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Z.

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Z final communique à l'e qui le précède le son fermé.

Bonaventure Desperriers donne à ses élèves une règle pour l'emploi du z à la fin des substantifs pluriels. Si le singulier se termine par un é fermé, le pluriel prend un z au lieu d'une s:

Vous avez toujours s à mettre

A la fin de chaque pluriel,

Sinon qu'il y ait une lettre

Crestée21 au bout du singulier,

Et quand e y a son entier.

Bonté vous guide à ses bontez.

Si vous suivez autre sentier,

Vos bonnes notes mal notez.

(Œuvres de B. Desperriers (1544), p. 182.)

[21] Crêtée, c'est-à-dire ayant une crête, un accent; et quand le son de l'e y est aussi complet que possible: é.

«Car, dit Étienne Dolet, z est le signe de e masculin (é) au pluriel nombre des verbes de seconde personne, et ce, sans aucun accent marqué dessus. Exemple: Si vous aymez la vertu, jamais vous ne vous adonnerez à vice, et vous esbatterez toujours à quelque exercice honneste.» (Les Accents françois.)

Il prescrit, en conséquence, d'écrire des voluptés avec l'accent aigu si l'on met une s à la fin, ou par un z sans accent sur l'e.

Quoique le z soit depuis longtemps dépossédé de ces fonctions que lui assignait Desperriers, nous avons conservé l'habitude irréfléchie d'écrire par un z le nez, et nous mettons l's et l'é accentué à des gens bien nés.

Des variations du langage français depuis le XIIe siècle

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