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[1] Avertissement de la traduction française que nous avons donnée en 1837 du Ta-hio ou de la Grande Étude, avec une version latine et le texte chinois en regard, accompagné du commentaire complet du Tchou-hi et de notes tirées des divers autres commentateurs chinois. Gr. in-8°.

[2] Voyez la note [26] ci-après.

[3] On peut consulter à ce sujet notre Description historique, géographique et littéraire de la Chine, t. I, p. 32 et suiv. F. Didot frères, 1857.

[4] Voyez la traduction de ce livre dans les Livres sacrés de l'Orient que nous avons publiés chez MM. F. Didot, en un fort vol. in-8° à deux colonnes, d'où la traduction que nous donnons ici des Quatre Livres a été tirée.

[5] Voyez la Préface du P. Gaubil, pag. 1 et suiv.

[6] Lun-yu, chap. IV, §5.

[7] Id., §16.

[8] Id., chap. VII, §1, 19.

[9] Lun-yu, chap. II, §1.

[10] Id., chap. XIII, §12.

[11] Lun-yu, chap. XII, §17.

[12] Voyez l'Argument philosophique de l'édition chinoise-latine et française que nous avons donnée de cet ouvrage. Paris, 1837, grand in-8°.

[13] Voyez les Histoires de la philosophie ancienne de Hegel et de H. Ritter.

[14] Voyez aussi notre traduction des Essais de Colebrooke sur la Philosophie des Hindous, un vol. in-8°.

[15] Lun-yu, chap. I, §1.

[16] Lun-yu, chap. V, §19.

[17] Id., chap. IX, §.

[18] Id., chap. XV, §30 et 31.

[19] Lun-yu, chap. VI, §9.

[20] Id., chap. XVII, §22.

[21] Lun-yu, chap. VI, §23.

[22] Meng-tseu, chap. III, pag. 249 de notre traduction. Ce témoignage est corroboré dans Meng-tseu par celui de trois des plus illustres disciples du philosophe, que Meng-tseu rapporte au même endroit.

[23] Description de la Chine, t. I, pag. 187.

[24] Vie de Meng-tseu. Nouv. Mélanges asiatiques, t. II, pag. 119.

[25] Nous renvoyons, pour les détails biographiques que l'on pourrait désirer sur KHOUNG-TSEU et MENG-TSEU, à notre Description de la Chine déjà citée, t. 1, pag. 120 et suiv., où l'on trouvera aussi le portrait de ces deux philosophes.

[26] La traduction que nous publions des Quatre Livres classiques de la Chine est la première traduction française qui ait été faite sur le texte chinois, excepté toutefois les deux premiers livres: le Ta-hio ou la Grande Étude, et le Tchoung-young ou l'Invariabilité dans le milieu, qui avalent déjà été traduits en français par quelques missionnaires (Mémoires sur les Chinois, t. I, p. 436-481) et par M. A. Rémusat (Notices et Extraits des manuscrits de la Bibliothèque du roi, t. X, pag. 269 et suiv.). La traduction des missionnaires n'est qu'une longue paraphrase enthousiaste dans laquelle on reconnaît à peine le texte original. Celle du Tchoung-young de M. Rémusat, qui est accompagnée du texte chinois et d'une version latine, est de beaucoup préférable. La traduction française de l'abbé Pluquet, publiée en 1784, sous le titre de: Les Livres classiques de l'empire de la Chine, a été faite sur la traduction latine du P. Noël, publiée à Prague, en 1711, sous ce titre: Sinensis imperii libri classici sex. Nous avons cru inutile de la consulter pour faire notre propre traduction, attendu que nous nous sommes constamment efforcé de nous appuyer uniquement sur le texte et les commentaires chinois. (Voyez, pour plus de détails, les Livres sacrés de l'Orient, p. XXVIII.)

Les quatre livres de philosophie morale et politique de la Chine

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