Robinson Crusoe. II
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Defoe Daniel. Robinson Crusoe. II
LE VIEUX CAPITAINE PORTUGAIS
DÉFAILLANCE
LE GUIDE ATTAQUÉ PAR DES LOUPS
VENDREDI MONTRE À DANSER À L'OURS
COMBAT AVEC LES LOUPS
LES DEUX NEVEUX
ENTRETIEN DE ROBINSON AVEC SA FEMME
PROPOSITION DU NEVEU
LE VAISSEAU INCENDIÉ
REQUÊTE DES INCENDIÉS
LA CABINE
RETOUR DANS L'ÎLE
BATTERIE DES INSULAIRES
BRIGANDAGE DES TROIS VAURIENS
SOUMISSION DES TROIS VAURIENS
PRISE DES TROIS FUYARDS
NOUVEL ATTENTAT DE WILL ATKINS
CAPTIFS OFFERTS EN PRÉSENT
LOTERIE
FUITE À LA GROTTE
DÉFENSE DES DEUX ANGLAIS
NOUVELLE INCURSION DES INDIENS
MORT DE FAIM!
HABITATION DE WILLIAM ATKINS
DISTRIBUTION DES OUTILS
CONFÉRENCE
SUITE DE LA CONFÉRENCE
ARRIVÉE CHEZ LES ANGLAIS
CONVERSION DE WILLIAM ATKINS
MARIAGES
DIALOGUE
CONVERSION DE LA FEMME D'ATKINS
BAPTÊME DE LA FEMME D'ATKINS
LA BIBLE
ÉPISODE DE LA CABINE
MORT DE VENDREDI
EMBARQUEMENT DE BESTIAUX POUR L'ÎLE
THOMAS JEFFRYS
THOMAS JEFFRYS PENDU
SACCAGEMENT DU VILLAGE INDIEN
MUTINERIE
PROPOSITION DU NÉGOCIANT ANGLAIS
RENCONTRE DU CANONNIER
AFFAIRE DES CINQ CHALOUPES
COMBAT À LA POIX
LE VIEUX PILOTE PORTUGAIS
ARRIVÉE À QUINCHANG
LE NÉGOCIANT JAPONAIS
VOYAGE À NANKING
LE DON QUICHOTTE CHINOIS
LA GRANDE MURAILLE
CHAMEAU VOLÉ
LES TARTARES-MONGOLS
CHAM-CHI-THAUNGU
LES TONGOUSES
LE PRINCE MOSCOVITE
LE FILS DU PRINCE MOSCOVITE
DERNIÈRE AFFAIRE
Отрывок из книги
Il ne fut jamais rien de plus honorable que les procédés dont ma procuration fut suivie: car en moins de sept mois il m'arriva de la part des survivants de mes curateurs, les marchands pour le compte desquels je m'étais embarqué, un gros paquet contenant les lettres et papiers suivants:
1º. Il y avait un compte courant du produit de ma ferme en plantation durant dix années, depuis que leurs pères avaient réglé avec mon vieux capitaine du Portugal; la balance semblait être en ma faveur de 1174 MOIDORES.
.....
Je me pris alors à considérer de quel côté je gouvernerais ma course, et ce que je ferais du domaine que la Providence avait ainsi replacé entre mes mains. En vérité j'avais plus de soucis en tête que je n'en avais eus pendant ma vie silencieuse dans l'île, où je n'avais besoin que de ce que j'avais, où je n'avais que ce dont j'avais besoin; tandis qu'à cette heure j'étais sous le poids d'un grand fardeau que je ne savais comment mettre à couvert. Je n'avais plus de caverne pour y cacher mon trésor, ni de lieu où il pût loger sans serrure et sans clef, et se ternir et se moisir avant que personne mît la main dessus. Bien au contraire, je ne savais où l'héberger, ni à qui le confier. Mon vieux patron, le capitaine, était, il est vrai, un homme intègre: ce fut lui mon seul refuge.
Secondement, mon intérêt semblait m'appeler au Brésil; mais je ne pouvais songer à y aller avant d'avoir arrangé mes affaires, et laissé derrière moi ma fortune en mains sûres. Je pensai d'abord à ma vieille amie la veuve, que je savais honnête et ne pouvoir qu'être loyale envers moi; mais alors elle était âgée, pauvre, et, selon toute apparence, peut-être endettée. Bref, je n'avais ainsi d'autre parti à prendre que de m'en retourner en Angleterre et d'emporter mes richesses avec moi.
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