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ANNÉE 1813.

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Table des matières

Le 10 janvier, un décret porte la formation d’un sixième régiment bis de tirailleurs, d’un sixième régiment bis de voltigeurs et d’un bataillon de fusiliers ( il n’est pas formé ).

Le 6 janvier, d’un bataillon bis de grenadiers, vieille garde, et d’un bataillon bis de chasseurs vieille garde.

Le 17 janvier, il sera formé un troisième, un quatrième et un cinquième régiment bis de tirailleurs, et un troisième, quatrième et cinquième régimens bis de voltigeurs.

Le 18 du même mois, le régiment de chasseurs à cheval sera porté à huit escadrons au complet, et chacun de 250 hommes.

Le deuxième régiment de chevau-légers-lanciers sera porté à huit escadrons de chacun 250 hommes.

Il sera formé un escadron de grenadiers à cheval, au complet de 500 hommes, et un escadron de dragons également de 300 hommes.

Le 26 janvier, le bataillon du train des équipages sera réorganisé en entier, et complété à six compagnies, sans avoir égard à l’effectif que ce bataillon a à l’armée.

Les trois compagnies d’ouvriers de l’administration seront également réorganisées à Paris.

Du 29 janvier, le cadre actuel de la compagnie des mameloucks formera celui d’un escadron de même arme, au complet de 250 hommes.

Le 50 du même mois, la compagnie des sapeurs sera portée à son grand complet.

Le 10 février, formation d’un régiment du train d’artillerie de la garde.

Le 15 du même mois, le troisième régiment de grenadiers hollandais est supprimé.

Le régiment de gardes nationales devient septième voltigeurs.

Le nombre des adjudans-généraux est porté à 7. Les adjudans aux vivres, d’habillement, vieille garde, sont supprimés de même que le quartier-maître des deux régimens de fusiliers.

Le 23 février, le deuxième régiment de chevau-légers-lanciers est porté de huit à dix escadrons, et présentera un total de 2,500 hommes.

La garde de Paris sera incorporée dans ce régiment.

Le 6 mars, le régiment des chasseurs à cheval est porté à dix escadrons.

Les mameloucks feront le dixième.

Les 100 hommes montés offerts par la première division, pour le régiment d’artillerie à cheval de la garde, sont définitivement affectés au recrutement du deuxième lanciers.

Le 8 mars, le nombre des compagnies du bataillon des équipages est porté de 6 à 8.

Le cadre de la compagnie des sapeurs est augmenté d’un second lieutenant, deux sergens, six caporaux et 120 sapeurs.

Un décret, du 16 mars, accorde quatre sapeurs à chacun des bataillons de fusiliers, flanqueurs, tirailleurs et voltigeurs.

Le 22 mars, les premier et troisième régimens de chevau-légers-lanciers ne feront qu’un seul régiment sous le nom de premier régiment de chevau-légers-lanciers.

Le 25 mars, création d’un nouveau régiment de flanqueurs, d’un huitième régiment de tirailleurs, et d’un huitième régiment de voltigeurs.

Le 5 avril, il sera créé cinq nouveaux régimens de tirailleurs et cinq régimens de voltigeurs; ils prendront les Nos. 9, 10, 11, 12 et 13 de chaque arme.

Sur l’appel des 80,000 hommes du premier banc, il en sera affecté 24,000 au recrutement de ces régimens.

L’infanterie se trouve ainsi de 34 régimens.

Le 6 avril, les bouches à feu de l’artillerie seront portées de 120 à 198, et formeront 26 batteries.

Le personnel est également augmenté. Le nombre des compagnies du bataillon des équipages est porté de 8 à 10.

Le 24 avril, ces compagnies sont portées à douze.

Le 19 juin, il est accordé aux régimens de troupes à cheval une forge par compagnie.

Le 25 juin, il sera formé un septième escadron dans le premier régiment de chevau-légers-lanciers; ce qui porte ce régiment à 1,750 hommes.

Le 9 juillet, le septième escadron sera de jeune garde et traité comme tel.

Le 14 septembre, les huit bataillons de vieille garde seront complétés chacun à 800 hommes; ce qui fait 200 hommes par compagnie.

Le 9 décembre, il est créé dans la garde trois régimens d’éclaireurs à cheval.

Chaque régiment d’éclaireurs sera de quatre escadrons, chaque escadron de 250 hommes.

Le premier régiment était attaché aux grenadiers à cheval, le second aux dragons, le troisième aux lanciers polonais; les deux premiers furent formés avec des conscrits et des hommes tirés de la cavalerie de la ligne; le troisième de Polonais, de la division stationnée à Sedan.

Le 26 décembre, les régimens de fusiliers et de flanqueurs seront portés à six compagnies par bataillon.

État général de la Garde en 1813.

État-major général, 70 hommes.

Administration générale, 4 compagnies d’ouvriers, 450 hommes.

Grenadiers à pied, 2 régimens, 3200 hommes. — Le général de division, comte Friant, colonel-commandant; le baron Roguet, général de division, colonel en second; le baron Boyeldieu, le baron Rossembourg, le baron Barthezène, généraux de brigade, adjudans-généraux: Ier. régiment; le baron Michel, major-commandant: 2e. régiment; le baron Christiani, major-commandant.

