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Ander

Notre partenaire est magnifique. Ses cheveux blonds retombent tels une cascade soyeuse de soleil doré sur le bras de Nial. Elle est mince et musclée, sa peau claire resplendit à côté du vêtement noir de Nial, telle une lune parfaite dans un ciel obscur. Ses lèvres s’abandonnent sous le baiser passionné de Nial, j’ai une énorme érection. On dirait une flamme blanche entre ses bras, sa poitrine est couverte par un petit soutien-gorge rose que je rêve d’arracher. Elle a mis ses mains autour de son cou, en plein sur sa peau de cyborg, elle serre le poing de désir, le son agréable du plaisir féminin emplit la pièce.

J’ai une érection du feu de dieu alors que mon regard parcourt ses jambes longues et fuselées jusqu’à son vagin. Je sens son excitation, sa douceur m’appelle tel le chant des sirènes. Je n’ai aucune raison d’y résister.

Il est l’heure pour moi de goûter sa chatte, d’enfoncer profondément ma langue à l’intérieur, mais je sais que si j’agis trop vite, la magie de ce moment sera perdue. Pour le moment, elle fait preuve de tendresse et accepte les baisers et les caresses de Nial. Je vais exploser si je ne la touche pas mais je ne veux pas l’effrayer. Ma taille et mon apparence sont déjà assez inhabituelles, sans parler de mes besoins sexuels impérieux qui me poussent à être trop rapide ou trop vigoureux.

Je suis un homme patient. Je peux traquer ma proie pendant plusieurs jours sans manger ni dormir. Je peux bien attendre quelques minutes de plus pour goûter cette femme magnifique qui sera la mienne pour toujours. Ma partenaire.

Elle chevauche les cuisses de Nial, telle une offrande votive, si douce et tendre. Elle n’est pas petite comme la partenaire du Commandant Deston, c’est un réel soulagement. Elle est assez grande pour qu’on la prenne à deux, elle est assez grande pour moi.

Je me suis porté volontaire par deux fois en tant que second partenaire mais les autres guerriers on craint qu’avec ma stature et mes cicatrices, leurs nouvelles partenaires me rejettent au premier coup d’œil.

Me retrouver agenouillé devant ma partenaire est un rêve, c’est trop beau pour être vrai. Elle a voulu de lui avec sa peau de cyborg, elle l’a embrassé avec passion, j’ose espérer qu’elle voudra de moi.

Tout comme moi, Nial est en piteux état, il est défiguré par sa peau argentée et son œil de cyborg et pourtant, elle l’accepte, elle le laisse la toucher. Elle éprouve du désir pour un guerrier arborant des cicatrices de guerre.

Ce n’est pas un rêve, elle est faite de chair et de sang. Je sens l’odeur de miel de son sexe, la douceur de sa peau, j’ai envie d’enfouir ma langue dans sa chaleur moite, la faire hurler de plaisir. Si j’arrive à lui procurer du plaisir avant qu’elle ne voie mon visage, elle passera peut-être outre mes blessures et ne sera pas horrifiée par mon aspect. J’ai bien fait d’utiliser la cabine de nettoyage à bord du vaisseau des cyborgs avant d’envoyer leur vaisseau percuter l’étoile de la Terre. J’ai promis à ma partenaire que j’aurais la tête de ses ennemis, mais je remercie mon instinct de me présenter à elle sans trop de sang sur les mains.

Elle est trop belle est trop précieuse pour être touchée par tant de violence.

J’observe Nial parcourir son corps avec plaisir, ses mains effleurent ses seins, sa taille, ses hanches. Ses mains parcourent ses cuisses, repoussent la couverture de plus en plus bas. Je remarque une longue cicatrice sur sa cuisse, je me demande comment elle se l’est faite, mais l’idée me sort de l’esprit lorsque Nial touche doucement le petit morceau de tissu rose qui recouvre son sexe. Il s’y attarde, il appuie contre le tissu, il frotte son clitoris, s’enfonce dans sa chatte autant que le tissu le lui permet, il branle son clito.

