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TRIBAL BOUNDARIES.

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The Wild Tribes of Central America, the last groupal division of this work, extend from the western boundary of Guatemala, south and eastward, to the Rio Atrato. I have divided the group into three subdivisions, namely: the Guatemalans, the Mosquitos, and the Isthmians.

The Guatemalans, for the purposes of this delineation, embrace those nations occupying the present states of Guatemala, Salvador, and portions of Nicaragua.

The Lacandones are a wild nation inhabiting the Chammá mountains on the boundary of Guatemala and Chiapas. 'Mountains of Chammá, inhabited by the wild Indians of Lacandón … a distinction ought to be drawn between the Western and Eastern Lacandónes. All the country lying on the W., between the bishopric of Ciudad Real and the province of Vera Paz, was once occupied by the Western Lacandónes. … The country of the Eastern Lacandónes may be considered as extending from the mountains of Chammá, a day and a half from Cobán, along the borders of the river de la Pasion to Petén, or even further.' Escobar, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xi., pp. 93–4. Upon the margin of the Rio de la Passion. Juarros' Hist. Guat., p. 271. 'Un tribu de Mayas sauvages appelés Lacandons, qui habitent un district immense dans le centre du continent, embrasse toute la partie occidentale du Peten; erre sur les bords supérieurs de l'Usumasinta et le pays qui se trouve au sud de l'endroit d'où j'écris.' Galindo, in Antiq. Mex., tom. i., div. ii., p. 67. 'The vast region lying between Chiapa, Tabasco, Yucatan, and the republic of Guatemala … is still occupied by a considerable body of Indians, the Lacandones and others.' Squier, in Hist. Mag., vol. iv., p. 65, 'The vast region embracing not less than from 8000 to 10,000 square miles, surrounding the upper waters of the river Usumasinta, in which exist the indomitable Lacandones.' Id., p. 67. 'Mais la contrée qui s'étendait au nord de Cahabon, siége provisoire des Dominicains, et qui comprenait le pays de Dolores et celui des Itzas, était encore à peu près inconnue. Là vivaient les Choles, les belliqueux et féroces Mopans, les Lacandons et quelques tribus plus obscures, dont l'histoire a négligé les noms.' Morelet, Voyage, tom. ii., p. 78, tom. i., p. 318. 'They are reduced to-day to a very insignificant number, living on and near Passion river and its tributaries.' Berendt, in Smithsonian Rept., 1867, p. 425. 'In the north of Vera Paz, to the west of Peten, and all along the Usumacinta, dwell numerous and warlike tribes, called generally Lacandones.' Boyle's Ride, vol. i., pref., p. xvi.; Fossey, Mexique, p. 471; Pimentel, Mem. sobre la Raza Indígena, p. 197.

THE MAMES OF GUATEMALA.

The Mames 'occupied the existing district of Güegüetenango, a part of Quezaltenango, and the province of Soconusco, and in all these places the Mam or Pocoman language is vernacular. It is a circumstance not a little remarkable, that this idiom is also peculiar to places very distant from the country of the Mams: viz. in Amatitan, Mixco, and Petapa, in the province of Sacatepeques; Chalchuapa, in St. Salvador; Mita, Jalapa, and Xilotepeque, in Chiquimula.' Juarros' Hist. Guat., p. 169. 'El Mame ó Pocoman le usan los mames ó pocomanes, que parecen no ser mas que dos tribus de una misma nacion, la cual formaba un estado poderoso en Guatemala. Se extendió por el distritó de Huehuetenango, en la provincia de este nombre, y por parte de la de Quetzaltenango, así como por el distrito de Soconusco en Chiapas. En todos estos lugares se hablaba mame ó pocoman, lo mismo que en Amatitlan, Mixco y Petapa, de la provincia de Zacatepec ó Guatemala; en Chalchuapa, perteneciente á la de San Salvador; y en Mita, Jalapa y Jiloltepec, de la de Chiquimula.' Balbi, in Pimentel, Cuadro, tom. i., p. 81. 'Leur capitale était Gueguetenango, au nord-est de la ville actuelle de Guatemala, et les villes de Masacatan, Cuilco, Chiantla et Istaguacan étaient enclavées dans leur territoire.' Squier, in Nouvelles Annales des Voy., 1857, tom. cliii., p. 177. 'A l'ouest, jusqu'aux frontières de Chiapas, s'étendaient les Mams, proprement dits Mam-Yoc, dans leurs histoires, partagés en plusieurs familles également puissantes qui gouvernaient souverainement cette contrée, alors désignée sous le nom commun d'Otzoya (de otzoy, sortes d'écrevisses d'or): c'étaient d'un côté les Chun-Zak-Yoc, qui avaient pour capitale Qulaha, que son opulence et son étendue avaient fait surnommer Nima-Amag ou la Grande-Ville, dite depuis Xelahun-Quieh, ou Xelahuh, et Quezaltenango; les Tzitzol, dont la capitale était peut-être Chinabahul ou Huehuetenango, les Ganchebi (see note below under Ganchebis) et les Bamaq. Ceux-ci, dont nous avons connu les descendants, étaient seigneurs d'Iztlahuacan (San-Miguel-Iztlahuacan), dont le plateau est encore aujourd'hui parsemé de ruines au milieu desquelles s'élève l'humble bourgade de ce nom: au dessus domine, à une hauteur formidable, Xubiltenam (ville du Souffle). … Ganchebi, écrit alternativement Canchebiz, Canchevez et Ganchebirse. Rien n'indique d'une manière précise où régnait cette famille: mais il se pourrait que ce fût à Zipacapan ou à Chivun, dont les ruines existent à trois lieues au sud de cette dernière localité; là était l'ancien Oztoncalco.' Brasseur de Bourbourg, Popol Vuh, introd., pp. 264–5. 'Habitaban el Soconusco, desde tiempos remotos, y era un pueblo autócton; los olmecas que llegaron de la parto de México, les redujeron á la servidumbre, y una fraccion de los vencidos emigró hasta Guatemala.' Orozco y Berra, Geografía, p. 168. The Mamey, Achi, Cuaahtemalteca, Hutateca, and Chirichota 'en la de los Suchitepeques y Cuaahtemala.' Palacio, in Pacheco, Col. Doc. Inéd., tom. vi., p. 7. Mame 'Parlé dans les localités voisines de Huehuetenango.' Brasseur de Bourbourg, MS. Troano, tom. ii., p. viii. 'On retrouve encore aujourd'hui leurs restes parmi les Indiens de la province de Totonicapan, aux frontières de Chiapas et des Lacandons, an nord-ouest de l'état de Guatémala. La place forte de Zakuléu (c'est-à-dire, Terre blanche, mal à propos orthographié Socoléo), dont on admire les vastes débris auprès de la ville de Huéhuétenango, resta, jusqu'au temps de la conquête espagnole, la capitale des Mems. Cette race avait été antérieurement la maîtresse de la plus grande partie de l'état de Guatémala.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., pp. 119–20.

