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PRIVILÈGES ACCORDÉS PAR LES ROIS.

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L’impulsion que les papes donnèrent aux développements des Quinze-Vingts dans l’ordre religieux, les Rois de France la leur imprimèrent dans l’ordre civil.

L’établissement charitable érigé aux portes du Louvre par le souverain qui laissa la mémoire la plus justement vénérée fut toujours l’objet de la sollicitude royale. Cette bienveillance se manifesta tout d’abord par des donations. Nous avons déjà mentionné la rente de 30 l. p. sur le Châtelet destinée par saint Louis à la nourriture des aveugles; ce don fut complété par Philippe le Long, qui ajouta 20 l. p. de rente pour les aliments et 60 l. pour les vêtements des frères et des sœurs. D’après une ordonnance du roi Jean (1531), les fournées de pain n’ayant pas le poids, saisies par les prud’hommes chez les boulangers de Paris, devaient être données par moitié à l’Hôtel-Dieu et par moitié aux Quinze-Vingts. Le Dauphin Charles, pendant sa régence, leur remit la propriété de la maison confisquée sur Étienne Marcel, rue de la Vieille-Draperie, et en 1549, le Roi enjoignit au Receveur du Parlement de délivrer chaque année à l’hôpital le produit de quatre amendes de 60 l. p. chacune.

Quelque temps après, en remplacement de ce revenu, Charles IX attribua aux Quinze-Vingts 300 l. de rente à prendre sur la moitié du produit des compositions de finances, naturalisations, aubaines, etc., dont l’autre moitié était réservée à l’hôpital de la Trinité. En 1527, ils avaient reçu de la Chambre des comptes l’autorisation de prendre au grenier à sel de Paris 4 minots de sel en payant seulement le droit marchand. Ce privilège fut étendu par Louis XIV à 30 minots de sel (à 7 l. le minot).

Le même roi leur accorda 36 lignes d’eau provenant de la fontaine de Rungis; pour éviter toute dépense aux aveugles, l’eau devait être prise au tuyau «qui va aux Tuileries par la rue Saint-Honoré, en venant du réservoir de la Croix du Tiroir,» et on la leur jaugeait même en cas de disette.

A côté de ces donations qui offrent un caractère de perpétuité, se placent un grand nombre d’aumônes attribuées par les rois à la Congrégation, soit au moment de leur mort, soit dans les grandes distributions faites à tous les pauvres de Paris.

Les tablettes de cire de Pierre de Condé mentionnent par exemple 24 l. p. «aumônées» aux aveugles en 1284; Philippe le Hardi, dans son testament, leur assigne 50 l. t.; les statuts de Michel de Brache nous apprennent que Jean II leur donna de fortes sommes en florins. Il est impossible de donner une liste complète de ces libéralités, qui, la plupart du temps, n’ont pas dû laisser de traces; elles se traduisaient quelquefois par des dons en nature, ainsi que l’indique cet article de compte qui porte en entrée «une aulne de toile de lin donnée par le Roi à la cène.»

La famille royale ne se montra pas moins bien disposée que son chef envers les Quinze-Vingts. Alphonse de Poitiers, en 1267, les fait figurer sur son rôle d’aumônes pour 60 s. p.; en 1340, la reine Jeanne fonde un service annuel dans leur chapelle, moyennant une rente de 20 l. 3 s. 9 d. t., et leur fait présent, en 1344, de 100 l. t.

Le testament de Blanche de Navarre attribue aux aveugles un legs de 30 francs (1396).

En 1422, ils reçoivent d’Isabeau de Bavière un ornement d’église en drap azuré, et la même reine leur laisse 5 francs par son testament.

Des amortissements successifs vinrent confirmer toutes les donations assignées aux aveugles sur le domaine royal; nous nous en occuperons plus loin.

C’est surtout par les exemptions d’impôts que les Quinze-Vingts ressentirent les effets de la faveur royale. Jean II, en 1361, les dispensa des tailles et contributions, à l’exception des droits sur les marchandises et des subsides pour le rachat du Roi. Ce privilège fut respecté par les différents souverains. Ainsi, en 1554, Henri II déclare que l’hôpital ne doit pas être soumis à la taxe levée au sujet des fortifications, et, en 1713, le Conseil d’État le dispense de la retenue du dixième pour les rentes qui lui appartiennent. Un certain nombre de frères ayant établi dans le pourpris des tavernes où ils vendaient aux autres du vin et des denrées, le fermier des criages et célerages de la ville de Paris leur intenta un procès en 1393; bien qu’il eût renoncé à sa poursuite, les Quinze-Vingts voulurent prévenir le retour de pareilles difficultés et adressèrent une requête au Roi pour obtenir d’être affranchis du droit de vente à l’égard des personnes habitant l’hôpital.