Elle gémit contre sa bouche, ses hanches se pressent plus fermement contre lui sous la caresse, elle plaque ses lèvres contre les siennes, elle explore sa bouche.

Il lui appartient.

Le désir et l’envie me submergent alors que mon membre atteint des proportions douloureuses. J’ai envie de sentir sa langue dans ma bouche. J’ai envie qu’elle gémisse, se tortille et hurle de plaisir. J’ai envie qu’elle sache que c’est moi qui la touche. Que c’est moi qui goûte sa chatte. Je veux qu’elle se consume de désir.

Sa réaction aux caresses de Nial est le signal que nous attendions. Il arrache le petit bout de tissu et elle pousse un cri, sous le choc, la bouche emportée par le baiser de Nial.

Nial prend son visage entre ses mains, il l’empêche de regarder son corps, de me voir, afin que nous soyons prêts. Ils se défient du regard tandis que Nial lui chuchote sa demande. Je regarde ses seins roses se soulever au rythme de sa respiration, ses tétons dressés pointent à travers le tissu fin. « Laisse-nous te toucher. »

Mon regard descend et je tombe sur sa chatte trempée, rose et bien en vue, à quelques centimètres de ma bouche avide. Je prie pour qu’elle dise oui. J’ai trop hâte de la goûter, de sucer son clito, de la doigter et la branler avec ma langue. La faire jouir sur moi.

« Nial ? Je ne peux pas. » Elle lèche ses lèvres gonflées. « Ce n’est pas bien. Je … Je ne vous connais pas et… et je… » Elle ferme brièvement les yeux. « C’est … c’est trop. »

Ses paroles me font l’effet d’un coup de poignard mais Nial ne bronche pas.

« Chhut. Il en sera toujours ainsi entre nous. Tu n’as pas à redouter le pouvoir du lien entre un guerrier et son épouse. Ne redoute pas le plaisir que nous allons t’apporter. Laisse-toi aller, Jessica, tu es en sécurité avec moi. Je te promets d’être là. Ander également. N’aie pas peur de t’en remettre à nous. Laisse-toi aller et laisse-nous te donner du plaisir. Laisse-nous te toucher. » Il l’embrasse doucement sur la bouche, avec une tendresse que je n’ai pas, je suis reconnaissant au royaume des Dieux d’accorder deux hommes à nos femmes pour les protéger et leur procurer du plaisir. J’ai envie de la baiser comme un fou. Je pourrais tuer pour elle. Je ne suis pas Nial. Je ne peux pas être tendre et doux. Si je la touche, je vais la dévorer toute crue. J’ai besoin de la posséder, de la conquérir, de gagner son plaisir.

Elle doit me supplier.

La main de Nial glisse sur son cou, ses seins, descend plus bas. La respiration de Jessica se fait haletante tandis que sa main descend vers son bas-ventre. Il s’arrête à quelques centimètres de son sexe, ils se dévisagent. Il l’excite du regard.

« Dis oui, Jessica. » Il l’embrasse une fois. Deux fois. « Laisse-toi aller, dis oui. »

Elle plante ses doigts dans les épaules de Nial, en signe envie ou d’acceptation, je ne sais pas. Elle est aux prises avec elle-même, pas avec Nial, la décision lui appartient. « Oui. »

Il la récompense en glissant sa main entre ses cuisses ouvertes, il introduit deux doigts profondément en elle tout en l’embrassant à loisir.

Elle s’agite sous sa main, son gémissement est une douce musique à mes oreilles, il retire ses doigts, imprégnés de ses fluides. Il écarte sa main de son corps, me laissant libre accès.

Lentement, avec un profond respect, je touche notre partenaire pour la première fois, mes doigts remplacent ceux de Nial. Son vagin se contracte sur mes doigts, son utérus chaud m’accueille chaleureusement.

Je la baise doucement, mes doigts font un mouvement de va et vient et glissent aisément pour lui procurer du plaisir, mais pas d’orgasme. Je veux qu’elle devienne folle en sentant ma langue sur son clitoris. Je veux qu’elle me supplie de la lécher.

