Читать книгу Le Échafaud ouralien. Documentaire l’investigation. Analyse comparative - Громов Л. Громова Е., Gromov L. Gromova E. - Страница 8
La fraude
ОглавлениеPendant discours dans le Radiocomité en 1964 Nikouline s’est embrouillé définitivement et s’est trompé pendant le direct (Nikouline Grigori Petrovitch le participant de la fusillade de la famille tsariste, en une semaine jusqu’à cela, le 10 juillet 1918 a tué le prince V.A. Dolgorouki): “… puisque Beloborodov, c’est-à-dire Golochtchekine…” Nous voyons le nom Beloborodov – on lit Golochtchekine.
La substitution d’unes de personnes par les autres est l’affaire ordinaire dans les déclarations des assassins. Le juge d’instruction pour les affaires considérables de la cour de la grande instance d’Omsk Nikolaï Alexeevitch Sokolov déjà à 1920 a réussi à comprendre, quels rôles exécutaient Beloborodov et Ermakov. Chez certains des investigateurs modernes leur rôle est exagéré.
Les gens qui voudraient s’affaisser par messieurs à Pétersbourg, mais aucunement à district d’Ekaterinbourg, ici ils étaient dans “la mission”. Avec le pince-nez sur nez s’affublaient aux capotes de soldat et les papakhas et cachaient les mains soignées quand se photographiaient. Beloborodov évidemment est de trop dans cette compagnie.
Photo 11. De gauche à droite: N.G. Tolmatchev, A.G. Beloborodov, G.A. Safarov, F.I. Golochtchekine.
Pour cacher le rôle véritable dans l’affaire du meurtre de la famille tsariste du favori de Lénine Safarov, entre en scène – bolchevique Beloborodov.
J’ai un grand doute au sujet de ce “trio”, qui écrivait aux prisonniers les lettres-fraudes.
Le tchekiste (le collaborateur de commission extraordinaire) Rodzinski Issaï Ilitch: “… Nous nous réunissions d’habitude Beloborodov, Voïkov et moi. Moi de CE (de la Commission Extraordinaire – auteur) Régionale d’Oural…
…il y a deux lettres, qui écrites du moi en français, avec la signature… Russe l’officier. Par l’encre rouge…”
Le tchekiste Koudrine Mikhaïl Alexandrovitch (Medvedev): “… Beloborodov, Voïkov et le tchekiste Rodzinski ont écrit de la part de l’organisation russe des officiers la lettre, dans lui ils disaient de la chute rapide d’Ekaterinbourg et proposaient de se préparer à l’évasion durant la nuit du jour défini…”
Voïkov soit dictait, soit écrivait en français. Rodzinski soit écrivait sous la dictée de Voïkov, soit recopiait ces lettres par graphie belle. Même dans une telle question la clarté est absent. Ici quelque chose cachaient. Que Beloborodov avec la formation du d’église paroissiale pouvait comprendre? Le troisième superflu. Probablement, par troisième il y avait Safarov, un assistant de Beloborodov, et d’orthographe française il connaissait mieux, que l’habitant de Perm Rodzinski.
Rodzinski dans le Radiocomité le 13 mai 1964 donne l’interview, une des phrases semble étrange: “… Dans la archive ont embrouillé… les choses authentiques…”
De nouveau la fraude. Les choses authentiques sont embrouillés dans archive.
À lieu laissé dans la lettre, ont écrit la réponse par graphie large.
Rodzinski: “… Pour l’histoire… il fallait le preuve du ce quoi se préparait le kidnapping… que parler, en effet… non d’aucun kidnapping ne se préparait pas…”
Dans un demi-siècle le tchekiste reconnaît, qu’il n’y avait, pas de complot avec le but de libérer de dessous la garde la famille tsariste, de complot qui est devenu la raison officielle de leurs de meurtre.