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XIV.

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La modération est la force du bon droit. La France avait répondu aux provocations de l’Autriche par le calme et l’impassibilité, et n’avait pris que les précautions exigées par son honneur. De son côté, le Piémont avait suivi les conseils pacifiques de son puissant allié et s’était bien gardé de répondre aux provocations de l’Autriche.

Pour mettre le comble à une politique qui l’avait isolé, en rendant toutes les concessions inutiles, le cabinet de Vienne n’avait plus qu’à ajouter, à la responsabilité de sa résistance auxtransactions, celleplus grave encore d’une agression contre le Piémont. Comme on le verra, il ne recula pas devant cet attentat, prouvant ainsi que, chez lui, il y avait un parti pris, celui de la guerre.

FIN DU LIVRE PREMIER.

Histoire de la guerre d'Italie

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