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CHAPITRE VIII
ОглавлениеBONHEUR
Après la lecture de cette lettre, remplie d’une raison si sèche, d’un bon sens si glacial, Cécile ressentit cette espèce de calme engourdissant qu’on éprouve quand on voit se briser à jamais une dernière espérance.
La seule consolation de Cécile avait été de penser qu’au moins une âme entendrait le cri de son âme.
Elle vit qu’elle s’était trompée, et se tut, trop fière pour parler désormais d’une douleur qu’on lui jalousait comme une prétention.
Elle s’enveloppa donc d’une douleur muette, et attendit…
A quelque temps de là, Cécile écrivit à son amie une assez longue lettre, dans laquelle elle la remerciait beaucoup de ses leçons, en lui apprenant qu’elle était enfin convertie au bonheur, et qu’elle se trouvait maintenant bien près d'être heureuse.
La pauvre jeune femme se mourait alors.
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