Читать книгу Le Échafaud ouralien. Documentaire l’investigation. Analyse comparative - Громов Л. Громова Е., Gromov L. Gromova E. - Страница 17
Le jour le premier. Sur la minière
ОглавлениеKoudrine (Medvedev): “… Derrière Verkh-Issetsk aux verstes quelques jusqu’à Koptiaki, la voiture s’est arrêtée sur une grande clairière, où noircissaient couvertes par broussailles les fosses…”
“… Puis ont commencé à transférer les cadavres de par la queue vers la mine laissée…”
Les paysans du village de Koptiaki – à l’enquêteur Sretenski: “… Non loin de la mine, dans le ravin étaient visibles deux les laissées civières, de pin, récemment coupés, avec taillées par bouts pour qu’il était plus confortable de tenir par les mains…”
Ermakov: “… les cadavres étaient portés près de 50 mètres et les ont baissé à la mine. Elle n’était pas de la profonde, près de 6 sagènes, car toutes ces mines je en bien connais…”
Ermakov exactement, à la différence de Yourovski, appelle la profondeur de la mine.
Koudrine (Medvedev): “… arracher d’eux les vêtements…”
Dans peuple la nudité était définie simplement – “dans les culottes” et “sans culottes”. Il est intéressant que les ermakovtsky dans le club (l’interrogatoire de Koukhtenkov) on mentionnait notamment la première variante, mais Soukhoroukov insiste sur deuxième. Chez Yourovski eux “tout à fait nus”.
Ce importante information pour fixation de la vérité, mais sur le compte de cela plus tard…
Koudrine (Medvedev): “… Ermakov a expédié les soldats de l’Armée rouge sur le chemin pour que ne manquent personne du village voisin…”
Yourovski (1920): “… On disposait autour les gens à cheval, pour disperser le tous les passants…”
Nastassia Pavlovna Zykova avec le fils Nikolaï et sa femme, étant parti de Koptiaki à 3 heures du matin, sont parvenus à la mine environ à 04.00. (Fig. 12). Dans ce temps-là vers mine ont fournis les corps fusillés, et Vaganov avec “jeune, légèrement basané” circulaient dès passage à niveau №184 jusqu’à premier tournant vers la mine du côté de la Koptiaki. Sur le dessin 8, c’est le tournant №5, puisque le compte va ne de Koptiaki mais de Verkh-Issetsk.
Fig. 8.
Nous reviendrons vers déclarations de Koudrine (Medvedev), comme du témoin désintéressé:
“… Sur corde des fusillés baissaient au le tronc de mine – d’abord des Romanov, puis de domestiques…”
Gardons dans la mémoire cette succession. À Alapaevsk pour une nuit suivante avec 17 sur le 18 juillet 1918 notamment dans le même ordre par les premiers se sont trouvés dans la mine les Romanov, mais puis les serviteurs.
Koudrine (Medvedev): “… Déjà s’est levé le soleil, quand ils ont commencé à jeter au bûcher les vêtements ensanglantés…”
Les cadavres descendaient auprès de crépuscules du matin, mais brûler les vêtements de l’acier auprès de lever du soleil. Près de la moitié de la cinquième heure (voir l’Annexe 6).
04.30. Le 17 juillet 1918 la mine ouverte №7 la Minière Ganinski.
Auprès de n’importe quelle possibilité nous vérifierons le temps et les déclarations des témoins.