The Pokomams, or Pokonchis, lived in the district of Vera Paz in Guatemala, 'sous le nom d'Uxab et de Pokomam, une partie des treize tribus de Tecpan, dont la capitale était la grande cité de Nimpokom, était maîtresse de la Verapaz et des provinces situées au sud du Motagua jusqu'à Palin' (2 leagues N. W. of Rabinal). Brasseur de Bourbourg, Popol Vuh, introd., p. 264. Ils 'paraissent avoir occupé une grande partie des provinces guatémaliennes.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., pp. 84, 506. 'Toute la rive droite du Chixoy (Lacandon ou haut Uzumacinta), depuis Coban (écrit quelquefois Coboan) jusqu'au fleuve Motagua, les montagnes et les vallées de Gagcoh (San-Cristoval), de Taltic, de Rabinal et d'Urran, une partie des départements actuels de Zacatépec, de Guatémala et de Chiquimulà, jusqu'au pied des volcans de Hunahpu (volcans d'Eau et de Feu), devinrent leur proie.' Id., pp. 121–2. 'Le pocomchi, le pokoman, le cakchi, semés d'Amatitan à Coban.' Brasseur de Bourbourg, MS. Troano, tom. ii., introd., p. viii. In 'La Verapaz, la poponchi, caechi y colchi.' Palacio, in Pacheco, Col. Doc. Inéd., tom. vi., p. 7. 'La lengua pocomana se habla en Amatitán, Petapa, San Chrisobal, Pinula, y Hermita ó Llano de la Culebra de Guatemala.' Hervás, Catálogo, tom. i., p. 305. 'A la nacion Poconchi pertenecen los lugares ó misiones … llamadas Santa Cruz, San Christobal, Taktik, Tucurú, y Tomasiú.' Ib.

The Quichés inhabit the centre of the state of Guatemala. 'Quiché then comprehended the present districts of Quiché, Totonicapan, part of Quezaltenango, and the village of Rabinal; in all these places the Quiché language is spoken. For this reason, it may be inferred with much probability, that the greater part of the province of Sapotitlan, or Suchiltepeques, was a colony of the Quichées, as the same idiom is made use of nearly throughout the whole of it.' Juarros' Hist. Guat., p. 168. 'Les Quichés, or Utletecas, habitaient la frontière du sud, les chefs de Sacapulus et Uspatan à l'est, et les Lacandones indépendants au nord. Ils occupaient probablement la plus grande partie du district actuel de Totonicapan et une portion de celui de Quesaltenango.' Squier, in Nouvelles Annales des Voy., 1857, tom. cliii., p. 177. 'Leurs postes principaux furent établis sur les deux côtés du Chixoy, depuis Zacapulas jusqu'à Zactzuy.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., pp. 131–2; Wappäus, Geog. u. Stat., pp. 286, 288, 291.

The Cakchiquels are south of the Quichés. 'The territory of the Kachiqueles was composed of that which now forms the provinces of Chimaltenango and Sacatepeques, and the district of Sololá; and as the Kachiquel language is also spoken in the villages of Patulul, Cotzumalguapan, and others along the same coast, it is a plausible supposition that they were colonies settled by the Kachiquels, for the purpose of cultivating the desirable productions of a warmer climate than their own.' Juarros' Hist. Guat., p. 169. 'La capitale fut, en dernier lieu, Iximché ou Tecpan-Guatemala, lors de la déclaration de l'indépendence de cette nation.' Brasseur de Bourbourg, Popol Vuh, introd., p. 270. 'Der westliche Theil der Provinz [Atitan] mit 16 Dörfern in 4 Kirchspielen, von Nachkommen der Kachiquelen und Zutugilen bewohnt.' Hassel, Mex. Guat., p. 338. 'Los paises de la nacion Cakchiquila son Chimaltenango, Zumpango, Tejar, Santo Domingo, San Pedro las Huertas, San Gaspar, San Luis de las Carretas, y otros diez lugares, todos pertenecientes á las misiones de los PP. dominicos; y á las de los PP. observantes de san Francisco pertenecen Isapa, Pason, Tepan-guatemalan Comalapa, San Antonio, San Juan del Obispo, y otros quince lugares á lo menos de la misma nacion Cakchiquila, cuyas poblaciones estan al rededor de Guatemala.' Hervás, Catálogo, tom. i., p. 305.

