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CONFISERIE

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Bonbons. — On lit dans la Vie Parisienne du 22 décembre 1877: Le nec plus ultra des bonbons pour 1878, c’est le Dona Sol. Le plaisir délicat que vous fait ressentir au Français l’héroïne de Victor Hugo, se transforme en plaisir sensuel quand vous croquez le Dona Sol des Palmiers. Il n’y a pas de plus fine chatterie.

Chocolats. — 1° Dans un minuscule numéro du Rappel était enveloppée une petite tablette de chocolat. Ce numéro contenait un article de tête, signé : A. Marguerie, sur la fête de Victor Hugo.

2° Félix Potin a aussi mis en vente des échantillons de son CHOCOLAT enveloppés dans une biographie de Victor Hugo (signée: G. V.), le tout renfermé dans un petit livre de 45 millimètres de hauteur, sur 17 de largeur et 10 d’épaisseur. Sur la couverture on lit: Œuvres complètes de Victor Hugo, Paris, chez l’éditeur (?) sur le dos: Victor Hugo, œuvres complètes, prix 300 fr. (Nous ignorons de quelle édition veut parler le grand épicier.) Le volume est fermé par une petite bande de papier, sur laquelle on lit: Vient de paraître.

3° LE MÊME CHOCOLAT a été vendu dans un petit livre de même dimension, mais sous couverture rouge.

4° FÉLIX POTIN donne en prime aux acheteurs de son fameux chocolat, une petite photographie de nos grands hommes. Celle de Victor-Hugo est la réduction d’un cliché de Nadar, représentant le poète de 3/4 à droite, les bras croisés; dans le haut on lit: Chocolat Félix Potin; dans le bas: Victor Hugo.

Victor Hugo par le bibelot, le populaire, l'annonce, la chanson

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