“… Soudain d’un des soutien-gorges de dames le ruisseau des diamants a aspergé. Ont foulé aux pieds le bûcher, ont commencé à choisir les bijoux de la cendre et dès la terre…”
Le ruisseau des diamants sur les vêtements ensanglantés des jeunes princesses, ont foulé aux pieds le feu, – c’est non seulement, les visuelles mais aussi les souvenirs physiques; je pense, en cette partie de la narration, nous on peut croire Koudrine (Medvedev):
“… Est arrivé Yourovski avec Golochtchekine sur la voiture. Ont jeté un coup d’oeil sur la mine. D’abord voulaient remplir les cadavres par le sable, mais puis Yourovski a dit que eux se noient dans l’eau au fond de – en tout cas, personne ici les ne cherchera, puisque c’est la région des mines laissées, et de troncs il y a ici beaucoup…”
Ermakov: “… J’ai dit: nous les baisserons à la mine, et ont décidé ainsi… j’ordonnais de tous déshabiller, pour que les vêtements soient brûlés, et c’était fait ainsi. Quand ont commencé à ôter à eux les robes étaient trouvés chez ‘elle-même’ et ses filles les médaillons, dans qui on insère la tête de Raspoutine. Plus loin sous les robes sur le corps on adaptait les soutien-gorges doubles: on met au-dedans la matière-coton, où on mettait les pierres précieuses et étaient cousus eux… Cela était par pièces transmis à Yourovski au membre de soviet régional d’Oural. Je ne m’intéressais pas, que c’était à la place, car était occupé. J’ai brûlé les vêtements ici…”
La succession n’est pas violée, d’abord les cadavres on baissaient au mine, puis ont commencé à brûler les vêtements. L’attention s’adresse à la différence frappante dans les déclarations d’Ermakov et Yourovski. À l’Ermakov se gravaient à la mémoire non les bijoux mais les petites icônes sur les cous des victimes. “Le commandant” a diffamé des ermakovtsky:
“… chez le public se sont allumés évidemment les yeux. Le commandant a décidé immédiatement de congédier tout l’artel; ayant laissé sur la garde quelques personnes à cheval…” Cela en 1920.
Yourovski en 1934: “… J’ai expédié un autre groupe à la ville comme si faute de besoin…”
Nous essaierons définir à quelle heure notamment, Yourovski a décidé de se libérer des témoins superflus.
Ermakov indique l’heure exacte: “… Quand tout était fini, il y avait déjà l’aube, environ 4 heures du matin…”
En effet, le 17 juillet 1918 l’aube a arrivé à 04.35 (voir l’Annexe 6). Ils avaient un temps pour qu’au club de Verkh-Issetsk se trouver à 6 heures du matin.
6 heures du matin le 17 juillet 1918 Verkh-Issetsk.
De l’interrogatoire Koukhtenkov travaillant dans le club de parti de Verkh-Issetsk: “… à 4 heures du matin se sont réunis: le Président du Comité exécutif de V. Issetsk Malychkine Sergeï Pavlovitch, le commissaire militaire Ermakov Petr… de eux il y avait 6 personnes, et ils de quelque chose parlaient confidentiellement…”
Pour nous est important dans cette déclaration le temps du retour en Verkh-Issetsk d’ermakovtshy. Le temps est indiqué, probablement, “tsariste”; le temps bolchevique était environ 6 heures du matin le 17 juillet 1918. Faute de besoin, Yourovski expédie des ermakovtshy à la maison.
Yourovski en 1922: “… Ayant laissé le travail et ayant décidé de congédier de tous, excepté certains, plus à moi des connus et des fiables…, ayant laissé pour soi cinq personnes et trois cavaliers, de d’autres a expédié…”
Ermakov à six heures du matin se trouve déjà dans le club de Haut-Issetsk. Avec lui est parti et Vaganov.
Mais au ce temps sur le chemin de Koptiaki la vie bout.
Le 17 juillet 07.00. (05.00. selon vieux temps) sont allés de nouveau à la ville. Sur le chemin ont rencontré cavalier, ont passé tranquillement, personne ne les arrêtait – habitante de datcha A.P. Sousloparova.
Le 17 juillet 07.30. Les Zykov Vassili et Nastassia de Verkh-Issetsk allaient à Koptiaki. Ont rencontré seulement les paysans de Koptiaki – Zoubritski, Papine et Chveïkine. Ceux-là leur ont dit que leur village est entouré des troupes. Ils avec le mari d’aucuns soldats de l’Armée rouge ne voyaient pas. Mikhaïl Ignatevitch Babinov, le paysan du village de Koptiaki cela confirme (a dit de Zikov Vassili):
“… Il notamment ce jour, quand au ville ne laissaient pas passer Zykova Nastassia avec le fils et la belle-soeur, est venu à nous avec l’épouse par Nastassia…”
Le 17 juillet 08.00. Zoubritski, Papine et Chveïkine sont sorti du village Koptiaki, se sont fatigués d’attendre “la troupe” et se sont dirigés vers la mine. Sur une Grande fenaison trois Autrichiens fauchaient l’herbe. Sont arrivés vers Quatre Frères, n’ont personne rencontré. Sont retournés.
Le 17 juillet 09.00. De la ferme Zoubritski sa femme et les enfants ont débouché sur la route Koptiakovski. À côté du chemin Koptiakovsi dans la forêt sur l’élévation sur les chevaux étaient assis deux soldats de l’Armée rouge, sur la terre étaient quelques soldats de l’Armée rouge.