The Zutugils dwelt near the lake of Atitlan. 'The dominion of the Zutugiles extended over the modern district of Atitan, and the village of San Antonio, Suchiltepeques.' Juarros' Hist. Guat., p. 169. 'La capital de los cachiqueles era Patinamit ó Tecpanguatemala, ciudad grande y fuerte; y la de los zutuhiles, Atitan, cerca de la laguna de este nombre y que se tenia por inexpugnable.' Pimentel, Cuadro, tom. ii., pp. 121–2.

The Chortis live on the banks of the Motagua River. The Chiquimula 'Indians belong to the Chorti nation.' Gavarrete, in Panamá Star and Herald, Dec. 19, 1867; Ludewig's Ab. Lang., p. 48.

GUATEMALANS.

Brasseur de Bourbourg describes quite a number of very ancient nations, of some of which he endeavors to fix the localities, and which I insert here. Dan or Tamub founded a monarchy on the Guatemalan plateau. Their 'capitale, Amag-Dan, existait, suivant toute apparence, entre les monts Tohil et Mamah, à trois lieues à peine au nord d'Utlatlan.' Popol Vuh, introd., pp. 148, 262. 'Ilocab étendait sa domination à l'ouest et au sud de Tamub, et la cité d'Uquincat, siége principale de cette maison, occupait un plateau étroit, situé entre les mêmes ravins qui ceignent un peu plus bas les ruines d'Utlatlan.' 'La ville d'Uquincat (forme antique). Avec le filet (à mettre le maïs), était sur un plateau au nord-ouest de ceux d'Utlatlan, dont elle n'était séparée que par ses ravins; on en voit encore les ruines connues aujourd'hui sous le nom de P'-Ilocab, en Ilocab.' Id., p. 263. Agaab, 'dont les possessions s'étendaient sur les deux rives du Chixoy ou Lacandon.' 'C'était une nation, puissante dont les principales villes existaient à peu de distance de la rive gauche du fleuve Chixoy ou Lacandon (Rio Grande de Sacapulas). L'une d'elles était Carinal, dont j'ai visité le premier, en 1856, les belles ruines, situées sur les bords du Pacalag, rivière qui se jette dans le Lacandon, presque vis-à-vis l'embouchure de celle de Rabinal, dans la Vérapaz.' Ib. Cabinal, 'la capitale était à Zameneb, dans les montagnes de Xoyabah ou Xolabah, [Entre les rochers].' Id., p. 270. Ah-Actulul, 'sept tribus de la nation Ah-Actulul, qui s'étaient établies sur des territoires dépendants de la souveraineté d'Atitlan.' 'Ces sept tribus sont: Ah-Tzuque, Ah-Oanem, Manacot, Manazaquepet, Vancoh, Yabacoh et Ah-Tzakol-Quet ou Queh.—Ac-Tulul peut-être pour Ah-Tulul.' Id., p. 274. 'Ah-Txiquinaha, ceux ou les habitants de Tziquinaha (Nid d'oiseau), dont la capitale fut Atitlan, sur le lac du même nom.' Id., p. 296. Acutee, 'nom aussi d'une ancienne tribu dont on retrouve le souvenir dans Chuvi-Acutec, au-dessus d'Acutec, sur le territoire de Chalcitan, près de Malacatan et de Huehuetenango.' Id., pp. 342–3. Cohah, 'nom d'une tribu antique dans l'orient des Quichés.' Id., p. 353.

