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Mes Reflexions:

L’eau de la rivière n’est jamais la même.

L’air que nous respirons n’est jamais le même.

Tout devient . . . Panta rei.

L’essence de la nature–univers est impénétrable.

L'impénétrable n'est pas mesurable.

La connaissance de la nature-univers (sa description) est toujours une continue approximation.

Pour ce qu'il est donné de savoir, tous le components de l’univers (satellites, planètes, météores, soleil; étoiles; amas de galaxies) ils sont en mouvement, vraiment, car ils sont en orbite, ils sont donc dans différents mouvements.

Tel composants, ensemble à chaque type de construction que l’homme réalise, sont sujets à actions (force).

Il en résulte que le silence et le mouvement rectiligne uniforme, ainsi que le mouvement rectiligne uniformément accéléré, compris comme des concepts absolus, n'existent pas dans la nature.

Aussi le flux du temps n’est pas uniforme.

L’espace (en trois dimensions) est le temps (une dimension), même si conçu dans un sens absolu, selon le bon sens, ils ne doivent pas être perçus comme deux entités distinctes, mais comme une seule entité espace – temps à quatre dimensions (3 + 1).

L’espace – temps, en base a la connaissance qu’aujourd’hui avons, n’est pas Euclidien.

L’espace euclidien est une description approximative consciente de l'espace-temps.

Fait ces observations élémentaires, je réfléchis sur la physique classique, avec particulaire référence a les trois principes de la dynamique, à la loi d’attraction gravitationnelle universelle et à la chute libre des corps avec le conséquent principe de Galilée Galilei.