Je l’excite doucement, j’explore son clitoris à l’aide du pouce tout en la doigtant, mais je ne m’appesantis pas suffisamment à son goût. Elle pousse un gémissement en guise de protestation, elle ondule des hanches, ouvre la bouche, engloutit la langue de Nial qui ne lui laisse pas le temps de réfléchir, elle ne peut que ressentir. Il maintient sa tête immobile, sa main est profondément enfouie dans ses cheveux, près de son cou. Le contrôle qu’il exerce sur elle me fait bander. On va lui donner exactement ce dont elle a besoin, elle sera d’accord. Elle se soumettra.

Nial baisse sa main libre vers l’étrange vêtement qui recouvre ses seins. Je regarde, fasciné, tandis qu’un outil cyborg sort de son doigt, une lame de rasoir coupe le tissu en moins d’une seconde, se rétracte et disparaît. Le tissu est déchiré en plein milieu, laissant apparaître des seins ronds aux mamelons rose clair. Elle halète, elle baisse sa main sur le cou de Nial pour qu’il la cache.

Nial attrape son poignet et le place derrière sa nuque. Elle se laisse faire, enfouit les doigts dans ses cheveux tandis que sa main se pose en coupe sur son sein, pince et titille ses tétons déjà durcis.

Je la branle plus rapidement et explore son intimité, à la recherche de la zone érogène que possèdent toutes les humaines paraît-il, un point G mythique qui leur procure un plaisir intense. Son vagin est glissant, lisse, chaud, il se contracte sur mes doigts lorsque je le trouve enfin …

« Oh, mon Dieu. »

Jessica abandonne la bouche de Nial et regarde son corps. Elle se fige en me voyant agenouillé, les doigts enfoncés jusqu’à la garde dans sa chatte, la main de Nial sur son sein. « Oh, mon Dieu. »

Elle essaie de serrer les jambes mais je m’agenouille entre elles, mes épaules la force à les garder ouvertes. Je soutiens son regard alors que je retire doucement mes doigts, je les enfonce à nouveau profondément, effleurant le point G qui la rend folle de plaisir.

« Bonjour, partenaire. »

Je la branle plus vigoureusement, elle écarquille les yeux tandis que Nial prend le relais. Il pince ses tétons et mordille son oreille tandis que je la doigte, soulagée qu’elle ne soit pas vierge. Je n’ai pas envie d’être doux. Je ne peux pas être doux.

Elle ne me refuse pas, mais elle ne m’accueille pas non plus, elle est toujours tendue. Je ralentis l’allure et dépose un baiser sur son clitoris gonflé, je le lèche tout en respirant son odeur féminine. Si crue, si torride, si parfaite. J’embrasse une cuisse d’une blancheur de lait, puis l’autre.

Elle frémit, se tourne et croise le regard de Nial. « C’est pas juste. Pourquoi—je veux dire—« Jessica secoue la tête, son vagin se contracte autour de mes doigts, réclamant encore mes doux baisers. « Je ne comprends pas. Je ne peux pas avec deux hommes. » Elle serre les cuisses, essayant de les refermer en vain. « Je ne vous connais pas et … oh, mon Dieu, je ne devrais pas faire ça. »

Je souris, la tête contre son vagin et lape son clitoris, j’observe ses moindre réactions. Je sais qu’elle aime ça, non pas à cause de son hésitation, mais parce que sa chatte est littéralement trempée.