Charles VI leur accorda cette faveur, «pouveu toutesvoies que eulz, ne aucun d’eulx, ne feront aucun fait de marchandises, sinon du dit vin et autres choses nécessaires regardans seulement la vie et sustentacion.»

Charles VII, François Ier, Henri II, etc., renouvelèrent ces «beaux privilèges,» mais, en 1621, la Cour des aides exigea que les Quinze-Vingts fussent soumis à la visite des clercs et commissaires de la ferme des Aides, une fois par mois. Au XVIIIe siècle, la population de l’hôpital s’étant accrue d’une foule d’étrangers, l’affranchissement des droits du vin fut supprimé et remplacé par une rente annuelle de 1,500 l.. Mais, à cette époque, les Quinze-Vingts avaient su donner aux privilèges royaux une extension qu’ils ne comportaient pas primitivement; ils avaient profité de cette longue possession de franchises pour faire de leur enclos un lieu privilégié, à l’égal de celui du Temple. Leur marche dans cette voie fut d’abord timide. Au milieu du XVIIe siècle, on constate déjà chez eux la présence de certains artisans, mais les aveugles semblent préoccupés par la crainte de manquer de logement, s’ils multiplient les locations à des étrangers. Cette crainte n’eut plus sa raison d’être quand ils eurent remplacé par des maisons neuves, contenant de nombreuses chambres et boutiques, l’espace vide qui formait l’angle de la rue Saint-Honoré et de la rue Saint-Nicaise. Les marchands arrivent alors en grand nombre pour profiter des privilèges de l’enclos. C’est alors aussi que les réclamations des maîtrises de Paris commencent à s’élever. Ainsi, en 1690, les maîtres maréchaux se plaignent de ce qu’un frère voyant, serrurier, a établi une forge; le chapitre cède, tout en protestant qu’il ne veut pas «donner la moindre atteinte aux privillèges de cette maison.»

Encouragés par cet exemple, les maîtres serruriers attaquent ce frère et un autre du même métier, mais la contestation portée devant le Châtelet est décidée en faveur des aveugles, à condition cependant que ces ouvriers ne travaillent que pour les besoins de l’hôpital. En 1698, les jurés de la communauté des perruquiers ayant voulu pénétrer chez ceux qui habitaient aux Quinze-Vingts, le Maître leur refusa l’entrée de l’enclos. La police s’en émut et, sur une lettre de d’Argenson, le chapitre dut prescrire l’expulsion des perruquiers et autres artisans, «son intention n’estant point de desvier la justice, ny d’auctoriser les dits perucquiers et autres ouvriers estrangers qui peuvent estre dans le dit enclos, n’ayant autre veüe que de conserver les frères et sœurs dans les anciens privilèges.» Le chapitre avait agi prudemment en ne résistant pas ouvertement à d’Argenson, car celui-ci cherchait à cette époque à faire supprimer les franchises des Quinze-Vingts. Mais cette soumission n’était qu’apparente, et les expulsés rentrèrent peu à peu. En 1715, nouvelle contestation: les jurés apothicaires s’introduisirent dans l’hôtel et brisèrent les flacons d’un marchand de cette profession dont les drogues leur paraissaient suspectes. Le Maître fit dresser procès-verbal de cette violation des immunités des Quinze-Vingts, mais les apothicaires prétendirent qu’ils avaient droit de visite même dans les enclos privilégiés.

L’installation de la Cour à Paris augmenta considérablement le nombre des «externes,» qui s’établissaient dans l’hôpital, et consolida les prétentions de celui-ci; en 1720, ce n’est qu’en reconnaissant expressément les droits des frères et sœurs que les syndics de la communauté des cordonniers se plaignirent au chapitre de l’accueil qu’il donnait aux étrangers; la compagnie, ayant égard à cette modération, leur promit de dresser une liste des ouvriers cordonniers qui lui étaient nécessaires et de renvoyer les autres.

C’est sans doute par mesure de prudence qu’il était interdit aux marchands logés dans l’enclos de placer des enseignes; en 1715, tout ce qu’on tolérait sous ce rapport était une planche d’un demi-pied carré indiquant le nom et la profession; en 1723, une ordonnance du Chapitre statue que «tous ceux et celles qui ont des enseignes et tableaux, qui font connoistre leur commerce en l’enclos du dit hospital, seront tenus de les oster.»

Vers le milieu du XVIIIe siècle, les franchises de l’enclos paraissent définitivement établies, et, les jurés perruquiers les ayant violées en 1748, les Quinze-Vingts prirent hardiment fait et cause pour leurs locataires.

