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SECOND DIALOGUE.

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Table des matières

1. Remarque des premières lumières d’esprit d’une fille qui se divertit; sa joye et sa disposition à bien faire.

2. Comment l’esprit s’ouvre en chevauchant.

3. Accoutumance des filles avec les garçons.

4. Méthode jolie et spirituelle pour trousser finement la cotte à une fille sans qu’elle s’en aperçoive, ou les premières approches d’un garçon pour chevaucher une fille, comme si de rien n’estoit, avec les déportements de la fille qui consent; le tout déclaré bien au long.

5. Petite description du con, en passant, et la préparation d’un homme assis pour chevaucher.

6. Description jolie d’une fille qu’on dépucelle, et toutes les cérémonies requises de la fille et du garçon.

7. Advertissement, non moins facile que nécessaire, pour ceux qui dépucellent les jeunes filles.

8. Autre advertissement nécessaire et remarquable sur ce sujet, et de la disposition du vit et du con l’un dans l’autre.

9. Dernier effort, ou les abois du pucellage.

10. Plaisir qui suit le dépucellage.

11. Posture commode et plaisante pour chevaucher en levrier, le con derrière.

12. Grand plaisir que reçoit une fille qui n’a jamais chevauché, à la première descharge qui se fait.

13. Estat de l’homme et de la femme après le chevaucher, et les devis amoureux qu’ils se font.

14. Complaisance remarquable et exemplaire d’un garçon qui n’a pas envie de chevaucher envers une fille qu’il ayme, et la rétribution réciproque de la fille envers luy.

15. Petit commerce joyeux des amants qui ont chevauché, et les plaisantes badineries qu’ils se font pour se mettre en humeur.

16. Une jolie façon de chevaucher, et bien circonstanciée pour le ragoust qu’on y trouve.

17. Le chevaucher plus doux et plaisant après le dépucellage.

18. Un grand raisonnement sur le plaisir d’amour commencé et non achevé, et comme l’expérience vaut mieux que le discours.

19. Postures plus plaisantes les unes que les autres et pourquoy; avec une façon commune de chevaucher qui s’appelle jambes au col.

20. Plusieurs recherches curieuses et spéculatives sur les différentes façons de parler des amants quand ils sont entre eux, et quelques raisons là-dessus, avec une explication fine et spirituelle des mots: enfiler, enconner, besogner, foutre, chevaucher, et semblables.

21. Point de prérogative ou petite annotation légère qui s’est glissée icy en passant, au desçeu de l’autheur, et qui n’en mérite pas moins sa place; comme le mot de besogner emporte le prix sur tous les autres, et de sa merveilleuse et grande signification.

22. En quels termes les hommes parlent des filles en leur absence.

23. Douces libertés d’amour, qui font rougir les filles de honte après avoir fait, et pourquoy les hommes les agencent en tant de postures différentes.

24. Méthode curieuse et excellente à une fille pour aprendre à chevaucher juste en un quart d’heure, faisant trois choses, avec la manière asseurée et infaillible de chevaucher sur un coffre quand on est pressé.

25. Préparation pour cette méthode curieuse.

26. Exécution.

27. De la circonstance plus importante à savoir de cette méthode.

28. Conclusions d’icelle avec quelques instructions là-dessus.

29. Plusieurs recherches sur les divers tempéraments des hommes, et premièrement de ceux qui crient en chevauchant, avec les raisons pourquoy.

30. Comment ils font pour crier si haut, et les inconvénients qui en peuvent arriver, avec les moyens de s’en garantir.

31. De ceux que l’on fesse pour faire bander.

32. Des chastrez.

33. Étrange humeur de ceux qui ne disent rien en chevauchant, et au contraire de ceux qui s’entretiennent doucement.

34. Petite récapitulation du plaisir d’amour.

35. Instruction méthodique et plus spirituelle que les autres pour s’entretenir doucement en chevauchant, le plaisir qui en provient, et les autres privilèges d’icelle.

36. Faute de jeunes gens qui manquent de prévoiance en amour et ne chevauchent pas quand ils veulent.

37. Misères, infortunes et perplexités des amants qui manquent de commodités pour chevaucher, et les consolations qu’ils reçoivent.