« Ander est ton second partenaire. Il te protègera et t’aimera, tout comme moi. Nous te procurerons du plaisir ensemble. C’est tout à fait naturel sur Prillon. Tu seras aimée et adorée par tes deux partenaires, Jessica. C’est ton droit en tant qu’épouse. » Il lèche ses lèvres tandis que je baisse la tête, je fais de même avec son clitoris. « Tu veux qu’on arrête ? »

Nial attend sa réponse, je suce son clitoris, je lèche sa peau sensible du bout de la langue. Je la suce plus ardemment lorsqu’elle gémit, je doigte son vagin puisque ça a l’air de lui plaire. Vu sa réaction, j’ai apparemment vu juste

« Non. Ne t’arrête pas. » Elle enroule ses jambes autour de ma tête, m’enserre entre ses cuisses, je pousse un grondement d’approbation. Elle s’agite sous la vibration et presse sa chatte contre moi, pour faire en sorte que je la suce plus vigoureusement et plus profondément. « Ne t’arrête pas. »

Sa requête me donne envie de l’attacher et de lui apprendre ce qu’il en coûte d’essayer de donner des ordres mais je n’en ai pas le droit. Pas encore.

Je dois d’abord lui prouver ma valeur. Je dois gagner sa confiance avec mes doigts et ma bouche. Puis, j’obtiendrai son plaisir. Elle me suppliera alors.

Je la suce plus vigoureusement, je la pousse au paroxysme, je la doigte tantôt rapidement et superficiellement, tantôt doucement et en profondeur. Nial fait en sorte que sa tête repose sur son bras, il prend ses tétons dans sa bouche, l’un après l’autre, il l’empêche de bouger en mettant une main dans ses cheveux, afin qu’elle ne puisse pas se soustraire aux besoins que nous avons éveillés en elle.

Il change de position et attrape son membre de sa main libre, je suis le mouvement, je libère mon sexe de mon pantalon et l’empoigne. Je masturbe mon membre en érection avec vigueur tout en tétant le fluide sucré de ma partenaire et en écoutant ses petits cris de plaisir. On doit l’enduire de sperme ; son odeur est suffisante pour que la connexion s’établisse entre nous, pour que le désir s’instaure avec ses partenaires. Une fois qu’elle l’aura sur la peau …

Nous sommes sur Terre, pas chez nous, le pouvoir mental de nos colliers d’accouplement nous aiderait grandement. On doit l’accoupler à nous tant que possible et le plus vite possible. Les composants chimiques contenus dans notre sperme la lieront à nous jusqu’à ce qu’on puisse lui passer le collier d’accouplement.

J’ai hâte d’éjaculer sur elle, je branle ma bite vigoureusement mais inutile de forcer. Le goût qu’elle m’a laissé dans la bouche est suffisant pour me conduire vite et bien au point de non-retour.

Mes doigts sont toujours profondément enfoncés dans son vagin, je me lève tandis que Nial extirpe son sexe de son pantalon et le pose sur son ventre doux. Je besogne son clitoris à l’aide du pouce et regarde son visage tandis que mon sexe qui palpite éjacule un premier jet de sperme bien épais à l’intérieur de sa cuisse, sa hanche et son ventre. Nial suce ses tétons dans sa bouche tout en grognant, il éjacule sur son ventre et se sert de sa main libre pour frotter le fluide sur sa peau laiteuse.

Je fais de même, je fais pénétrer mon sperme chaud dans sa peau, qui l’absorbe comme une éponge. Intrigué, je ne quitte pas son visage des yeux tandis qu’elle rejette sa tête en arrière et ouvre grand la bouche en un cri muet.

Son vagin se contracte sur mes doigts tandis qu’elle jouit dans les bras de Nial, les fluides d’accouplement contenus dans notre sperme ont provoqué un orgasme.

Je la regarde fixement, hypnotisé par le mélange d’agonie et d’apaisement qui se lit sur son visage. Je ne pourrais jamais m’ôter cette image du plaisir de l’esprit. Je n’oublierai jamais ce moment de perfection pure.

Je m’agenouille et suce à nouveau son clitoris, lui procurant du plaisir, ses petits cris se muent en gémissements alors que nous nous comportons comme les partenaires gloutons de Prillon que nous sommes, nous nous servons de notre bouche pour lui procurer orgasme sur orgasme. Nous continuons inlassablement jusqu’à ce qu’elle n’ait plus rien à donner, qu’elle soit complètement détendue, totalement épuisée. Nial l’enveloppe dans la couverture et se lève. J’essuie mes lèvres et mon menton mouillés de son fluide salé et acidulé et emboîte le pas à Nial, il emporte notre partenaire vers le sas de transfert.