The Chontales dwell in the mountain districts N.E. of Lake Nicaragua, besides having miscellaneous villages in Guerrero, Oajaca, Tabasco, Guatemala, and Honduras. 'En el Departamento de Tlacolula … y se encuentran chontales en Guerrero, en Tabasco y en Guatemala.' Orozco y Berra, Geografía, pp. 186–7. In San Salvador, Choluteca, Honduras, Nicaragua. Palacio, in Pacheco, Col. Doc. Inéd., tom. vi., pp. 7, 26, 35. 'Quiéchápa 20 Leguas südöstlich von Oajáca und 10 Leguas südwestlich von Nejápa. … An den Gränzen des Landes der Chontáles.' … 'Tlapalcatepéc. Hauptort im Lande der Chontáles.' Mühlenpfordt, Mejico, tom. ii., pt. i., pp. 172–3, 175, 192. 'Les Chontáles s'étaient vus en possession de toute la contrée qui s'étend entre la mer et la chaîne de Quyecolani … étaient en possession non seulement de Nexapa, mais encore de la portion la plus importante de la montagne de Quiyecolani.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. iii., pp. 3, 47. 'Au nord-ouest du grand lac, les Chondals occupaient le district montagneux appelé encore aujourd'hui Chontales, d'après eux.' Holinski, La Californie, p. 290. 'Inhabitants of the mountainous regions to the north-east of the lake of Nicaragua.' Froebel's Cent. Amer., p. 52. 'Au nord des lacs, les Chontales barbares habitaient la cordillère.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., p. 110. 'The Chontals covered Chontales, northward of Lake Nicaragua, and lying between the tribes already given, and those on the Caribbean Sea.' Stout's Nicaragua, p. 114. 'Bewohner der Gebirgsgegenden nordöstlich vom See von Nicaragua.' Froebel, Aus Amer., tom. i., p. 285. 'In Nicaragua die Chontales im Hochlande im N. des Managua-Sees.' Wappäus, Geog. u. Stat., p. 246. 'Deste lugar [Yztepeque] comiençan los Chontales.' Herrera, Hist. Gen., dec. iv., lib. viii., cap. x. 'The Chondals or Chontals, the third great division mentioned by Oviedo, occupied the wide, mountainous region, still bearing the name of Chontales, situated to the northward of Lake Nicaragua, and midway between the nations already named and the savage hordes bordering the Caribbean Sea.' Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 311. 'On the northern shores of the Lake of Nicaragua.' Ludewig's Ab. Lang., p. 48. 'The Lencas … under the various names of Chontals, and perhaps Xicaques and Payas, occupying what is now the Department of San Miguel in San Salvador, of Comayagua, Choluteca, Tegucigalpa, and parts of Olancho and Yoro in Honduras, including the islands of Roatan, Guanaja, and their dependencies.' Squier's Cent. Amer., p. 252.

The Pipiles 'n'y occupaient guère quelques cantons sur les côtes de l'océan Pacifique, dans la province d'Itzcuintlan et ne s'internaient que vers les frontières de l'état de San-Salvador, le long des rives du rio Paxa.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., p. 120. 'Welche den ganzen westlichen Theil des heutigen Staates von S. Salvador südlich vom Rio Lampa, das sogen. Reich Cozcotlan bewohnten.' Wappäus, Geog. u. Stat., pp. 322, 326. 'Are settled along the coasts of the Pacific, from the province of Escuintla to that of St. Salvador. … In a short time these Pipiles multiplied immensely, and spread over the provinces of Zonzonate, St. Salvador, and St. Miguel.' Juarros' Hist. Guat., pp. 202, 224. Among 'los Izalcos y costa de Guazacapan … San Salvador … Honduras … Nicaragua.' Palacio, in Pacheco, Col. Doc. Inéd., tom. vi., p. 7.

Nonohualcas. 'Á la falda de un alto volcan (San Vicente) están cuatro lugares de indios, que llaman los Nunualcos.' Id., p. 25.

Tlascaltecs. 'In mehreren Puncten San Salvadors, wie z. B. in Isalco, Mexicanos, Nahuisalco leben noch jetzt Indianer vom Stamme der Tlaskalteken.' Scherzer, Wanderungen, p. 456.

NATIONS OF NICARAGUA.

The Cholutecs 'occupied the districts north of the Nagrandans, extending along the Gulf of Fonseca into what is now Honduras territory.' Stout's Nicaragua, p. 114. 'The Cholutecans, speaking the Cholutecan dialect, situated to the northward of the Nagrandans, and extending along the Gulf of Fonseca, into what is now the territory of Honduras. A town and river in the territory here indicated, still bear the name of Choluteca, which however is a Mexican name.' Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 310. These Soconusco exiles settled 'dans les terres qui s'étendent au nord et à l'ouest du golfe de Conchagua, aux frontières de Honduras et de Nicaragua.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., p. 79. 'Beyond them (Nagrandans) on the gulf of Fonseca, a nation called the Cholutecans had their seats.' Froebel's Cent. Amer., p. 53.

Maribios, a tribe formerly inhabiting the mountain region about Leon. 'Ihre Wohnsitze bildeten die Provinz Maribichoa.' Froebel, Aus Amer., tom. i., p. 333.

'Ay en Nicaragua cinco leguajes … Coribici … Chorotega … Chondal … Orotiña … Mexicano.' Gomara, Hist. Ind., fol. 264. 'Hablauan en Nicaragua, cinco lenguas diferentes, Coribizi, que lo hablan mucho en Chuloteca … Los de Chontal, … la quarta es Orotina, Mexicana es la quinta.' Herrera, Hist. Gen., dec. iii., lib. iv., cap. vii. 'In Nicaragua there were fiue linages, and different languages: the Coribici, Ciocotoga, Ciondale, Oretigua, and the Mexican.' Purchas his Pilgrimes, vol. v., p. 887; Oviedo, Hist. Gen., tom. iv., p. 35; Buschmann, Ortsnamen, p. 132.