38. Suite des incommodités que l’on a à chevaucher quand on est espié, avec un joly expédient aux filles de chevaucher devant le monde sans qu’on s’en apperçoive, et du cotillon percé par où on passe le vit du garçon dans le con de la fille.

39. Grande circonspection qu’il faut avoir dans le monde en chevauchant et les maux qui arrivent faute d’icelle.

40. Diverses questions d’amour traitées à fond jusques à la fin du premier dialogue, et le lecteur sera adverty qu’elles sont plus spirituelles que les précédentes et partant plus dignes de son attention; cela soit dit en passant.

41. Distinction des vits en trois différentes manières et leurs différentes qualités, et premièrement des petits vits.

42. Des grands vits et de ceux qui mettent des bourelets contre leur ventre.

43. Des moyens vits et de leur bonté.

44. Du vit d’amy, le meilleur de tous.

45. Autre description du vit; comment il doibt estre fait.

46. Questions excellentes pourquoy on use de paroles libres en chevauchant; la dite question est résolue ailleurs.

47. Le but d’amour est le plaisir du corps, et pourquoy, avec une jolie explication là-dessus.

48. Comparaison familière des hommes et des bêtes sur ce sujet.

49. Fin naturelle de l’amour, où les naturalistes se pourront instruire de la vérité, si bon leur semble, et quel est l’objet d’un amant qui soupire.

50. Preuve que l’amour se passe en chevauchant et revient faute de chevaucher, la dite preuve renouvelée encore plus bas.

51. Plaisir du corps, et de l’origine des plus belles pensées de l’amour, et de l’erreur que les filles se forment là-dessus.

52. Remède d’amour pour ceux qui ne peuvent chevaucher celles qu’ils aiment, et de ceux qui chevauchent leur idée.

53. Subtile raison, interrompue cy devant et reprise en cet endroit, des vilains mots et autres paroles libres d’amour qui se disent en chevauchant.

54. Autres raisons bien douces pourquoy les amants appellent toutes choses par leurs noms, et comme toute chose est permis de dire entre deux amants qui se baisent.

55. Comme on peut aimer l’esprit pour le corps et le corps pour l’esprit, et la conclusion des recherches sur les hommes.

56. Curiosités inouïes sur le sujet des filles et premièrement la crainte frivole qu’elles ont pour la grossesse, avec l’entière solution de ce doubte, qui ne laisse aucune difficulté à vuider.

57. Inventions diverses qu’elles ont de se donner du plaisir sans crainte d’engrosser.

58. Premièrement de statues de femmes pour les hommes.

59. Des godemichis ou vits de velours, de verre, ou autres instruments pour se fourrer au con.

60. Moyens plus plaisants pour se divertir avec les hommes avec autant de seureté que cy devant.

61. Circonstance nécessaire pour engrosser, tirée de la plus subtile doctrine des médecins, facile à éviter, avec une exhortation aux filles à passer par dessus et à se bien divertir.

62. Autres particularités pour engrosser, et les remèdes de contraire ou contre icelles.

63. Raisons pourquoy on serre les fesses en chevauchant, et une explication là-dessus.

64. Autre question pourquoy les hommes sont plus aises que les femmes leur touchent l’engin avec la main qu’avec toute autre partie du corps, et le mérite particulier et de haut goût attribué à la main de la femme.

65. Problème à quoi sert l’estendue du vit derrière les coüillons.

66. Raison de la composition naturelle de l’homme et de la femme.

67. Pourquoy on appelle le vit et le con des parties honteuses.

68. Qui prend plus de plaisir à chevaucher de l’homme ou de la femme.

69. Recherche curieuse et naturelle pourquoy le plaisir vient sans qu’on y pense, et pourquoy l’homme et la femme, sans savoir qu’il y en ait, souhaitent tant de se joindre, et de l’androgénie.