Le grand nombre des commerçants qui remplissaient les maisons de l’Hôtel fut une des causes de la reconstruction entreprise en 1748 sur le plan que nous décrirons plus loin. Au moment de cette reconstruction, un registre de locations permet de constater la présence de 201 ouvriers ou marchands dans l’enclos des Quinze-Vingts. Parmi les métiers qui s’y rencontraient, ceux qui se rapportent à la coiffure figuraient pour une proportion considérable: on ne comptait pas moins de 54 perruquiers et 23 marchands de cheveux, auxquels il faut joindre 2 parfumeurs et une ouvrière en perruques; venaient ensuite 27 tailleurs, 19 cordonniers, 12 horlogers, et un certain nombre de commerçants appartenant à différentes spécialités moins richement représentées.

Cette prédominance des industries qui ont l’habillement et la toilette pour objet s’explique évidemment par le voisinage des grands seigneurs qui peuplaient ce quartier; il en fut de même après la construction des bâtiments neufs, et l’abbé Georgel dit qu’il «s’y faisoit un commerce d’étoffes de soie et de toiles indiennes aussi actif que florissant.»

La suppression des corporations inspira aux Quinze-Vingts une réclamation assez curieuse; ils se plaignirent de l’édit de 1776, parce que, la liberté existant partout, les artisans ne viendraient plus la chercher dans leur enceinte, et le prix des loyers en subirait une baisse sensible.

La maison des Quinze-Vingts était située dans la censive de l’évêque de Paris; c’était donc au For-l’Evêque qu’ils devaient régulièrement porter leurs contestations. Cependant, comme leurs possessions étaient disséminées dans toute la ville, les actions immobilières, sources de la plupart des procès, les mirent de tout temps en rapport avec les différentes juridictions qui s’enchevêtraient sur le territoire de Paris, et en particulier avec le Châtelet.

Le cartulaire contient trois sentences rendues au civil par ce tribunal au commencement du XIVe siècle.

L’une d’elles, de 1318, montre bien l’usage de ces contremans, qui permettaient au défendeur de multiplier presque indéfiniment les défauts avant d’en voir adjuger le profit au demandeur.

Jean II, en exemptant les aveugles de tailles et contributions, les remit à la garde du Prévôt; ils furent ainsi soustraits aux autres juridictions et, en 1388, ils purent déclarer à l’évêque qu’ils ne lui étaient plus soumis, mais bien au Prévôt commis à leur garde. En 1394, suivant leur dire, le souvenir de l’ancien état de choses était effacé ; de mémoire d’homme, ils jouissaient paisiblement du privilège de ne pouvoir être cités que devant le Châtelet, et les réserves relatives à la juridiction, qui terminent les amortissements délivrés par l’évêque de Paris, doivent être considérées, depuis 1361, comme purement de style. Les Rois, jusqu’en 1519, renouvelèrent ces lettres de «Garde-gardienne,» mais, vers cette époque, on voit les Quinze-Vingts préférer la juridiction du Parlement à celle du Châtelet; en 1538, ils attaquent le Prévôt, qui voulait connaître des méfaits commis par un frère, et déclarent n’être justiciables que du Parlement et du Grand Aumônier Ces prétentions furent confirmées par un édit de 1546.

Les papes avaient recommandé aux évêques de favoriser les quêtes de l’hôpital; de leur côté, les rois voulurent faciliter aux quêteurs le libre parcours dans le royaume. Louis XI ordonna à tous ses officiers de les accueillir avec bienveillance et de protéger leur circulation. Charles VIII, Louis XII et François Ier, chacun à deux reprises, Henri II, François II, etc., confirmèrent ces dispositions, et Henri II les défendit contre les religieux de la Madeleine de Rouen, qui voulaient les troubler dans leurs quêtes.

Nous avons déjà vu que la Cour suprême du royaume décida toujours en leur faveur dans les démêlés que l’exercice des quêtes leur attira avec les évêques. Elle leur reconnut sur ce point les mêmes privilèges qu’à l’hôpital le plus important de Paris, l’Hôtel-Dieu. Ces deux établissements hospitaliers sont placés sur le même rang dans les arrêts du Parlement, de même qu’ils étaient fréquemment associés dans les donations dues à la charité individuelle; on peut juger par là de la considération et de la popularité qu’avait acquises la congrégation des aveugles.

Tant de privilèges étaient bien dus à un établissement qui avait un véritable caractère royal, et à qui sa fondation par saint Louis, sa subordination à l’aumônier du Roi et à un maître nommé par le Roi méritaient le nom de domus regia.

Pour consacrer ce caractère par un signe visible, Philippe IV, en 1312, accorda aux Quinze-Vingts le privilège de porter une fleur de lis sur leur vêtement de dessus, à la hauteur de la poitrine. Il voulait ainsi les distinguer, nous l’avons dit, d’une autre congrégation d’aveugles fondée par une autre personne que saint Louis. Il faut certainement voir dans cette autre congrégation les Six-Vingts de Chartres, que René Barbou venait en effet de créer, une vingtaine d’années auparavant, et qui n’avaient rien tant à cœur que de se faire passer, dans leurs quêtes, pour membres des Quinze-Vingts, afin de bénéficier de la renommée attachée à ces derniers.