The Chorotegans 'occupied the entire country north of the Niquirans, extending along the Pacific Ocean, between it and Lake Managua, to the borders, and probably for a distance along the shores of the gulf of Fonseca. They also occupied the country south of the Niquirans, and around the gulf of Nicoya, then called Orotina.' Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 310. 'Welche die Gegenden zwischen der Südsee und dem Managua-See von der Fonseca-Bai südwärts bis zu den aztekisch sprechenden Indianern bewohnen und auch südlich von den Niquirians bis zur Bai von Nicoya sich ausbreiten.' Wappäus, Geog. u. Stat., p. 246. 'North of the Mexican inhabitants of Nicaragua (the Niquirans), between the Pacific Ocean, Lake Managua, and the Gulf of Fonseca.' Ludewig's Ab. Lang., p. 48. Before the conquest they occupied 'les régions aujourd'hui à peu près désertes qui s'étendent entre le territoire de Tehuantepec et celui de Soconusco, sur les bords de l'Océan Pacifique.' … To escape the Olmec tyranny they emigrated to 'golfe de Nicoya; de là, ils retournèrent ensuite, en passant les monts, jusqu'au lac de Nicaragua et se fixèrent sur ses bords.' Driven off by the Nahuas 'les uns, se dirigeant au nord-ouest, vont fonder Nagarando, au bord du lac de Managua, tandis que les autres contournaient les rivages du golfe de Nicoya, que l'on trouve encore aujourd'hui habités par leurs descendants.' Brasseur de Bourbourg, Popol Vuh, introd., pp. cc., ccii. 'Als die Spanier nach Nicaragua kamen, war diess Volk an der Küste verbreitet … wohnten längs der Küste des Austroloceans.' Hassel, Mex. Guat., pp. 397–8.

The Dirians 'occupied the territory lying between the upper extremity of Lake Nicaragua, the river Tipitapa, and the southern half of Lake Managua and the Pacific, whose principal towns were situated where now stand the cities of Granada, (then called Salteba,) Masaya, and Managua, and the villages of Tipitapa, Diriomo and Diriamba.' Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 310. 'Groupés dans les localités encore connues de Liria, de Diriomé, de Diriamba, de Monbacho et de Lenderi, sur les hauteurs qui forment la base du volcan de Mazaya.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., p. 111. 'Occupied Masaya, Managua, Tipitapa, Diriomo, and Diriamba.' Stout's Nicaragua, p. 114; Froebel, Aus Amer., tom. i., p. 287.

The Nagrandans. 'Entre les Dirias et la Choluteca était située la province des Mangnés ou Nagarandas (Torquemada dit que Nagarando est un mot de leur langue. Oviedo les appelle Nagrandas), dont les fertiles campagnes s'étendaient, au nord et à l'ouest du lac de Managua, jusqu'à la mer; on y admirait les cités florissantes de Chinandéga, de Chichigalpa, de Pozoltega, de Telica, de Subtiaba, de Nagarando, appelée aussi Xolotlan, de Matiares et une foule d'autres, réduites maintenant, pour la plupart, à de misérables bourgades.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., pp. 111–12. 'The Nagrandans occupied the plain of Leon between the northern extreme of Lake Managua and the Pacific.' Stout's Nicaragua, p. 114. 'An welche sich weiter nordwestwärts (the last mention was Dirians) die Bewohner der Gegend von Leon, welche Squier Nagrander nennt … anschlossen.' Froebel, Aus Amer., tom. i., p. 287. 'Chorotega tribe of the plains of Leon, Nicaragua.' Ludewig's Ab. Lang., p. 130; Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 310.

The Niquirans 'settled in the district of Nicaragua, between the Lake of Nicaragua and the Pacific Ocean.' Ludewig's Ab. Lang., p. 134. 'Au centre du pays, sur le lac Nicaragua, appelé Cocibolca par les indigènes, vivaient les Niquirans.' Holinski, La Californie, p. 290. Ometepec. 'This island was occupied by the Niquirans.' Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 313; Boyle's Ride, vol. i., p. 74.

The Orotiñans occupied 'the country around the Gulf of Nicoya, and to the southward of Lake Nicaragua.' Squier's Nicaragua, (Ed. 1856,) vol. ii., p. 310. 'Am Golfe von Orotina oder Nicoya. … Unter den geographischen Namen im Lande der Orotiner stösst man auf den Vulkan Orosi, im jetzigen Costa Rica, während einer der Vulkane in der Kette der Maribios, bei Leon, also im Lande der Nagrander, Orota heisst.' Froebel, Aus Amer., tom. i., p. 287. 'Les Orotinas, voisins du golfe de Nicoya, dont les villes principales étaient Nicoya, Orotina, Cantren et Choroté.' Brasseur de Bourbourg, Hist. Nat. Civ., tom. ii., pp. 110. 'Settled the country south of Lake Nicaragua around the Gulf of Nicoya.' Stout's Nicaragua, p. 114.

MOSQUITO NATIONS.

The Mosquitos, as a subdivision of this group, inhabit the whole of Honduras, the eastern portion of Nicaragua, and all that part of the coast on the Caribbean Sea known as the Mosquito Coast.

The Xicaques 'exist in the district lying between the Rio Ulua and Rio Tinto. … It seems probable that the Xicaques were once much more widely diffused, extending over the plains of Olancho, and into the Department of Nueva Segovia, in Nicaragua.' Squier's Cent. Amer., p. 244. 'Se rencontrent principalement dans le département de Yoro … (some) à l'embouchure de la rivière Choloma, et le reste est dispersé dans les montagnes à l'ouest de la plaine de Sula. Dans le département de Yoro, ils sont répandus dans le pays depuis la rivière Sulaco jusqu'à la baie de Honduras.' Id., in Nouvelles Annales des Voy., 1858, tom. clx., pp. 133–4. Yoro department; 'Welche am oberen Lauf der Flüsse und in dem Berg- und Hügellande zwischen der Küste und dem Thale von Olancho wohnen.' Wappäus, Geog. u. Stat., p. 317.