70. Définition de l’amour.

71. Autre définition de l’amour par idée.

72. Pourquoy la liqueur d’amour chatouille en sortant.

73. Pourquoy, pendant le déchargement, l’on ne peut rire, et de l’occupation sérieuse de l’âme en cet instant.

74. Pourquoy les hommes se plaisent à descharger quelquefois entre les cuisses, tétons, et ailleurs.

75. Du baiser de la langue, et pourquoy il est si doux et si suave.

76. Pourquoy il est plus doux de chevaucher la femme dessus que dessoubs, et de la métamorphose d’amour.

77. Souverain et dernier principe d’amour, qu’une moitié veut s’unir à son autre moitié.

78. Sommaire et récapitulation de toutes les choses qui ont été traittées cy devant, et de plusieurs menues particularitez assez importantes à sçavoir.

79. Remerciement à la louange de cette doctrine, avec un aveu des plus grands privilèges de l’amour.

80. Grand plaisir de l’imagination de l’homme qui est chevauché par une femme, et l’on voit par cette posture répétée tant de fois que l’auteur y prend plaisir; avec un exemple instructif pour méditer là-dessus.

81. Autre congratulation à l’amour.

82. Explication et recherche non moins utile que plaisante en dernier lieu, ou le tableau de deux amants propres à se bien donner du plaisir.

83. Introduction à la première recherche, ou discours ingénieux de la preexcellence du vit et du con à tous les autres membres, pour le plaisir qui en provient.

84. Commencement de cette recherche, et premièrement de la beauté en général.

85. De la différence des beautés, et ce qu’elles doivent avoir pour être parfaites.

86. De la beauté particulière de la femme, avec une inscription méthodique et bien raisonnée des mœurs et bonnes qualités qu’elle doibt avoir tant à l’esprit qu’au corps, et ce chapitre mérite d’être leu des filles qui veulent apprendre, pour son utilité.

87. Appellation figurée et philosophique du con, et des grands privilèges et de la beauté cy dessus escrite.

88. Description particulière de la beauté de l’homme et des bonnes qualités qu’il doit avoir.

89. Paragon de la beauté masle et vigoureuse de l’homme à la beauté molle et délicate de la femme, et suite de la dernière description.

90. Convenances nécessaires à garder aux deux amants sus dits dans le temps de l’accouplement pour rendre leur plaisir parfait, avec une exhortation pour les suivre, et les filles qui voudront s’instruire prendront ainsy la peine de lire cecy, s’il leur plaist.

91. Réflexion morale et civile sur la malice et l’ignorance de ce siècle, qui condamne les plaisirs d’amour ouvertement et les approuve en secret, avec la conclusion finale de cet œuvre par deux ou trois petites questions qui ne sont pas hors de propos.

92. Qui sont les personnes les plus habiles à traiter l’amour, les hommes ou les filles, et d’où naissent les différents appétits des hommes sur ce sujet.

93. Qu’il fait mauvais se jouer aux filles, et pourquoy.

94. Conseil pour s’adresser aux femmes mariées.

95. Dernier conseil aux filles pour se marier, pour faire l’amour plus commodément, et le plaisir qu’il y a d’avoir un amy et un mary tout ensemble.

96. Résolution du mariage sur ce sujet.

FIN DE LA TABLE.

Icy l’auteur fait une excuse très humble aux filles de ce qu’il se sert plus souvent des mots de foutre et chevaucher que de pas un autre; c’est qu’il dit qu’ils sont plus en usage.

BULLE ORTHODOXE.

Nostre auguste père de Priape fulmine anathème contre tous ceux de l’un et de l’autre sexe qui liront ou entendront lire les préceptes d’amour, expliquez morallement en la célèbre Escole des Filles, sans spermatiser ou estre stimulés de quelque émotion spirituelle ou corporelle; comme aussi il concède indulgence plénière à tous les religieux de l’ordre de nature, de corps vereux que la débilité de l’âge ou l’action fréquente causera, et béatise en l’autre monde les infortunés pèlerins qui souffriront constamment en cestui cy les travaux du périlleux voyage de furie.

A MONSIEUR MILILOT

SUR SON ESCOLE DES FILLES.

MADRIGAL.

L'escole des filles réimpression complète du texte original sur la contrefaçon hollandaise de 1668

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