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NOTES

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[1] Eschyle, Choéph., 469. Sophocle, Antig., 451. Plutarque, Solon, 21; Quest. rom., 52; Quest. gr., 5. Virgile, V, 47; V, 80.

[2] Cicéron, De legib., II, 22. Saint Augustin, Cité de Dieu, IX, 11; VIII, 26.

[3] Euripide, Alceste, 1003, 1015.

[4] Cicéron, De legib., II, 9. Varron, dans saint Augustin, Cité de Dieu, VIII, 26.

[5] Virgile, Én., IV, 34. Aulu-Gelle, X, 18. Plutarque, Quest. rom., 14. Euripide, Troy., 96; Électre, 513. Suétone, Néron, 50.

[6] Varron, De ling. lat., V, 74.

[7] Lois de Manou, I, 95; III, 82, 122, 127, 146, 189, 274.

[8] Ovide, Fast., II, 549-556. Ainsi, dans Eschyle, Clytemnestre avertie par un songe que les mânes d'Agamemnon sont irrités contre elle, se hâte d'envoyer des aliments sur son tombeau.

[9] Euripide, Alceste, 1004 (1016). « On croit que si nous n'avons aucune attention pour ces morts et si nous négligeons leur culte, ils nous font du mal, et qu'au contraire ils nous font du bien si nous nous les rendons propices par nos offrandes. » Porphyre, De abstin., II, 37. Voy. Horace, Odes, II, 23; Platon, Lois, IX, p. 926, 927.

[10] Eschyle, Choéph., 122-135.

[11] Le sens primitif de ce dernier mot paraît avoir été celui d'homme mort. La langue des inscriptions qui est celle du vulgaire chez les Grecs, l'emploie souvent avec cette signification. Boeckh, Corp. inscript., nos 1629, 1723, 1781, 1784, 1786, 1789, 3398.—Ph. Lebas, Monum. de Morée, p. 205. Voy. Théognis, édit. Welcker, v. 513. Les Grecs donnaient aussi au mort le nom de daimou, Euripide, Alcest., 1140 et Schol.; Eschyle, Pers., 620. Pausanias, VI, 6.

[12] Servius, ad Aen., III, 63.

[13] Censorinus, 3.

[14] Cicéron, Timée, 11. Denys d'Halic. traduit Lar familiaris par [Grec: o chat oichian haeroz] (Antiq. rom., IV, 2).

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