The Poyas. 'In the triangle between the Tinto, the sea, and the Rio Wanks, or Segovia.' Squier's Cent. Amer., p. 244. 'Inhabit the Poyer mountains, beyond the Embarcadero on the Polyer River.' Young's Narrative, p. 80. 'Den westlichen Theil des Distrikts Taguzgalpa, zwischen den Flüssen Aguan und Barbo.' Hassel, Mex. Guat., p. 389. 'Inhabit the heads of the Black and Patook rivers.' Bell, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xxxii., p. 258.

The Towkas, 'bewohnen die südlichen Gegenden des Distrikts (Taguzgalpa) und das Gebirge.' Hassel, Mex. Guat., pp. 390–1. 'Their principal residence is at the head of Patook River.' Young's Narrative, p. 87. 'They dwell along the Twaka river which is a branch of the Prinz Awala.' Bell, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xxxii., p. 258.

The 'Toonglas inhabit along the other branch of the same river.' Ib.

The Smoos 'inhabit the heads of all the rivers from Blewfields to Patook.' Id., p. 256.

The Cookras 'reside about one hundred and thirty miles from its mouth' (the Rio Escondido). Strangeways' Mosquito Shore, p. 30.

The Caribs 'now occupy the coast from the neighborhood of the port of Truxillo to Carataska Lagoon. … Their original seat was San Vincent, one of what are called the Leeward Islands, whence they were deported in a body, by the English, in 1798, and landed upon the then unoccupied island of Roatan, in the Bay of Honduras.' They afterwards removed to the main land 'in the vicinity of Truxillo, whence they have spread rapidly to the eastward. All along the coast, generally near the mouths of the various rivers with which it is fringed, they have their establishments or towns.' Bard's Waikna, p. 316. 'Now settled along the whole extent of coast from Cape Gracias à Dios to Belize.' Froebel's Cent. Amer., p. 185. 'Dwell on the sea coast, their first town, Cape Town, being a few miles to the westward of Black River.' Young's Narrative, pp. 71, 122, 134. In Roatan: 'Die Volksmenge besteht aus Caraiben und Sambos, deren etwa 4,000 auf der Insel seyn sollen.' Hassel, Mex. Guat., p. 386. 'Unter den Caraibendörfern sind zu nennen: Stanu Creek … unfern im S. von Belize und von da bis zur Südgrenze Settee, Lower Stanu Creek, Silver Creek, Seven Hills und Punta Gorda.' Wappäus, Geog. u. Stat., p. 300. See also: Sivers, Mittelamerika, pp. 154, 179; Morelet, Voyage, tom. ii., p. 289.

The Ramas extend from Greytown to Blewfields, a region 'uninhabited except by the scanty remnant of a tribe called Ramas.' 'Inhabit a small island at the southern extremity of Blewfields Lagoon; they are only a miserable remnant of a numerous tribe that formerly lived on the St. John's and other rivers in that neighbourhood. A great number of them still live at the head of the Rio Frio, which runs into the St. John's River at San Carlos Fort.' Bell, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xxxii., pp. 242, 259. 'Rama Cay, in Blewfiels Lagoon. This small island is the refuge of a feeble remnant of the once powerful Rama tribe.' Pim and Seemann's Dottings, p. 278.

The Mosquitos inhabit 'the whole coast from Pearl Key Lagoon to Black River, and along the banks of the Wawa and Wanx, or Wanks Rivers for a great distance inland.' Bell, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xxxii., p. 250. 'L'intérieur du pays est occupé par la nation sauvage et indomptable des Mosquitos-Sombos. Les côtes, surtout près le cap Gracias à Dios, sont habitées par une autre tribu d'Indiens que les navigateurs anglais ont appelés Mosquitos de la côte.' Malte-Brun, Précis de la Géog., tom. vi., p. 472. 'An dem Ende dieser Provinz (Honduras), nahe bey dem Cap, Gratias-a-Dios, findet man die berühmte Nation der Mosquiten.' Delaporte, Reisen, tom. x., p. 404. 'Nearly the whole coast of Honduras; and their most numerous tribe exists near the Cape Gracios á Dios.' Bonnycastle's Span. Amer., vol. i., p. 172. 'Ocupan el terreno de mas de sesenta leguas, que corren desde la jurisdiccion de Comaniagua, hasta la de Costa-Rica.' Revista Mex., tom. i., p. 404. 'Die Sambo, oder eigentlichen Mosquitoindianer welche den grössten Theil der Seeküste bis zum Black river hinauf und die an derselben gelegenen Savannen bewohnen.' Mosquitoland, Bericht, p. 19. 'Inhabiting on the Main, on the North side, near Cape Gratia Dios; between Cape Honduras and Nicaragua.' Dampier's Voyages, vol. i., p. 7. 'Inhabit a considerable space of country on the continent of America, nearly extending from Point Castile, or Cape Honduras, the southern point of the Bay of Truxillo, to the northern branch of the river Nicaragua, called usually St. Juan's; and comprehending within these limits nearly 100 leagues of land on the sea coast, from latitude 11 to 16 deg.' Henderson's Honduras, pp. 211–12. The Sambos 'inhabit the country from Sandy Bay to Potook.' Strangeways' Mosquito Shore, p. 330. 'The Sambos, or Mosquitians, inhabit the sea coast, and the savannas inland, as far west as Black River.' Young's Narrative, p. 71. 'The increase and expansion of the Caribs has already driven most of the Sambos, who were established to the northward and westward of Cape Gracias á Dios, into the territory of Nicaragua, southward of the Cape.' Squier's Honduras [Lond., 1870,] p. 169; Id., Cent. Amer., p. 228.

