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LETTRE LXXXIV

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À ROBERT RUSHTON

21 janvier 1812.

«Bien que je ne trouve pas mauvais que vous refusiez de porter des lettres à Mealey, vous voudrez bien avoir soin qu'elles y soient portées en tems utile par Spero. Je dois aussi vous faire observer que Suzanne doit être traitée civilement, que je ne veux point qu'elle soit insultée par personne de ma maison, et même par qui que ce soit tant que j'aurai le pouvoir de la protéger. Je suis réellement désolé que vous me donniez sujet de me plaindre de vous: j'ai trop bonne opinion de votre caractère pour croire que vous fournissiez l'occasion de nouveaux reproches, d'après le soin que j'ai pris de vous et mes bonnes intentions à votre égard. Si le sentiment général des convenances n'est pas assez fort pour vous empêcher de vous conduire grossièrement avec vos camarades, je puis du moins espérer que votre propre intérêt et le respect pour un maître qui n'a jamais été dur à votre égard, vous paraîtront de quelque poids.

»Votre, etc.

BYRON.

»P. S. Je désire que vous vous appliquiez à votre arithmétique, que vous vous occupiez à arpenter, à lever des plans, que vous vous rendiez familier dans tout ce qui concerne la terre de Newsteadt, enfin que vous m'écriviez une fois par semaine, pour que je voie où vous en êtes.»

Œuvres complètes de lord Byron, Tome 10

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