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ÉTAGE TURONIEN (D’ORB.)
ОглавлениеPARTIE MOYENNE DES TERRAINS CRÉTACÉS SUPÉRIEURS
Cet étage qu’on trouve fréquemment superposé au cénomanien et qui couronne le sommet de quelques coteaux, se présente généralement sous la forme d’un calcaire à grains fins, à cassure saccharoïde. Il est d’une extrême dureté.
Il va se perdre dans le Lot près du gravier de Lapoujade et, avec lui, je l’ai dit plus haut, tout ce que nous avons en fait de terrain crétacé.
Plusieurs carrières sont établies dans ses bancs. Elles fournissent un calcaire marin, grossier, coquilleux, roussâtre, peu facile à travailler et usant fortement les outils. C’est une pierre sèche et propre, au dire des carriers, ce qui signifie qu’elle n’est pas salie par l’argile. Peu employée comme pierre de taille, à cause des fissures déliées qu’elle offre assez souvent et qui la font éclater, elle donne un excellent moellon. On en fait aussi des rouleaux très recherchés, et de la dimension qu’on désire.
COUPE DE L’ÉTAGE TURONIEN (D’ORB.)
AUX ENVIRONS DE FUMEL ET DE DURAVEL.