ISTHMIAN NATIONS.

The Isthmians, the last sub-division of this group, embrace the people of Costa Rica, together with the nations dwelling on the Isthmus of Panamá, or Darien, as far as the gulf of Urabá, and along the river Atrato to the mouth of the Napipi, thence up the last-named river to the Pacific Ocean. 'The Indian tribes within the territory of Costarrica, distinguished by the name of Parcialidades, are the Valientes, or most eastern people of the state; the Tiribees, who occupy the coast from Bocatoro to the Banana; the Talamancas and Blancos, who inhabit the interior, but frequent the coast between the Banana and Salt Creek; the Montaños and Cabecares, who are settled in the neighbourhood of the high lands bounding Veragua, and the Guatusos, inhabiting the mountains and forest between Esparsa and Bagases, and towards the north of these places.' Galindo, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. vi., p. 134. From Boca del Toro towards the west coast dwell the Viceitas, Blancos, Valientes, Guatusos, Tiribis, and Talamancas. Wagner and Scherzer, Costa Rica, p. 554. Blancos, Valientes, and Talamancas 'entlang der Ostküste zwischen dem Rio Zent und Boca del Toro, im Staate Costa Rica.' Id., p. 573.

The Guatusos 'vom Nicaragua-See an den Rio Frio aufwärts und zwischen diesem und dem San Carlos bis zum Hochlande.' Wappäus, Geog. u. Stat., p. 357. 'Inhabit a territory lying between the Merivales mountains on the west, the lake of Nicaragua and the San Juan river on the north, the Atlantic shore on the east, and the table land of San José upon the south.' … The Rio Frio 'head-waters are the favorite haunt or habitation of the Guatusos … occupy the north-east corner of Costa Rica.' Boyle's Ride, vol. i., pref., pp. xii., xix., p. 298. They inhabit 'the basin of the Rio Frio.' Squier's Cent. Amer., p. 405; Id., in Nouvelles Annales des Voy., 1856, tom. cli., p. 5; Id., in Hist. Mag., vol. iv., p. 65; Vigne's Travels, vol. i., p. 77.

The Guetares 'viven ençima de las sierras del puerto de la Herradora é se extienden por la costa deste golpho al Poniente de la banda del Norte hasta el confin de los Chorotegas.' Oviedo, Hist. Gen., tom. iii., p. 108.

The Blancos 'welche ungefähr 5 Tagereisen südöstlich von Angostura in den Bergen hausen.' Wagner and Scherzer, Costa Rica, pp. 556, 554.

The Valientes and Ramas, 'zwischen dem Punta Gorda und der Lagune von Chiriqui.' Mosquitoland, Bericht, p. 9.

Inhabiting the Isthmus were numerous tribes speaking different languages, mentioned by early writers only by the name of the chief, which was usually identical with that of both town and province. In the province of Panamá there were 'quatro señores de lenguas diferentes. … De alli se baxaua a la prouincia de Natá … treynta leguas de Panamá … otro llamado Escoria, ocho leguas de Natá. … Ocho leguas mas adelante, la buelta de Panamá, auia otro Cazique dicho Chirú, de lengua diferente: y otras siete leguas mas adelante, házia Panamá, estaua el de Chamé, que era el remate de la lengua de Coyba: y la prouincia de Paris se hallaua doze leguas de Natá, Les hueste.' Herrera, Hist. Gen., dec. ii., lib. iii., cap. vi. Westward from the gulf of Urabá 'hay una provincia que se dice Careta … yendo mas la costa abajo, fasta cuarenta leguas desta villa, entrando la tierra adentro fasta doce leguas, está un cacique que se dice Comogre y otro que se dice Poborosa.' Balboa, in Navarrete, Col. de Viages, tom. iii., p. 366. 'En la primera provincia de los darieles hay las poblaciones siguientes: Seraque, Surugunti, Queno, Moreri, Agrazenuqua, Occabayanti y Uraba.' Hervás, Catálogo, tom. i., p. 280. 'Treinta y tantas leguas del Darien habia una provincia que se decia Careta, y otra cinco leguas de ella que se dice Acla. … La primera provincia desde Acla hácia el ueste es Comogre. … En esta tierra está una provincia que se llama Peruqueta, de una mar á otra, y la isla de las Perlas, y golfo de S. Miguel, y otra provincia, que llamamos las Behetrías por no haber en ella ningun señor, se llama Cueva: es toda una gente y de una lengua. … Desde esta provincia da Peruqueta hasta Adechame que son cerca de 40 leguas todavía al ueste, se llama la provincia de Coiba, y la lengua es la de Cueva … desde Burica hasta esta provincia, que se dice Tobreytrota, casi que cada señor es diferente de lengua uno de otro. … Desde aquí tornando á bajar cerca de la mar, venimos á la provincia de Nata … está 30 leguas de Panamá … tenia por contrario á un señor que se decia Escoria, que tenia sus poblaciones en un rio grande ocho leguas de Meta. … Esta es lengua por sí. Y ocho leguas de allí hácia Panamá está otro señor que se dice Chiru, lengua diferente. Siete leguas de Chiru, hácia Panamá, está la provincia de Chame: es el remate de la lengua de Coiba … Chiman … dos leguas de Comogre … desde esto Chiman … la provincia de Pocorosa, y de allí dos leguas la vuelta del ueste … la de Paruraca, donde comienza la de Coiba, y de allí la misma via cuatro leguas … la de Tubanamá, y de allí á ocho leguas todo á esta via … la de Chepo, y seis leguas de allí … la de Chepobar, y dos leguas delante … la de Pacora, y cuatro de allí … la de Panamá, y de allí otras cuatro … la de Periquete, y otras cuatro adelante … la de Tabore, y otras cuatro adelante … la de Chame, que es remate de la lengua y provincia de Coiba … de Chame á la provincia del Chiru hay ocho leguas … y este Chiru es otra lengua por sí.' Andagoya, in Navarrete, Col. de Viages, tom. iii., pp. 397–8, 407–8, 410.