Les efforts qu’ils firent pour éluder les prescriptions de Philippe le Bel et usurper l’insigne des Quinze-Vingts ne permettent aucun doute sur ce point.

Ils réussirent à obtenir du Roi la permission de porter une fleur de lis, surmontée d’un petit croissant pour la distinguer de celle des aveugles de Paris. Mais ceux-ci les attaquèrent, prétendant que la fleur de lis était exclusivement réservée à la congrégation instituée par saint Louis.

En 1350, Jean II, désireux de supprimer «les brigues et les discordes entre les pauvres de Dieu,» détermina minutieusement la forme de la fleur de lis que chaque hôpital avait droit de posséder.

D’après cette décision, les Quinze-Vingts conservaient leur fleur de lis pleine, couleur de safran, et la portaient cousue sur la poitrine, au-dessus de la boîte qu’ils suspendaient à leur cou pour les quêtes.

Les aveugles de Chartres, au contraire, devaient porter la leur plus bas que la boîte et ajouter à cet insigne de couleur jaune un petit croissant blanc, de la largeur d’un doigt, qui recouvrait la partie inférieure de la fleur, tout en laissant passer en dessous l’extrémité de la branche du milieu. Ils ne pouvaient plus envoyer à Paris que quatre quêteurs avec un serviteur.

Mais les Chartrains étaient décidément peu délicats, car, cinquante ans plus tard, les Quinze-Vingts leur réclament des dommages-intérêts, parce «qu’ils portent de présent la dicte fleur de liz si apparent et le dict cressent et petite lune si petiz que à paine peut-on discerner et connoistre qu’ilz aient aucune différance du signe des ditz exposantz.» Devant ces plaintes, l’aumônier du Roi condamna les Six-Vingts de Chartres à payer 8 l. t. aux aveugles de Paris et, pour tarir à jamais cette source de discorde, fit faire deux étalons indiquant les seuls modèles d’insignes tolérés pour Chartres. Ces fleurs de lis nous ont été conservées; l’une se compose de deux feuilles de métal unies et très minces; l’autre, plus élégante, offre un certain relief et de petites moulures, mais toutes deux répondent exactement aux prescriptions du roi Jean. En enlevant par la pensée le petit croissant d’étain qui les recouvre, on obtient la fleur de lis de laiton que portaient nos Quinze-Vingts. Elles ont été reproduites dans les Établissements généraux de bienfaisance.

On voit par ces débats quelle importance la congrégation attachait à cet insigne; aussi le répandait-elle à profusion sur tous les objets qui lui appartenaient. Au XVIe siècle, les reliures des missels, les ornements d’église, tels que parements d’autel, chapes, chasubles, etc., en sont ornés; la fleur de lis brille sur les cierges de la Chandeleur, sur les bâtons des bannières, et les armes peintes du Roi sont placées sur les affiches qui annoncent les pardons. On pourra enfin se demander où la fleur de lis ne figurait pas quand on saura que les sacs de farine de l’Hôtel en portaient une avec cette inscription: «Les XVxx».

Pour payer les bienfaits royaux, les aveugles recoururent à la prière, cette monnaie du pauvre. Chaque jour, dès que la clochette annonçait l’heure du lever, ils devaient, d’après les statuts de Michel de Brache, dire cinq fois la «Patenostre» et l’ «Ave Maria» pour le Roi, la Reine et leur ligne et lignage, et pour le bien et honneur du royaume.

A ces prières individuelles s’ajoutaient des offices solennels célébrés dans l’église en présence de toute la communauté, des saluts4, des messes, des processions, où l’on demandait à Dieu de protéger le Roi, de donner la paix à la France. Quand un membre de la famille royale était malade, les Quinze-Vingts ne manquaient pas de s’associer aux processions faites pour obtenir le rétablissement de sa santé.

A la mort du souverain, les aveugles faisaient dire un service; une messe solennelle, par exemple, est chantée peu après le décès de Louis XII, et, après celui de la reine Anne, on célèbre de même un obit où l’église est tendue aux armes de Bretagne.

C’est ainsi que la mémoire des rois était honorée dans cette église où ils avaient quelquefois prié pendant leur vie. Il est probable en effet que plusieurs d’entre eux suivirent l’exemple de saint Louis et, profitant de la proximité de ce sanctuaire, vinrent, certains jours, assister aux offices de l’hôpital.

Au XVIe siècle, quand le Roi visitait ses aveugles, on donnait aux abords mêmes de la maison un air de fête, suivant l’article un peu réaliste de ce compte, qui relate la somme consacrée à l’enlèvement des boues «pour la venue du Roi.»

Les Quinze-Vingts (XIIIe-XVIIIe siècle)

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