Vétérans, 1 compagnie, 200 hommes. — Le chevalier Charpentier.

Fusiliers-grenadiers, 1 régiment, 1600 hommes. — Le baron Flamand, major-commandant.

Bataillon d’instruction, à Fontainebleau, 2000 hommes. — Le chevalier Delavigne, chef de bataillon-commandant.

Tirailleurs-grenadiers, 13 régimens, 20800 hommes. — 1er. régiment, Darriule, major-commandant; 2e. régiment, Vionet, idem; 3e. régiment, le baron Poret de Morvau, idem; 4e. régiment, le chevalier Carré, idem; 5e. régiment, le baron Hennequin, idem; 6e. régiment, le chevalier Trappier, idem; 7e. régiment, Pailhes, idem; 8e. régiment, Dorsenne, idem; 9e. régiment, Bardin, idem; 10e. régiment, le chevalier Vézu, idem; 11e. régiment, le chevalier Vautrin, idem; 12e. régiment, le baron Mosnice, idem; 13e. régiment, le chevalier Laurède, idem.

Flanqueurs-grenadiers, 1 régiment, 1600 hommes. — Le chevalier Desalons, major-commandant.

Compagnies de dépôt, 200 hommes. — Le baron Robert, commandant.

Chasseurs à pied, 2 régimens, 3200 hommes. — Le baron Curial, général de division, colonel-commandant; le baron Dumoustier, général de division, colonel en second; le baron Duvernet, idem; le baron Reberval Lanurre, Tindal, Gros, généraux de brigade, adjudans-généraux; le baron Decouz, général de brigade, major-commandant le 1er. régiment; le baron Deshayes, major-commandant le 2e régiment.

Fusiliers-chasseurs, 1 régiment, 1600 hommes. — Le chevalier Rousseau, major-commandant.

Voltigeurs-chasseurs, 13 régimens, 20800 hommes. — 1er. régiment, le baron Jamin, major-commandant; 2e. régiment, le chevalier Schramm, idem; 3e. régiment, le baron Cambronne, idem; 4e. régiment, Estève, idem; 5e. régiment, le baron Delcambu, idem; 6e. régiment, le chevalier Castanié, idem; 7e. régiment, le chevalier Couloumy, idem; 8e. régiment, Socrétan, idem; 9e. régiment, Jacquemard, idem; 10e. régiment, le chevalier Suisse, idem; 11e. régiment, le chevalier Penguern, idem; 12e. régiment, de Gromely, idem; 13e. régiment, le chevalier Bignon, idem.

Flanqueurs-chasseurs, 1 régiment, 1600 hommes. — Le chevalier de Pompejac, major-commandant.

Compagnies de dépôt, 250 hommes. — Le baron Malet, major-commandant.

Pupilles, 1 régiment, 1600 hommes. — Dibbets, major-commandant.

Grenadiers à cheval, 1 régiment, 1250 hommes. — Walther, général de division, colonel-commandant; le baron Laferrière-l’Évêque, général de division, major; le baron Castex, général de brigade, major.

Dragons, 1 régiment, 1250 hommes. — Le comte Ornano, général de division, colonel-commandant; le chevalier Letort, général de brigade, colonel major; Pinteville, major.

Chasseurs à cheval, 1 régiment, 2500 hommes. — Lefebvre-Desnouettes, général de division, colonel; le baron Guyot, général de division, commandant en second; le baron Lion, colonel-major.

Mameloucks, 1 escadron, 250 hommes. — Le chevalier Kirmann, chef d’escadron-commandant.

Chevau-légers-lanciers, 2 régimens, 6500 hommes — 1er. régiment, le comte de Krasinski, général de brigade, colonel-commandant; Radziville, général de brigade, major; le baron Dautencourt, major; 2e. régiment, le baron Colbert, général de brigade, colonel-commandant; Dubois, major.

Éclaireurs à cheval, 3 régimens, 6000 hommes.

Artillerie à cheval, 6 compagnies; à pied, 6 compagnies; jeune garde, 14 compagnies; ouvriers-pontonniers, 1 compagnie; canonniers-vétérans, 1 compagnie; train, 2 régimens, 3000 hommes. — Le comte Sorbier, général de division, colonel; le baron d’Aboville, général de brigade, commandant l’école de La Fère; le baron Boulard, directeur du matériel; le baron Lallemand, chef d’état-major; le baron Devaux, commandant l’artillerie à cheval, vieille garde; le baron Grinois, commandant l’artillerie à pied, vieille garde; Henrion, major, commandant la jeune garde; vétérans, Defrenne, commandant; pontonniers, Bosquettes, commandant; 1er. le baron Legnint, et 2e. le comte Bailloud.

Génie, 1 état-major, 1 compagnie de sapeurs, 250 hommes. — Le baron Kirgener de Planta, général de brigade, colonel; Boissonnet, major; Guicaud, chef de bataillon.

Marins, 8 compagnies, 1136 hommes. — Le comte Gantheaume, vice-amiral, colonel; le baron Motard, capitaine de vaisseau, major.

Train des équipages, 1 bataillon, 500 hommes. — Gubert, commandant.

Total, 81,006 hommes.

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