The Guaimies. 'En la provincia de Veraguas, situada á 9 grados de latitud boreal, está la nacion de los Guaimies ó Huamies.' Hervás, Catálogo, tom. i., pp. 280–1. 'Los quales indios, segun decian, no eran naturales de aquella comarca: ántes era en antigua patria la tierra que está junto al rio grande de Darien.' Cieza de Leon, in Id., p. 281.

'The Indians who at present inhabit the Isthmus are scattered over Bocas del Toro, the northern portions of Veraguas, the north-eastern shores of Panamá, and almost the whole of Darien, and consist principally of four tribes, the Savanerics, the San Blas Indians, the Bayanos, and the Cholos. Each tribe speaks a different language.' Seemann's Voy. Herald, vol. i., p. 317. 'Les Goajiros, les Motilones, les Guainetas et les Cocinas, dans les provinces de Rio-Hacha, de Upar et de Santa-Marta; et les Dariens, les Cunas et les Chocoes, sur les rives et les affluents de l'Atrato et les côtes du Darien.' Roquette, in Nouvelles Annales des Voy., 1855, tom. cxlvii., pp. 24–5.

'The Savanerics occupy the northern portion of Veraguas.' Ib.

The Dorachos occupied western Veragua. Id., p. 312.

The Manzanillo, or San Blas Indians, 'inhabit the north-eastern portion of the province of Panama.' Id., p. 320. 'The chief settlement is about San Blas, the rest of the coast being dotted over with small villages.' Gisborne's Darien, p. 156. 'Their principal settlements are on the upper branches of the Chepo, Chiman, and Congo, on the Tuquesa, Ucurganti, Jubuganti, and Chueti, branches of the Chuquanaqua, and on the Pucro and Paya.' Cullen's Darien, p. 69. 'The whole of the Isthmus of Darien, except a small portion of the valley of the Tuyra, comprising the towns of Chipogana, Pinogana, Yavisa, and Santa Maria, and a few scattering inhabitants on the Bayamo near its mouth, is uninhabited except by the San Blas or Darien Indians. … They inhabit the whole Atlantic coast from San Blas to the Tarena, mouth of the Atrato, and in the interior from the Sucubti to the upper parts of the Bayamo.' Selfridge's Darien Surveys, p. 10.

The Mandingos 'occupy the coast as far as the Bay of Caledonia.' Puydt, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xxxviii., p. 92; Reichardt, Cent. Amer., p. 161; Ludewig's Ab. Lang., p. 61.

The Bayanos, 'about the River Chepo.' Id., p. 18; Seemann's Voy. Herald, vol. i., p. 321.

The Cholos, 'extending from the Gulf of San Miguel to the bay of Choco, and thence with a few interruptions to the northern parts of the Republic of Ecuador.' Seemann's Voy. Herald, vol. i., p. 321. 'Inhabiting part of the Isthmus of Darien, east of the river Chuquanaqua, which is watered by the river Paya and its branches in and about lat. 8° 15´ N., and long. 77° 20´ W.' Latham, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xx., p. 189.

'The Cunas have established themselves on the shores of the Gulf of Urabá, near the outlets of the Atrato.' Puydt, in Lond. Geog. Soc., Jour., vol. xxxviii., p. 92.

The Cunacunas, 'on the south-easterly side of the Isthmus.' Ludewig's Ab. Lang., p. 59. 'The remnants of the Chucunaquese who in 1861 dwelt on the banks of the river which bears their name … have gone up towards the north.' Ib.

The Chocos, 'on the Leon and the different tributaries of the Atrato.' Michler's Darien, p. 26.

The Caimanes, 'between Punta Arenas and Turbo.' Ib.

The Urabás, 'en las selvas y bosques de la Provincia de Urabá.' Alcedo, Dicc., tom. v., p. 258.

The Idibas 'del Reyno de Tierra-Firme y Gobierno de Panamá, son confinantes con los Chocoes y los Tatabes.' Id., tom. ii., p. 413.

The Payas 'on the river of that name.' Selfridge's Darien Surveys, p. 86.

END OF THE FIRST VOLUME.

The Native Races (Complete 5 Part Edition)

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