La gardienne Egara nous attend. Elle rougit légèrement en nous voyant entrer, elle s’occupe du panneau de commandes situé derrière elle.

« Renvoyez-nous sur le cuirassé du Commandant Deston, ordonne Nial.

– Je suis désolée. Je ne peux pas. Le Prime bloque tout transport au-delà de la seconde zone. »

Je secoue la tête et regarde Nial, qui porte notre partenaire nue et endormie. La tête de Jessica est nichée sous son menton, elle est totalement détendue dans ses bras, elle nous laisse prendre soin d’elle. Mon cœur se gonfle de fierté de savoir que j’ai participé à lui procurer cette langueur bénéfique, cette docilité. Elle n’est plus pâle, ses joues sont encore roses d’excitation et semble désormais dénuée de toute préoccupation, elle se sent en sécurité entourée de ses partenaires.

« Ce qui veut dire que la seule planète que mon père ait laissé accessible dans un rayon de transfert raisonnable au départ de la Terre est la Colonie. »

Je reconnais la rage dans la voix de Nial. Je la ressens également. Le Prime a fait en sorte que nous ne puissions pas ramener notre partenaire chez nous. La ramener sur la Colonie serait dangereux. Toute la planète est peuplée de guerriers contaminés, ceux qui ont été attrapés et transformés par la Ruche, comme Nial. Là-bas, les hommes sont tous des parias, capturés, torturés et rejetés par leur propre peuple, abandonnés à finir leurs vies seuls et sans partenaires dans un autre monde.

Je regarde le beau visage et les courbes splendides de notre partenaire, elle risque fort d’être la seule femme de toute la planète. Je connais, avant même que Nial ouvre la bouche, sa décision. Son rang de partenaire principal lui confère toute autorité en pareille situation.

« On n’a pas le choix, Ander. La Ruche la traque. On ne peut pas rester sur Terre. Notre partenaire est en danger. » Nial me regarde et je hoche la tête, je roule des épaules, prêt au combat.

« La Colonie n’est pas pire qu’ici. » Nous emmenons notre partenaire dans un territoire hostile avec nos poings pour seules armes. Si les guerriers exilés sur la Colonie sont en colère, réclament vengeance ou n’aiment pas les nouveaux venus, nous pourrions fort regretter d’y avoir amené notre partenaire.

« On pourrait voler un vaisseau et nous rendre jusqu’au cuirassé Deston. » Il regarde Jessica, toujours endormie dans ses bras. « Si on reste là, le danger pour notre partenaire est décuplé. La Ruche enverra d’autres éclaireurs à sa recherche dès qu’ils auront perdu le signal de reconnaissance du vaisseau que tu as détruit. Et ils enverront plus de trois éclaireurs la prochaine fois.

– D’accord. » La sécurité de notre partenaire est entre les mains d’un guerrier Prillon qui a été rejeté à cause d’une flopée de décérébrés de la Ruche.

Nial hoche la tête en direction de la Gardienne Egara. « Envoyez-nous sur la Colonie. »

Nous montons sur la plateforme de transport et regardons la belle femme mélancolique qui nous a aidé à sauver notre partenaire. Ça m’inquiète de la laisser seule, sans personne pour la protéger.

« Faites attention une fois qu’on sera partis. La Ruche pourrait remonter jusqu’à vous.

– Je n’ai pas peur de ces bâtards. » Elle arbore un air rebelle, une colère que je ne lui connais pas. Je la regarde d’un autre œil tandis qu’elle entre notre destination sur le panneau de commandes situé devant elle.

« Vous êtes courageuse et avez le sens de l’honneur. Vous feriez une excellente épouse. » Elle ferait le bonheur de nombreux guerriers avec ses cheveux bruns exotiques et ses yeux chaleureux.

« J’ai déjà donné, merci. » Son sourire triste est la dernière chose que j’aperçois avant que l’énergie du transfert s’empare de nous.

Programme des Épouses Interstellaires Coffret

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