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NOTES
THE NAME MARTEL

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I must confess that the article in No. 6. p. 86., which deprived Charles Martel of his long-possessed distinction of "the hammerer" gave me but little satisfaction. It was one of those old associations that one does not like to have destroyed. I could not, however, contradict your correspondents; and remained that very uncomfortable person, "a man convinced against his will." On turning over my Ménagiana, yesterday, I stumbled upon the name "Martel," and, as the passage combines both your elements (being a good note, and producing a query) I beg leave to offer it to you.

"Dans le ll'me siècle les procès se faisaìent aux vassaux par leurs Pairs, c'est-à-dire, par leurs convassaux, et toute sorte de procès se font encore présentement en Angleterre à toutes sortes d'accusés par leurs Pairs, c'est-à-dire, par des personnes de leur même état et de leur même condition, à la réserve des Bourreaux et des Bouchers, qui, à cause de leur cruauté ne sont point juges. Géoffroi Martel, Comte d'Anjou, fit faire ainsi le procès à Guérin de Craon, qu'il avait fait foi et hommage de la Baronnie de Craon à Conan, duc de Bretange. Géoffroi fit assembler ses Barons, qui, selon l'ancienne forme observée en matière féodale, firent le procès à Guérin, son vassal, et le condamnèrent, quoiqu'il fùt absent.—Et il est à remarquer à ce propos, que le Pape Innocent III., qui favourisait Jean sans-Terre, parcequ'en 1213 il avait soûmis son royaume d'Angleterre au Saint Siége au devoir de mille marcs d'argent par an, ayant allegué aus Ambassadeurs de Philippe Auguste que Jean sans-Terre avait été condammé absent, et que les loix défendent de condamner les accusés sans les ouïr; ils lui réspondirent que l'usage du Royaume de France était de condamner les absents, aussi bien que les présents, lorqu'ils avaient été deuëment cités en jugement. Chez les Romains il n'était par permis de condamner les absents: Non licet civem inauditum damnare."

Now, Sir, this passage shows "Martel," as a name, like that of "sans-Terre," bestowed for some quality or circumstances attached to the bearer;—and I should like to ask your correspondents if they know how this Comte d'Anjou, became entitled to it? He appears, from the date, to be the same Geoffrey who is the ancestor of our Plantagenets, as the Comte d'Anjou, contemporary with William the Conqueror, was named Fulk. If it can be proved that this Count received this addition from his martial prowess, I shall be strongly tempted to return to my creed regarding Charles Martel.

W. ROBSON.

Notes and Queries, Number 18, March 2, 1850

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