avant. J'essai de reproduire les figures que le prof, Julien, réalise, mais tellement absorbé par son cul et son gros paquet, je n'arrive à rien. En plus de ça je suis entouré d'une vingtaine de personne, dont la moitié sont des hommes de 20/25 ans tous plus sexy les uns que les autres. Voyant ma nullité, le prof me demande de rester à la fin du cours. Il me demande: "Qu'est-ce que vous recherchez ici ? Pourquoi vous-êtes vous inscrit ?

-Et bien euh, je cherche à muscler certains muscles que je ne fait pas dans une salle de sport classique.

-Quoi par exemple ?

- Euh je ne sais pas ; je regarde son petit cul musclé dans le miroir et dit : les fessiers par exemple."

D'un coup il me plaque une main sur chaque fesse pour voir si elles étaient musclées, et ma queue se dresse spontanément. Mon collant ne cache rien, et les fibres tendues du tissu le rendre presque transparent. Gêné je m'excuse. Julien me dit que ce n'est rien, avec un petit sourire. Il me propose de continuer la séance une petite heure de plus pour travailler ma souplesse. J'accepte volontiers, une heure de cours particulier avec lui c'est au-delà de toutes mes espérances. Il va dans la pièce d'à coté et ramène des gros ballons. Il me dit de m'allonger sur l'un d'entre eux, sur le dos. Je m'exécute. Le souci est qu'il a décidé de m'aider. Il me porte les jambes et me demande de ne pas tomber du ballon. Au bout d'un moment j'arrive à tenir et il vient voir si je contracte mes abdos. Une simple caresse me fait bander à nouveau. Je suis d'autant plus gêné que cette fois-ci ma queue est à à peine vingt centimètres de sa tête.

Sa main glisse de mes abdos et viens caresser le bout de ma queue à travers mon collant : "Et bien voila un organe très musclé! Tu vois quand tu veux tu peux te contracter." Tout en la caressant, je vois son collant qui se tend aussi, sa queue durcie. Il commence à m'embrasser très langoureusement, ma main vient gentiment caresser son chibre tendu. Je glisse son collant, il glisse le mien. Je suis toujours allongé sur le ballon, et nous commençons un soixante neuf des plus acrobatiques (c'est dur de rester en équilibre là-dessus !). Je sens sa bave couler le long de mon manche, c'est si intense que j'aimerais crier mon plaisir, mais sa grosse queue me remplie la bouche.

Je me mets ensuite à le sucer à genoux, sa bite parait encore plus grosse. Je le regarde tout en le suçant, ses yeux traduisent un grand plaisir. Il me demande d'arrêter, mais je ne peux pas, je lui aspire les couilles pendant qu'il enfile une capote. Il me pousse parterre et m'att**** les jambes, il me retourne et commence à me pénétré sans préparation dans la position de la brouette. Ma queue virevolte et claque contre mes abdos tellement les mouvements sont profonds, rapides et violents !

Dans un mouvement rapide, il arrive à me relever en me tenant uniquement par les mollets, et à peine suis-je debout qu'il me plaque contre le miroir de la salle. Je ne vois plus sa queue, juste ses couilles qui disparaissent en clapotant derrière mes fesses. Je sens l'excitation monté, je ne bande presque pas, mais cela ne m'empêche pas de jouir et de tagger son miroir de foutre chaud dégoulinant. Je m'allonge ensuite parterre sur le dos, il relève mes jambes sur ses épaules et viens me culbuter au plus profond il me sodomise ainsi un court instant et ressort sa queue d'un coup, arrache sa capote, je comprends vite que c'est à moi de jouer. A peine j'ai les lèvres posées sur sa queue que ma bouche est remplie de son jus bouillant. J'avale au fur et à mesure que le sperme coule, toutes ses bonnes protéines devraient aider mes muscles à se développer…

On dit souvent que quand on se muscle, c'est à partir du moment où on sent une douleur que le muscle commence à travailler, Julien m'a tellement défoncé que j'ai eu mal pendant deux jour, mais s'il faut faire ce type d'exercice pour avoir son cul de rêve je veux bien recommencer tous les jours !

Je me demande comment va se passer la prochaine séance…


Histoires GAY - Des faits réels.

Подняться наверх