Читать книгу La Cité Antique - Fustel de Coulanges - Страница 18
NOTES
Оглавление[1] Cicéron, De legib., II, 26. Varron, L. L., VI, 13: Ferunt epulas ad sepulcrum quibus jus ibi parentare. Gaius, II, 5, 6: Si modo mortui funits ad nos pertineat. Plutarque, Solon.
[2] Pillacus omnino accedere quemquam vetat in funus aliorum. Cicéron, De legib., II, 26. Plutarque, Solon, 21. Démosthènes, in Timocr. Isée, I.
[3] Du moins à l'origine; car ensuite les cités ont eu leurs héros topiques et nationaux, comme nous le verrons plus loin.
[4] Lucien, De luctu.
[5] Lois de Manou, III, 138; III, 274.
[6] Euripide, Hélène, 1163-1168.
[7] Chez les Étrusques et les Romains il était d'usage que chaque famille religieuse gardât les images de ses ancêtres rangées autour de l'atrium. Ces images étaient-elles de simples portraits de famille ou des idoles?
[8] [Grec: Hestia patroa], focus patrius. De même dans les Védas Agui est encore invoque quelquefois comme dieu domestique.
[9] Isée, VIII, 17, 18.
[10] Cette enceinte était appelée herchos.
[11] [Grec: Theoi mychioi], dii Pénates.
[12] Cicéron, De arusp. resp., 17.
[13] Varron, De ling. lat., VII, 88.
[14] Hésiode, Opera, 753. Macrobe, Sat., I, 10. Cic., De legib., II, 11.
[15] Rig-Véda, tr. Langlois, t. I, p. 113. Les lois de Manou mentionnent souvent les rites particuliers à chaque famille: VIII, 3; IX, 7.
[16] Sophocle, Antig., 199; Ibid., 659. Rappr. [Grec: patrooi theoi] dans Aristophane, Guêpes, 388; Eschyle, Pers., 404; Sophocle, Électre, 411; [Grec: theoi genethlioi], Platon, Lois, V, p. 729; Di Generis, Ovide, Fast., II.
[17] Les Védas appellent le feu sacré la cause de la postérité masculine. Voy. le Mitakchara, trad. Orianne, p. 139.